XP :
740
Cornélia Gnaux
Championne d'Agapé | Orthoprothésiste
Lun 18 Mar - 2:46
Dernière édition par Cornélia Gnaux le Dim 14 Juil - 5:29, édité 4 fois
Who Let the Dogs Out?
Feat Vanille Gentilly
Je marchais gaiement dans les rues des quartiers commerciaux, chantonnant un air que j’avais dans la tête depuis quelques joues déjà. Ça devait provenir d’une pub que j’avais regardé après avoir passer une soirée à changer de chaîne télé pour tenter de me désennuyer. Ça n’avait pas vraiment marché et au bout du compte, j’avais fini par aller flirter avec quelques jolies demoiselles dans un bar.
Il était presque 21h et j’avais la dalle. Je me grattais l’arrière de la tête en baillant et mon regard améthyste tomba sur un panneau au loin. Hm…des pâtisseries! Pourquoi pas! Je m’approchai de l’endroit en question et lu à voix haute le nom du restaurant.
- La Pomme d’Amour…hm…ça me dit quelque chose…
J’arrivai pour tirer sur la poignée de la porte pour entrer à l’intérieur de l’édifice, mais quelqu’un en sorti à l’instant même. Grand, assez musclé, cheveux pêche…lui aussi me disait quelque chose…
- Pardon, mais j’aimerais entrer avant que ça ne ferme. Eh oh!
Ce devait être assez amusant de voir une jeune femme d’un mètre 68 demander sans grande politesse, à un homme d’au moins un mètre 90 de se pousser de la porte du restaurant. Je ne me sentais pas menacé par sa grandeur et je tentais même de lui faire des signes de la main pour attirer son attention.
- Bonsoir???
Je plissai les yeux quand je pus bien discerner son visage.
- Oh mais je te connais! Tu es le gars qui est arrivé deuxième pour devenir champion d’Agapé!
En d’autres termes, j’avais gagné et lui, il avait perdu. Disons, qu’il ne m’avait pas laissé grande impression.
Il était presque 21h et j’avais la dalle. Je me grattais l’arrière de la tête en baillant et mon regard améthyste tomba sur un panneau au loin. Hm…des pâtisseries! Pourquoi pas! Je m’approchai de l’endroit en question et lu à voix haute le nom du restaurant.
- La Pomme d’Amour…hm…ça me dit quelque chose…
J’arrivai pour tirer sur la poignée de la porte pour entrer à l’intérieur de l’édifice, mais quelqu’un en sorti à l’instant même. Grand, assez musclé, cheveux pêche…lui aussi me disait quelque chose…
- Pardon, mais j’aimerais entrer avant que ça ne ferme. Eh oh!
Ce devait être assez amusant de voir une jeune femme d’un mètre 68 demander sans grande politesse, à un homme d’au moins un mètre 90 de se pousser de la porte du restaurant. Je ne me sentais pas menacé par sa grandeur et je tentais même de lui faire des signes de la main pour attirer son attention.
- Bonsoir???
Je plissai les yeux quand je pus bien discerner son visage.
- Oh mais je te connais! Tu es le gars qui est arrivé deuxième pour devenir champion d’Agapé!
En d’autres termes, j’avais gagné et lui, il avait perdu. Disons, qu’il ne m’avait pas laissé grande impression.
Invité
Invité
Dim 24 Mar - 3:34
who let the dogs out
Qu’est-ce qu’il pourrait demander de plus ? Vanille coule des jours heureux, à son restaurant – son projet de vie. Certes, l’appel de l’aventure est toujours là, au fond de lui ; son cœur veux parfois plus de sensations fortes, plus d’émotions.
Mais son restaurant, c’est son petit protégé, son petit projet ; et il sais que quand il a fini ses aventures, c’est ici qu’il peut se retrouver. C’est ici, son petit havre de paix.
Il lance un regard à la fenêtre ; la nuit est déjà tombée depuis quelques temps, bien que les journées se fassent déjà plus longue. Il range son long tablier, lançant un sourire et quelques paroles vers les employés du lieu. « Vous pouvez commencer la fermeture ! Y a plus trp de monde, je crois ! » Sa serveuse lui répond d’un pouce de la main. L’ambiance est agréable, ici – il a tenu à ce que ce soit un havre de paix aussi pour les employés, pour ceux qui sont là après les cours, pour ceux qui font de longues semaines et qui veulent conserver leurs bonne humeur impact pour leur famille. Ce n’est pas trop demandé, non ?
Il leur répond d’un sourire, et sort quelqu’un pour s’occuper de ranger un peu la devanture. Il porte les chaises, rangent les quelques tables et se permet quelques regards vers le ciel ; son sourire n’est pas entaché ; sa bonne humeur, toujours indemne. Il libère son Patâchiot, confiant pour que le Pokémon ne fasse pas d’écart, contrairement aux autres gloutons de son équipe.
L’Agapéen est à deux doigts de ressortir pour finir les rangements finaux : puis, il percute quelqu’un, et se stop, se fige, là, à l’entrée. Parce que son sourire se décompose, doucement, son visage se tend, de façon rare, improbable ; une anomalie dans son caractère pourtant si facile à vivre.
Il sent presque une rage l’animer ; des émotions négatives ressurgir des limbes de son esprit. Il ne sait pas pourquoi elle est là, mais … il veux conserver ce havre de paix. Il ne veut pas être mauvais, méchant, malintentionné …
Mais il n’a pas envie de la voir, là. Et, pendant quelques secondes, il ne réagit pas, finissant par reculer de quelques pas. Ne voyant pas tout de suite le malaise, Gaufre viens au pied de la jeune femme, à la recherche d’affection et de gourmandises. Il serre un peu les poings.
« Bonsoir, je… » Sa voix n’arrive pas à formuler. Et bien-sûr, il est rapidement coupé. Un sentiment de honte le saisis. Il va vite dérailler, et il le sait.
« Mon nom, c’est… Je suis Vanille ! On a grandi ensemble, quand même ! Merci de ne pas venir ici, si c’est juste pour m’humilier ! » Il n’a pas vraiment hausser le ton, pourtant, les employés ont ouverts de grand yeux ; qu’est-ce qu’il venait de se passer, au juste ?
Et le cuisiner, il bouillonne ; il a envie de la voir disparaître. Comme si c’est elle, le souci principal de sa vie. Il a honte d’être comme ça, surtout devant eux, mais il n’arrive pas à faire autrement.
Mais son restaurant, c’est son petit protégé, son petit projet ; et il sais que quand il a fini ses aventures, c’est ici qu’il peut se retrouver. C’est ici, son petit havre de paix.
Il lance un regard à la fenêtre ; la nuit est déjà tombée depuis quelques temps, bien que les journées se fassent déjà plus longue. Il range son long tablier, lançant un sourire et quelques paroles vers les employés du lieu. « Vous pouvez commencer la fermeture ! Y a plus trp de monde, je crois ! » Sa serveuse lui répond d’un pouce de la main. L’ambiance est agréable, ici – il a tenu à ce que ce soit un havre de paix aussi pour les employés, pour ceux qui sont là après les cours, pour ceux qui font de longues semaines et qui veulent conserver leurs bonne humeur impact pour leur famille. Ce n’est pas trop demandé, non ?
Il leur répond d’un sourire, et sort quelqu’un pour s’occuper de ranger un peu la devanture. Il porte les chaises, rangent les quelques tables et se permet quelques regards vers le ciel ; son sourire n’est pas entaché ; sa bonne humeur, toujours indemne. Il libère son Patâchiot, confiant pour que le Pokémon ne fasse pas d’écart, contrairement aux autres gloutons de son équipe.
L’Agapéen est à deux doigts de ressortir pour finir les rangements finaux : puis, il percute quelqu’un, et se stop, se fige, là, à l’entrée. Parce que son sourire se décompose, doucement, son visage se tend, de façon rare, improbable ; une anomalie dans son caractère pourtant si facile à vivre.
Il sent presque une rage l’animer ; des émotions négatives ressurgir des limbes de son esprit. Il ne sait pas pourquoi elle est là, mais … il veux conserver ce havre de paix. Il ne veut pas être mauvais, méchant, malintentionné …
Mais il n’a pas envie de la voir, là. Et, pendant quelques secondes, il ne réagit pas, finissant par reculer de quelques pas. Ne voyant pas tout de suite le malaise, Gaufre viens au pied de la jeune femme, à la recherche d’affection et de gourmandises. Il serre un peu les poings.
« Bonsoir, je… » Sa voix n’arrive pas à formuler. Et bien-sûr, il est rapidement coupé. Un sentiment de honte le saisis. Il va vite dérailler, et il le sait.
« Mon nom, c’est… Je suis Vanille ! On a grandi ensemble, quand même ! Merci de ne pas venir ici, si c’est juste pour m’humilier ! » Il n’a pas vraiment hausser le ton, pourtant, les employés ont ouverts de grand yeux ; qu’est-ce qu’il venait de se passer, au juste ?
Et le cuisiner, il bouillonne ; il a envie de la voir disparaître. Comme si c’est elle, le souci principal de sa vie. Il a honte d’être comme ça, surtout devant eux, mais il n’arrive pas à faire autrement.
HRP
nenuphar
XP :
740
Cornélia Gnaux
Championne d'Agapé | Orthoprothésiste
Ven 29 Mar - 22:18
Who Let the Dog Out?
Feat Vanille Gentilly
Ah? Je lui avais fait perdre son sourire, visiblement. S’il n’était pas content de se faire embêter par une demande de se bouger, je ne pouvais pas imaginer ce que les gens autour de lui devaient vivre au quotidien. Il y avait des individus comme ça qui étaient ultra susceptibles à tout ce qu’on leur disait. Ce mec face à moi était très certainement dans cette catégorie de personnes.
Je le toisai de mes améthystes ne ressentant aucune gêne à le faire. S’il pouvait simplement se bouger pour que je puisse entrer prendre un truc à manger avant que le resto ne ferme, ça serait super, merci. Pourtant, dès qu’il se bougea un peu, c’est un bagel sur pattes qui vint à ma rencontre. Je m’accroupis pour aller lui caresser la tête alors que l’homme face à moi se mettait à parler.
Absorbée par les papouilles et les caresses que j’octroyais au chien en pâte à cuire, je n’écoutai pas un traitre mot de ce qu’il disait. Pas que ça m’aurait intéressé de toute façon. La réalité était bien cruelle pour lui et oui.
Je finis par relever le regard pour l’observer de toute sa grandeur et il était vraiment grand et imposant ce type! Je ne me sentais pas trop concernée par son humeur de merde.
- Eh? Tu disais?
Je me redresse en me frottant les mains une à l’autre et je souris à l’humain face à moi.
- Je suis désolée, je ne fais attention qu’à ce qui m’intéresse et malheureusement pour toi, t’es loin, très loin de m’intéresser.
C’était au cas où il avait essayé de me draguer. Comme je n’avais pas pris la peine de l’écouter et qu’en plus, je me savais désirable pour une grande partie de la population, je préférais mettre les limites dès maintenant. Si ce n’était pas de la drague alors, bah ce ne serait que la vérité toute crue. J’étais mauvaise quand j’avais faim. Un peu tout le temps aussi, mais pas trop devant le grand public. J’avais une image à garder.
- Bon alors, qu’est-ce que je vais manger? Hmmm…
Je me prépare à passer à côté de l’homme à la chevelure rose voulant visiblement atteindre la porte du restaurant pour y entrer et assouvir ma faim grandissante.
Je le toisai de mes améthystes ne ressentant aucune gêne à le faire. S’il pouvait simplement se bouger pour que je puisse entrer prendre un truc à manger avant que le resto ne ferme, ça serait super, merci. Pourtant, dès qu’il se bougea un peu, c’est un bagel sur pattes qui vint à ma rencontre. Je m’accroupis pour aller lui caresser la tête alors que l’homme face à moi se mettait à parler.
Absorbée par les papouilles et les caresses que j’octroyais au chien en pâte à cuire, je n’écoutai pas un traitre mot de ce qu’il disait. Pas que ça m’aurait intéressé de toute façon. La réalité était bien cruelle pour lui et oui.
Je finis par relever le regard pour l’observer de toute sa grandeur et il était vraiment grand et imposant ce type! Je ne me sentais pas trop concernée par son humeur de merde.
- Eh? Tu disais?
Je me redresse en me frottant les mains une à l’autre et je souris à l’humain face à moi.
- Je suis désolée, je ne fais attention qu’à ce qui m’intéresse et malheureusement pour toi, t’es loin, très loin de m’intéresser.
C’était au cas où il avait essayé de me draguer. Comme je n’avais pas pris la peine de l’écouter et qu’en plus, je me savais désirable pour une grande partie de la population, je préférais mettre les limites dès maintenant. Si ce n’était pas de la drague alors, bah ce ne serait que la vérité toute crue. J’étais mauvaise quand j’avais faim. Un peu tout le temps aussi, mais pas trop devant le grand public. J’avais une image à garder.
- Bon alors, qu’est-ce que je vais manger? Hmmm…
Je me prépare à passer à côté de l’homme à la chevelure rose voulant visiblement atteindre la porte du restaurant pour y entrer et assouvir ma faim grandissante.
Invité
Invité
Dim 21 Avr - 4:50
who let the dogs out
Il sent ses poings trembler ; il sent sa colère prendre une importance démesurée, comme … comme la dernière fois qu’il a fait du mal à quelqu’un. Pire encore, il voit son Pokémon demander de l’affection à cette personne, et s’en sent presque trahit.
Heureusement, la petite créature voit vite la tension dans le regard de son dresseur, et semble s’en vouloir. La Pâtachiot retourne au pied de Vanille, frottant sa tête contre ses jambes, pour calmer son dresseur. Pour l’empêcher de faire du mal à cette femme.
Et à l’image de ses pupilles, sa vision se teint de rouge. Elle ne l’a pas écoutée – de toute façon, elle a toujours été concentrée que sur elle-même, sans se rendre compte de toute la peine qu’elle crée.
Elle a toujours tout détruit. Il a envie de se venger, de lui faire du mal ; ses poings tremblent, encore, de plus en plus. Il ne doit pas.
Mais il en a tellement envie.
Alors, il ne peut s’empêcher de la retenir par son poignet, de la tirer en arrière un peu trop brutalement, lorsqu’elle rentre dans le restaurant.
« Non !!! »
Il prend sa respiration, lui lance un regard noir, puis le détourne. « On va fermer ! Alors … tu pourrais au moins écouter le chef des lieux, quand il te parle ! » Il la tire encore, la pousse presque pour la mettre dehors. Ses yeux brillent, luisent, dans la rue déjà sombre.
« Je ne veux pas de toi ici ! A croire que tu ne me connaît pas ! » Il va exploser, encore une fois, il le sait. Et à l’intérieur, ses employés le regardent, à la fois perdus et surpris. Il ferme la porte - il ne veux pas qu’ils assistent à ça.
« Cornélia, je veux pas que tu viennes foutre le bazar dans mon restaurant ! » Alors qu’elle se contente d’exister – alors que c’est lui, le raté, dans toute cette histoire.
Heureusement, la petite créature voit vite la tension dans le regard de son dresseur, et semble s’en vouloir. La Pâtachiot retourne au pied de Vanille, frottant sa tête contre ses jambes, pour calmer son dresseur. Pour l’empêcher de faire du mal à cette femme.
Et à l’image de ses pupilles, sa vision se teint de rouge. Elle ne l’a pas écoutée – de toute façon, elle a toujours été concentrée que sur elle-même, sans se rendre compte de toute la peine qu’elle crée.
Elle a toujours tout détruit. Il a envie de se venger, de lui faire du mal ; ses poings tremblent, encore, de plus en plus. Il ne doit pas.
Mais il en a tellement envie.
Alors, il ne peut s’empêcher de la retenir par son poignet, de la tirer en arrière un peu trop brutalement, lorsqu’elle rentre dans le restaurant.
« Non !!! »
Il prend sa respiration, lui lance un regard noir, puis le détourne. « On va fermer ! Alors … tu pourrais au moins écouter le chef des lieux, quand il te parle ! » Il la tire encore, la pousse presque pour la mettre dehors. Ses yeux brillent, luisent, dans la rue déjà sombre.
« Je ne veux pas de toi ici ! A croire que tu ne me connaît pas ! » Il va exploser, encore une fois, il le sait. Et à l’intérieur, ses employés le regardent, à la fois perdus et surpris. Il ferme la porte - il ne veux pas qu’ils assistent à ça.
« Cornélia, je veux pas que tu viennes foutre le bazar dans mon restaurant ! » Alors qu’elle se contente d’exister – alors que c’est lui, le raté, dans toute cette histoire.
HRP
nenuphar
XP :
740
Cornélia Gnaux
Championne d'Agapé | Orthoprothésiste
Dim 5 Mai - 0:51
Who Let the Dog Out?
Feat Vanille Gentilly
Alors que je tente d’entrer dans le restaurant pour me sustenter, une résistance se fait sentir à mon poignet et je me fais tirer vers l’arrière. Je suis surprise sur le coup et je pose mes yeux couleur améthyste sur l’individu à la chevelure rose. Une chance pour moi, je ne perds pas l’équilibre et me retrouve dans la rue alors que l’homme s’exclame avec virulence. Quoi encore?
Je soupire, agacée, tandis qu’il me pousse loin de son établissement. Je me permets alors que de le regarder plus sérieusement. Je le vois presque rouge de colère, enfin, sur son visage.
Je croise les bras contre ma poitrine une fois que l’homme me lâche et je le laisse cracher son venin sans sourciller. Je lève plutôt un sourcil, pas du tout impressionné par son attitude enfantine. Je pouvais facilement être pire que lui. C’est qu’il était vraiment vénère ce Vanille en face de moi!
Je le toise de mes prunelles violettes et je ne dis rien sur le coup. Je le laisse dire, parler, s’exprimer. L’homme ne me porte visiblement pas dans son cœur, mal ça ne me fait ni chaud ni froid en réalité. Pas que je suis imbue de moi-même ou insensible, mais je sais que je ne plais pas à tout le monde et c’est dans l’état naturel des choses. Personne n’est parfait et personne ne plait à tout le monde.
- Okay. T’as fini?
Je décroise les bras et m’approche de lui, pas du tout intimidée par son 1m93. Je plante mes améthystes dans son regard couleur rubis et je lui enfonce mon index dans le torse sans être violente ou quoique ce soit.
- Je peux concevoir que je ne plais pas à tout le monde, mais de là à m’interdire l’accès à un restaurant, c’est une première.
Je finis par afficher un sourire amusé sur mes lèvres, un sourire en coin qui doit être sacrément agaçant à voir pour la personne face à moi. Je me détourne en m’étirant alors que je ne me laisse pas abattre par ce mec.
- Tu es frustré parce que je t’ai battu pour l’obtention du titre de champion d’Agapé? Tu as la rancune vraiment mauvaise, mon pauvre. Un vrai mauvais perdant en bonne et due forme. Ouh là là…
Je pose un œil sur lui alors que je termine de m’étirer, les bras dans le dos comme une gamine.
- Je ne venais pas foutre le bordel dans ton restaurant, mais y mettre quelques pokédollars pour y manger. Je ne suis pas destructrice quand même! Enfin, sauf en combat pokémon, mais ça, tu le savais déjà…
Je ricane et je rigole avant de me retourner complètement vers lui. Son pokémon coloré de jaune et de doré à ses pieds. Je l’observe et mon sourire s’étire un peu plus.
- Tu aimes les défis? Moi, j’adore ça!
J’ai la bougeotte alors que je reste sur place, dardant mes yeux violacés dans ses prunelles écarlates. Ce Vanille doit être vert de jalousie vis-à-vis de moi. Je dois être bien meilleure que lui et il le sait. Ça ne fait aucun doute.
- Je te mets au défi de me battre dans un concours de beuverie. Si tu gagnes, j’accepterai de te reconnaître en tant que personne et comme mon plus fervent rival. Si tu perds, j’ai un repas gratis à ton restaurant. Alors, ça te dit?
Autant s’amuser un peu et de profiter de la situation pour lui calmer les nerfs. Aucune idée s’il allait accepter ou pas, mais tout ça ne coupait pas ma faim. La couleur ambre d’un bon verre de fort me faisait réellement envie. J’espérais qu’il accepte sinon, j’irai toute seule dans un bar pour y grignoter et y boire.
Peut-être qu’il était plus amusant une fois ivre mort?
Je soupire, agacée, tandis qu’il me pousse loin de son établissement. Je me permets alors que de le regarder plus sérieusement. Je le vois presque rouge de colère, enfin, sur son visage.
Je croise les bras contre ma poitrine une fois que l’homme me lâche et je le laisse cracher son venin sans sourciller. Je lève plutôt un sourcil, pas du tout impressionné par son attitude enfantine. Je pouvais facilement être pire que lui. C’est qu’il était vraiment vénère ce Vanille en face de moi!
Je le toise de mes prunelles violettes et je ne dis rien sur le coup. Je le laisse dire, parler, s’exprimer. L’homme ne me porte visiblement pas dans son cœur, mal ça ne me fait ni chaud ni froid en réalité. Pas que je suis imbue de moi-même ou insensible, mais je sais que je ne plais pas à tout le monde et c’est dans l’état naturel des choses. Personne n’est parfait et personne ne plait à tout le monde.
- Okay. T’as fini?
Je décroise les bras et m’approche de lui, pas du tout intimidée par son 1m93. Je plante mes améthystes dans son regard couleur rubis et je lui enfonce mon index dans le torse sans être violente ou quoique ce soit.
- Je peux concevoir que je ne plais pas à tout le monde, mais de là à m’interdire l’accès à un restaurant, c’est une première.
Je finis par afficher un sourire amusé sur mes lèvres, un sourire en coin qui doit être sacrément agaçant à voir pour la personne face à moi. Je me détourne en m’étirant alors que je ne me laisse pas abattre par ce mec.
- Tu es frustré parce que je t’ai battu pour l’obtention du titre de champion d’Agapé? Tu as la rancune vraiment mauvaise, mon pauvre. Un vrai mauvais perdant en bonne et due forme. Ouh là là…
Je pose un œil sur lui alors que je termine de m’étirer, les bras dans le dos comme une gamine.
- Je ne venais pas foutre le bordel dans ton restaurant, mais y mettre quelques pokédollars pour y manger. Je ne suis pas destructrice quand même! Enfin, sauf en combat pokémon, mais ça, tu le savais déjà…
Je ricane et je rigole avant de me retourner complètement vers lui. Son pokémon coloré de jaune et de doré à ses pieds. Je l’observe et mon sourire s’étire un peu plus.
- Tu aimes les défis? Moi, j’adore ça!
J’ai la bougeotte alors que je reste sur place, dardant mes yeux violacés dans ses prunelles écarlates. Ce Vanille doit être vert de jalousie vis-à-vis de moi. Je dois être bien meilleure que lui et il le sait. Ça ne fait aucun doute.
- Je te mets au défi de me battre dans un concours de beuverie. Si tu gagnes, j’accepterai de te reconnaître en tant que personne et comme mon plus fervent rival. Si tu perds, j’ai un repas gratis à ton restaurant. Alors, ça te dit?
Autant s’amuser un peu et de profiter de la situation pour lui calmer les nerfs. Aucune idée s’il allait accepter ou pas, mais tout ça ne coupait pas ma faim. La couleur ambre d’un bon verre de fort me faisait réellement envie. J’espérais qu’il accepte sinon, j’irai toute seule dans un bar pour y grignoter et y boire.
Peut-être qu’il était plus amusant une fois ivre mort?
Invité
Invité
Sam 18 Mai - 23:13
who let the dogs out
C’est injuste, de l’empêcher d’entrer – après tout, elle est censée être une cliente comme les autres, pourtant … il ne peut pas s’en empêcher. Car ce n’est pas n’importe qui, à ses yeux.
Et il s’en veut de cette rage, qui le rend si ardent. Si … colérique. Personne ne devrait le voir ainsi. Il déteste cette partie de lui-même. Et pourtant, il est incapable de la contrôler.
Il grince des dents, lorsqu’elle lui demande s’il a fini. Tellement dédaigneuse qu’il se retient déjà d’envoyer sa mâchoire en orbite. Son poing tremble – il ne doit pas lâcher, il n’a pas le droit.
« … Tu … tu as fait semblant, alors … !! » Il peine à vraiment formuler une phrase … parce que depuis le début, elle se moque d’elle ! « Cornélia, je ne veux pas de toi ici !! » Il hausse le ton, bien trop fort, et des gens se tournent déjà vers lui. Il a tellement honte.
Elle parle de défi, et même si c’est enfantin, il ne peut pas refuser un affrontement.
« … » Il attend qu’elle en dise plus, les yeux foudroyant, ardent, plein de rage. Il la foudroie littéralement du regard, même si ça ne va surement pas faire grand-chose à l’Agapéenne.
Il réfléchit quelque instant – il n’a pas grand-chose à perdre, après tout. Sauf une matinée sans gueule de bois, éventuellement.
« …J’accepte. » Il n’est de toute façon plus un adulte raisonnable, à cet instant. Il n’a aucun contrôle sur ce qu’il fait, et il ne va certainement pas manquer sa chance de foutre une raclée à la rousse, même si c’est d’une manière aussi stupide.
Il soupire, puis retourne s’assoir dans le restaurant.
« J’espère pour toi que ton foie est aussi résistant que ta langue de vipère. » Il ne se détend pas, les traits tendu. Déjà, il demande les premières pintes à ses employés, qui le regarde d’un air inquiet. Il est méconnaissable.
Et il s’en veut de cette rage, qui le rend si ardent. Si … colérique. Personne ne devrait le voir ainsi. Il déteste cette partie de lui-même. Et pourtant, il est incapable de la contrôler.
Il grince des dents, lorsqu’elle lui demande s’il a fini. Tellement dédaigneuse qu’il se retient déjà d’envoyer sa mâchoire en orbite. Son poing tremble – il ne doit pas lâcher, il n’a pas le droit.
« … Tu … tu as fait semblant, alors … !! » Il peine à vraiment formuler une phrase … parce que depuis le début, elle se moque d’elle ! « Cornélia, je ne veux pas de toi ici !! » Il hausse le ton, bien trop fort, et des gens se tournent déjà vers lui. Il a tellement honte.
Elle parle de défi, et même si c’est enfantin, il ne peut pas refuser un affrontement.
« … » Il attend qu’elle en dise plus, les yeux foudroyant, ardent, plein de rage. Il la foudroie littéralement du regard, même si ça ne va surement pas faire grand-chose à l’Agapéenne.
Il réfléchit quelque instant – il n’a pas grand-chose à perdre, après tout. Sauf une matinée sans gueule de bois, éventuellement.
« …J’accepte. » Il n’est de toute façon plus un adulte raisonnable, à cet instant. Il n’a aucun contrôle sur ce qu’il fait, et il ne va certainement pas manquer sa chance de foutre une raclée à la rousse, même si c’est d’une manière aussi stupide.
Il soupire, puis retourne s’assoir dans le restaurant.
« J’espère pour toi que ton foie est aussi résistant que ta langue de vipère. » Il ne se détend pas, les traits tendu. Déjà, il demande les premières pintes à ses employés, qui le regarde d’un air inquiet. Il est méconnaissable.
HRP
nenuphar
XP :
740
Cornélia Gnaux
Championne d'Agapé | Orthoprothésiste
Lun 17 Juin - 0:52
Who Let the Dog Out?
Feat Vanille Gentilly
- Faire semblant est un bien grand mot. Si tu avais pu être le moindrement intéressant lors de notre affrontement pour le titre de champion d’Agapé, j’aurais pu retenir ton nom. Or, ce ne fut pas le cas et c’est pourquoi nous sommes dans cette situation.
Je me passe la main dans les cheveux et le toise quelques secondes avant de porter mon attention sur le pokémon de Vanille. Pauvre pokémon quand même. Il doit se coltiner un dresseur même pas foutu d’être doué en combat pokémon et qui a mauvais caractère. Comme quoi la poisse pouvait toucher aussi les pokémons.
Un sourire étira mes lèvres quand l’homme à la chevelure rose accepta mon défi. Yes! J’allais pouvoir boire gratuitement et lui montrer que j’étais forte même dans ce domaine! Ce ne serait pas ma première beuverie alors, rien à craindre de ce type et ça mèche courte. Je devais simplement m’assurer de bien doser et de parfois couper avec quelques gorgées d’eau. Je ne prévoyais pas le coma éthylique non plus surtout que je n’avais rien mangé de la soirée. Boire sans rien dans le ventre, ce n’était pas conseillé alors, j’allais faire attention à ma pomme.
- Bien!
Son insulte à peine voilée me glissa sur le dos comme de l’eau de pluie sur le plumage d’un Couaneton. J’entre dans le bâtiment, un sourire victorieux sur les lèvres. J’étais entrée dans le restaurant et j’allais consommer gratuitement de l’alcool pour un défi trop facile à gagner! Je me sentais confiante et je m’installai en face de Vanille, toute souriante. Oh oui, là j’avais l’air supérieure et vaniteux de ceux qui savaient que c’était gagné d’avance!
Je me raclai la gorge alors que des employés du restaurant nous apportaient les premières pintes d’alcool à consommer. De la bière blonde à première vue. Je me demandais si elle était savoureuse. J’allais bientôt le savoir en même temps. Le suspense ne tarderait pas trop à être révélé.
- J’aimerais une pinte d’eau aussi pour chacun de nous. Soyons prévenants et prenons quelques gorgées d’eau entre chaque pinte de bière, histoire de ne pas se retrouver dans une fâcheuse situation. Je ne crois pas que de recouvrir ton restaurant de vomi soit dans tes plans pour la soirée.
Je rigole un peu et je fais ma maligne aussi, mais je ne veux pas qui ni l’un ni l’autre se retrouve à l’hosto à cause d’un défi débile avec de l’alcool. Si on dépassait nos limites, il y avait des chances de perdre la face et peut-être même bien plus que ça. M’enfin, le rose faisait bien ce qu’il voulait après tout. S’il voulait me battre à ce jeu, autant qu’il y mette les efforts parce que je tenais bien l’alcool.
- On commence quand tu veux louloup. Le premier qui s’effondre perd et l’autre est victorieux.
Invité
Invité
Ven 5 Juil - 8:16
who let the dogs out
Il ne veut pas répliquer. Pourtant, elle tente de l’enfoncer, encore et encore. Son poing tremble, comme son sang-froid. Il a envie que ses phalanges s’alignent sur son visage, même s’il sait qu’accomplir ce désir ne va certainement pas lui attirer de bonnes choses.
Alors, il se contente de se taire, pour le moment, de ne pas lui donner d’argument supplémentaire. Néanmoins, son égo blessé, il est prêt à le venger. Il n’est pas oubliable. Il n’est pas sans valeur ! Les piques de cette vipère créent des plaies dans son cœur.
Et donc, il accepte le défi. Même si c’est enfantin, complétement stupide et immature. Est-ce qu’il a dit qu’il était mature ? Bien-sûr que non ! Il est prêt à vomir ses tripes, si ça veut dire la faire taire ne serait-ce quelque heure. Il se met en face d’elle, son regard rougeoyant lui lançant des éclairs. Il ne la lâche pas des yeux, mais parle à sa suite, lorsqu’elle demande des boissons. Il rajoute les paroles de politesse, les « sil-te-plait ». Parce qu’il ne veut pas être un patron tyrannique – il ne veux pas laisser cette diablesse détériorer ses liens avec ses employés.
« … Si tu vomis. Tu nettoies. A la brosse à dent, s’il le faut. » Mais Vanille est déjà reconnaissable, mauvais. Sa serveuse essaie de ne pas croiser le regard du rosé, tant il l’inquiète. Boire n’est pas une bonne idée. Elle le sait, les autres serveurs aussi – et elle craint que dans cet état, le cuisiner perde toute retenue.
Peu-importe, car il ne veut pas reculer.
Pour toute réponse, il vide, d’une traite, la première pinte. Ses yeux froids se reposent sur la rousse.
« C’est à toi. » Toute sa chaleur l’a quittée. Il n’a pas envie de boire, de s’amuser.
Il veut juste lui faire du mal.
Alors, il se contente de se taire, pour le moment, de ne pas lui donner d’argument supplémentaire. Néanmoins, son égo blessé, il est prêt à le venger. Il n’est pas oubliable. Il n’est pas sans valeur ! Les piques de cette vipère créent des plaies dans son cœur.
Et donc, il accepte le défi. Même si c’est enfantin, complétement stupide et immature. Est-ce qu’il a dit qu’il était mature ? Bien-sûr que non ! Il est prêt à vomir ses tripes, si ça veut dire la faire taire ne serait-ce quelque heure. Il se met en face d’elle, son regard rougeoyant lui lançant des éclairs. Il ne la lâche pas des yeux, mais parle à sa suite, lorsqu’elle demande des boissons. Il rajoute les paroles de politesse, les « sil-te-plait ». Parce qu’il ne veut pas être un patron tyrannique – il ne veux pas laisser cette diablesse détériorer ses liens avec ses employés.
« … Si tu vomis. Tu nettoies. A la brosse à dent, s’il le faut. » Mais Vanille est déjà reconnaissable, mauvais. Sa serveuse essaie de ne pas croiser le regard du rosé, tant il l’inquiète. Boire n’est pas une bonne idée. Elle le sait, les autres serveurs aussi – et elle craint que dans cet état, le cuisiner perde toute retenue.
Peu-importe, car il ne veut pas reculer.
Pour toute réponse, il vide, d’une traite, la première pinte. Ses yeux froids se reposent sur la rousse.
« C’est à toi. » Toute sa chaleur l’a quittée. Il n’a pas envie de boire, de s’amuser.
Il veut juste lui faire du mal.
HRP
nenuphar
XP :
740
Cornélia Gnaux
Championne d'Agapé | Orthoprothésiste
Dim 14 Juil - 5:22
Who Let the Dog Out?
Feat Vanille Gentilly
Elle l’avait massacré. Totalement massacré. Je n’avais jamais vu le patron dans cet état et j’avoue que ça me faisait un peu peur. J’étais inquiète pour lui. Comment en était-il arrivé à mépriser autant la championne d’Agapé? Comment avait-il pu croire une seule seconde que de jouer à ce défi de beuverie allait bien tourner? Je ne connaissais pas le passé de monsieur Gentilly, mais ce que je voyais sous mes yeux étaient tout aussi difficile à voir et à comprendre.
La rousse avait énuméré des règles simples pour le concours de boisson. Ils avaient commandé de l’eau et de la bière pour boire. La quantité importait peu. Le but était de voir lequel des deux allait tenir jusqu’à ce que l’autre s’effondre. C’était un jeu dangereux. Je n’avais rien dit, terminant de simplement ranger les tables et les chaises alentour, mais je voyais du coin de l’œil que le boss n’allait pas bien. Il semblait dans un état second, une tout autre personne. Son sourire avait disparu de sur son visage.
Je l’avais regardé boire en entier son premier verre de bière sans broncher. Cornélia Gnaux quant à elle avait pouffé de rire en le voyant faire et aux mots que le rose lui avait dits. Aucune idée de ce dont ils parlaient. J’étais beaucoup trop loin pour ça. Ensuite, elle s’était elle-même emparée d’un verre d’alcool pour le boire, mais beaucoup moins vite que l’avait fait Vanille Gentilly. Elle se dosait visiblement.
Je m’absente quelques instants pour aller porter les sacs poubelles dehors et lorsque je reviens, c’est verre sur verre pour les deux concurrents. La rousse alterne avec de l’eau pour ne pas se déshydrater et se rendre ivre trop vite et je peine à voir ce que fait mon patron, dos à moi. La table se retrouve assez vite pleine de pintes et de verres vides que je m’empresse de ramasser. Je n’ose pas dire le moindre mot. Je préfère le laisser gérer ça tout seul même si je m’inquiète pour lui. Il doit avoir ses raisons n’est-ce pas?
Je crois que ce petit concours dure une trentaine de minutes tout ou plus. J’observe la tête rose de mon boss qui chancelle un peu. Il doit avoir le tournis ou des vertiges. J’ose un pas dans sa direction, mais la championne d’Agapé lève une main pour me signifier de ne pas interférer. Vanille ne le voudrait certainement pas. Je me pince les lèvres et me détourne les laissant gérer tout ça.
Après quelques instants, j’entends un cri de victoire de la part de la jeune femme alors qu’elle se lève en brandissant ses bras dans les airs poings fermés, fière comme un Cléopsytra. L’homme qui l’accompagne est avachi sur la table, mou et visiblement incapable de continuer cette beuverie extrême. Même la championne tangue un peu sur ses jambes et se retient grâce à sa chaise pour ne pas tomber au sol. Elle pouffe de rire et va tapoter la tête de Vanille Gentilly avant de s’éloigner en titubant. La rouquine lui a murmuré quelque chose à l’oreille avant de quitter les lieux, mais je n’ai pas pu l’entendre.
Ce que je sais, c’est que depuis ce soir-là, mon patron n’est plus le même et qu’il l’a vraiment, mais vraiment mauvais vis-à-vis de la championne. Je n’oserai jamais lui demander pourquoi même si j’ai envie de savoir. Sa vie privée ne me concerne pas et je le sais. Je m’occupe simplement du restaurant en tant que serveuse et puis voilà tout. Personne au resto ne reparla jamais de ce qui s’était passé. Non, personne.
Contenu sponsorisé