Analysis completed / Trix TW : [v.c. et séquestration]

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Trix Diabella

Biochimiste médical

Dim 4 Juin - 18:11

Dernière édition par Trix Diabella le Mer 7 Juin - 2:53, édité 5 fois

Trix Diabella

âge : 34 ans

pronoms : Il/Lui

métier : Biochimiste médical

groupe : Victini

habite à : Agapé (maison traditionnelle)

feat : Jinguuji Jakurai | Hypnosis Mic -Division Rap Battle-

Starter : Sélection

Quels sont les objectifs de votre personnage ? TW : [violences conjugales et séquestration]
- Je veux pouvoir faire en sorte que tous et chacun puisse vivre en santé dans ce monde.
- Je veux parfaire mon travail et mes connaissances pour que les êtres humains puissent guérir des maux qui les font souffrir.
- Je veux qu’en cohabitant avec les pokémons, que nous puissions nous inspirer d’eux pour créer des remèdes et des solutions médicales pour soigner nos êtres chers et ceux et celles que l’on aime.
- Je veux que mon ex crève dans d’atroces souffrances ~

Quel est son lien avec les Pokémons ? Les craint-il ?
Je ne crains pas les pokémons, mais j’ai longtemps été hors de leur contact. Mon ex…il ne voulait pas que je m’en approche, que je puisse être en contact avec eux. Il les trouve dangereux, perfides, violents et agressifs. Donc, pendant les treize longues années où j’ai été en couple avec lui, je n’ai pas pu en côtoyer. Pourtant, ils sont fascinants, admirables et ils peuvent tellement nous apporter. Maintenant que j’ai sorti cet homme toxique de ma vie, je peux reprendre ma vie en mains et faire peau neuve où je le veux et avec qui je le veux. Lui, il n’a qu’à crever en enfer. J’irai bientôt me chercher un pokémon et je compte bien le chérir de tout mon cœur. Le seul poison que j’aurai auprès de moi sera celui sécrété par mon futur pokémon. Une source intéressante pour créer un bon nombre de remèdes, mais aussi pour voir son fonctionnement et sa répercussion sur le système moléculaire et physique de l’être humain.

Comment voit-il l'Organisation Trismegis ? Et le Groupe Victini ?
La raison pourquoi je déteste l’organisation Trismegis? Parce que mon ex travaille comme militaire en son sein. Parce que leurs idéaux et leur manque d’empathie ont fait de l’homme que j’ai aimé autrefois une personne aigre, dure, cruelle et mauvaise. À cause de leurs doctrines, de leur morale à deux balles, cet homme est devenu une personne totalement différente et très toxique et possessive. Me protéger égalait à m’enfermer loin des pokémons et tout près de lui. Cette organisation militaire m’a montré le vrai couleur de cet homme et assez rapidement quand même. En tant que médecin en biochimie médicale, je travaille encore officiellement pour eux, mais dans les faits, je ne travaille que pour le peuple et uniquement le peuple.

J’ai rejoint le groupe Victini dans le seul but de reprendre ma vie en main et de permettre à d’autres personnes comme moi de pouvoir de nouveaux vivre auprès des pokémons. Il faut cesses de brimer les autres à cause de nos peurs et les laisser vivre. Je suis prêt à me donner corps et âme dans ce groupe rebelle et faire un doigt d’honneur à ce connard qui m’a empêché de vivre ma vie comme je l’entendais. Maintenant, plus jamais personne ne me retiendra prisonnier et si cela venait à arriver encore une fois, je me battrai avec le plus mortel des venins. C’est lorsqu’on ne la voit pas venir que la morsure peut nous être fatale.

DescriptionsHistoireStarter

Physique :
Je suis un homme assez grand, mesurant dans les 1m93 environ. Mon corps est élancé et fin et j’ai des traits assez androgynes. En général, les gens me prennent pour une femme à faible poitrine. Ma voix grave et douce leur fait comprendre aussitôt l’erreur et bien souvent, ils s’excusent de s’être trompé. Mes cheveux sont très longs et mon visage assez féminin. Je ne leur en tiens jamais rigueur. L’erreur est humaine après tout. Mon apparence physique est trompeuse si l’on n’y prête pas attention. Je ne suis pas musclé, mais pas maigre non plus. Je dirais que j’ai un aspect assez félin dans mes mouvements et ma démarche.

Mes longs cheveux sont soyeux et doux et jamais il ne s’y forme de nœuds. Je les brosse à tous les jours et je m’assure qu’ils restent en bonne santé. Cela est assez exigent, mais je prends le temps. Toujours. Leur couleur est légèrement violacée et au soleil, ma chevelure pâlit et devient plus lilas. Je les attache rarement, les préférant libre de toute entrave. J’aime sentir la brise et le vent dans mes cheveux et ainsi laisser chacune de mes mèches voleter sous les courants d’air. Beaucoup de femmes les jalousent et je me fais donc un plaisir de leur expliquer ma routine pour les entretenir.

Mon visage est sans imperfection excepté les cernes sous mes yeux qui sont plus ou moins visible tout dépendant combien de temps j’ai pu dormir dans la semaine. Ma peau est pâle et douce et elle a tendance à rougir fortement au soleil. C’est pourquoi lorsque je vais à Kalahari pour le travail, je me sers d’une ombrelle pour me cacher des forts rayons solaires. Une fois sous terre, cependant, je n’en ai plus besoin. Je dois faire attention puisque je ne veux pas attraper de coup de soleil ou de coup de chaleur.

Mes yeux sont clairs et bienveillants la plupart du temps. De longs cils fins et légèrement recourbés trônent à leur sommet. Mon regard cristallin est comme un livre ouvert sur mes intentions et mes émotions. On peut facilement y voir lorsque je suis heureux, triste, effrayé ou en colère. Malgré la dureté de la vie et ce que j’ai vécu, je ne peux pas me montrer indifférent face au monde. C’est impossible pour moi.

Je souris beaucoup et cela que ce soit à une personne que je connais ou à un parfait inconnu. Le sourire d’un tiers individu peut permettre à une personne plus sensible de recouvrer le courage de vivre. Un sourire peut chambouler une vie, tout comme une main tendue peut briser des chaînes.

Mes mains sont grandes et mes doigts gracieux et longs. J’aurais pu devenir pianiste si je l’avais voulu, mais mon manque d’oreille musicale ne m’aurait pas fait aller bien loin dans le domaine. Je suis donc devenu médecin et plus précisément biochimiste médical, une médecine de laboratoire. Avec mes mains, j’analyse les échantillons de fluides corporels de chacun de mes patients et je trouve la source de leurs maux conjointement avec leur médecin général ou les autres spécialistes. Je ne suis pas de ces médecins qui sont en présence de leurs patients, mais je considère chacun d’eux comme le mien tout de même. De mes doigts, j’offre des solutions à plus ou moins grande échelle.

Mes jambes sont longues et élancés. Elles me permettent de me déplacer vite et avec efficacité. Elles ne sont pas faites pour courir longtemps sur une grande distance, mais sur une plus petite, elles donnent tout.

Je ne suis pas très excentrique pour ce qui est de mon style vestimentaire. Chemises, pantalons, souliers propres sont mes habituels habits. Je porte toujours un sarrau sur mes épaules lorsque je travaille pour m’identifier comme laborantin et médecin. Je n’ai pas peur de me salir et même si j’ai choisi la voir du laboratoire, je suis tout de même médecin et j’ai le permis de pratique. Si un incident devait arriver, je pourrais aider quitte à me mettre les mains dans le vermeil de notre eau de vie. Le sang ne me fait pas peur.

Mental :
J’ai vécu dans le calme toute ma vie. J’ai toujours su garder le sourire et une certaine sérénité peu importait la situation. Le calme dans ma tête ne coïncidait pas cependant avec la violence physique et mentale que je subissais chaque jour de la part de mon partenaire de vie. Malgré cela, je souriais, je m’excusais, j’essayais de me montrer ouvert et patient. Je l’ai toujours été n’est-ce pas? Je ne pouvais pas me souvenir le nombre de fois où j’avais abdiqué face à lui, où je lui laissais choisir pour moi, commander pour moi, vivre pour moi. Les blessures, je savais les gérer, les camoufler. La douleur, pareil. Sauf que cela ne m’a jamais aidé.

Je suis un homme passionné, doux, gentil, bienveillant et curieux. J’aime profondément ma profession et les pokémons. Je n’ai été que l’ombre de moi-même pendant treize longues années et je m’en rends compte maintenant. Je suis devenu amer et méfiant vis-à-vis de ceux et celles qui me portaient de bonnes intentions. Je suis devenu honteux de ma personne, de ma vie privée, de ma faiblesse. Le calme qui me caractérisait et cela depuis si longtemps s’était éteint le jour où je l’ai quitté. Ce jour où je suis parti de ma prison, de mon partenaire toxique et malsain. Je n’arrive plus à être calme, maintenant.

Je suis devenu paranoïaque et suspicieux. J’ai développé des tocs, des craintes et des peurs. L’anxiété m’habite où que j’aille si cela se trouve tout près de Bedwyr. J’ai appris à détester et à haïr aux mains de cet homme qui fut autrefois la personne que j’aimais. Il m’a bafoué et trahi et maintenant, je n’arrive plus à faire confiance à mon cœur.

Le travail m’aide à oublier. Le travail me rassure, me conforte et il me permet de me focaliser sur le plus important, les autres. Ma personne, elle peut bien passer en dernier, qu’importe. Je dois réapprendre à m’aimer et à me reconstruire. Je veux redécouvrir ce que j’aime, ce qui me plait et ce qui me déplait aussi. J’ai appris de moi que je pouvais avoir des pensées cruelles et une soif de vengeance incommensurable. Je hais mon ex et je lui souhaite une mort lente et douloureuse.

Lorsque j’étais séquestré à Bedwyr, je n’avais le droit que d’aller au boulot et donc l’hôpital du district, à l’épicerie et à la bibliothèque. J’étais surveillé et je le savais. J’ai découvert une passion pour les venins et les poisons à force de feuilleter des livres sur la biologie pokémon. Plus j’en découvrais sur les pokémons de type poison, plus j’avais envie d’en apprendre davantage. Lorsque j’étais questionné par mon ex, je lui répondais toujours que cela était pour le travail. C’était vrai dans un sens. Si nous pouvions transformer le mal en bien, cela pouvait sauver plus de vie.

Maintenant, cela fait un an depuis ma désertion, ma disparition et ma démission au sein de Bedwyr. Je n’ai pas quitté les rangs de l’organisation, exerçant toujours mon métier, mais je me suis éloigné de la région pour apaiser mon corps meurtri et mon esprit brisé. La folie vengeresse me gagnera-t-elle ou redeviendrais-je l’homme que j’étais au commencement? Le temps seul pourrait me le dire…

Histoire : TW : [violences conjugales et séquestration]

Je suis né la plus chaude journée de l’été cette année-là. Je n’étais pas prévu, ni attendu, mais ma naissance a su charmer mes parents. Ma mère connue pour ses œuvres artistiques excentriques et mon père un critique artistique renommé, ils faisaient bien la paire. J’étais le fruit de leur conception, une nouvelle œuvre d’art inattendue et j’attirai leur attention à tous les deux. Je ne naquis pas dans la pauvreté, ma famille avait des richesses. Je n’avais pas à me soucier de quoi que ce soit. J’avais l’insouciance du nouveau-né et c’était très bien comme cela.

Mes parents tentèrent de m’éduquer dans un monde d’art et de créativité. Ils me firent prendre des cours de peinture et de musique dès que je pus me tenir sur mes deux pieds sans tomber. Quand je fus plus vieux, vers mes quatre ans, ils me firent prendre des cours de chant. Tout pour l’art et rien pour le reste. C’était leur monde, leur mode de vie. Malgré qu’ils n’étaient pas les parents les plus attentionnés du monde, j’avais de l’amour et de l’affection pour eux. J’acceptais d’être l’enfant modèle qu’ils voulaient que je sois, mais la réalité était fataliste. Je n’avais aucun talent artistique.

Je peinturais comme un manche, je n’avais pas l’oreille musicale et ma voix…sonnait faux. Évidemment, je pris bons nombres de cours privés pour tenter de remédier aux problèmes au pluriel. Cependant, même avec de la motivation et des efforts, l’amélioration était maigre. Mes parents furent rapidement pris d’inquiétude au fil des années. Je n’évoluais pas, je stagnais littéralement.

À l’école, je fréquentais quelques clubs et j’essayais de m’intégrer au mieux, mais l’art…elle ne voulait pas de moi. J’étais doué en sciences et en mathématiques cela dit. Quand je finis par accepter ce fait, je me retirai un poids lourd des épaules. Je pouvais enfin avancer dans la vie. Évidemment, mes parents n’étaient pas en accord avec mes choix et mon avenir, mais ils ne pouvaient pas y faire grand-chose. J’allais trouver ma voie en dehors des arts, mais seulement lorsque j’allais être en mesure de me rendre jusqu’aux études universitaires. Je leur promis de faire de mon mieux dans le milieu artistique jusque-là. Un faible coût à payer selon moi.

C’est pourquoi je finis par me diriger vers un art moins demandant et plus spontané, l’art du théâtre. Mes années adolescentes, je les passai à améliorer mon jeu, à être en mesure d’exprimer des émotions et des sentiments que je ne ressentais pas réellement. J’étais au moins assez doué là-dedans. Je n’avais simplement pas la flamme et dès que l’université m’ouvrit ses portes, je quittai Agapé pour Bedwyr.

Je voulais devenir médecin. Je voulais sauver des vies et changer le monde.

C’est à Bedwyr que ma vie changea du tout au tout. Je m’envolai pour me retrouvai dans une cage dont les barreaux étaient incassables et dont je ne possédais pas la clef. C’est là-bas que je le rencontrai. J’avais une année universitaire dans le corps et vingt ans à peine. C’était l’été et comme on dit, l’été est source de forts sentiments et d’amourettes éphémères. Je me suis laissé tenté par le diable et il était sublime.

Il avait quatre ans de plus que moi. Il étudiait en technologie de la communication. Il voulait devenir militaire et aider à protéger la population. C’était louable de sa part et je n’avais d’yeux que pour les siens. Ses charmes, ses mots doux et son physique fort m’avaient fait tomber amoureux de lui sans crier gare. Nous sommes devenus officiellement un couple quelques mois après notre première rencontre et même pas deux mois plus tard, j’emménageais avec lui. Insouciant et stupide? Oui, je l’étais à cet âge. Je le regrettais amèrement.

Tout se passait bien, tout du moins, au début de notre cohabitation. Il restait charmant, attentionné et nous étions amoureux. Dès qu’il le put, il s’engagea dans la milice et je l’en félicitai chaleureusement. Moi pendant ce temps, j’étudiais en médecine pour devenir médecin. Je savais que dans un an ou deux j’allais devoir choisir une spécialité et mon cœur penchait déjà pour la biochimie médicale. Je sentais mon avenir déjà tout tracé et bien défini. Lui, moi, nos métiers, nos passions. C’était beau à imaginer.

Puis, au fil des mois et des ans, son comportement changea. Sa personnalité charmante s’effaçait peu à peu pour en révéler une autre que je ne connaissais. Cette nouvelle personnalité était jalouse, possessive, agressive et manipulatrice. Je ne l’avais pas vu venir. Pas une seule seconde. Moi, je l’aimais trop pour me rendre compte que ce n’était pas normal et pourtant…je pardonnais tout en me disant que ce n’était rien. Une erreur. Des excuses. Et le cycle infernal recommençait encore et encore.

Je cachai mes blessures physiques et effaçai la douleur mentale. Je devais continuer à vivre et à ne pas décevoir.

Puis, à trente-quatre ans, treize longues années après le début de ce calvaire, j’avais fini par couper le fil qui me retenait à la gorge. J’avais fini par craquer. Un soir lorsque son poing s’était abattu sur moi une fois de trop avec la force d’un missile et qu’il me cassa le bras en me faisant tomber contre la table basse du salon, j’ouvris les yeux sur la vérité. Je devais partir ou mourir sous sa violence.

J’attendis au lendemain pour faire mes bagages et donner ma démission à l’Hôpital général de Bedwyr. Je ne donnai pas de détails, mais j’avais besoin de partir. L’homme que j’avais aimé avait fini par me donner cette envie de le haïr de tout mon cœur, de tout mon être.

Je fis soigner mon bras lorsque je fus dans un autre district, à Oma-Oma. C’était un district pauvre, mais j’étais certain qu’il ne me chercherait pas là-bas. C’est d’ailleurs à cet endroit que je rencontrai Trashy, ma Miamiasme. Maintenant, je n’étais plus surveillé, je n’étais plus le prisonnier de qui que ce soit. J’étais libre. Je restai dans le district jusqu’à ce que je sois rétablis de mes plus récentes blessures.

Je quittai Oma-Oma pour Agapé, ma région natale. Avec mes économies, je m’achetai une maison et m’y installai avec le peu de possession matérielle que je possédais. Je voulais la tranquillité, la sérénité, mais… je ne la trouvais plus. J’allais devoir recommencer ma vie et un long chemin sinueux m’attendait. Pouvais-je le faire, réellement?

Je me fis engager à l’hôpital de Kalahari. Sous-terre, je me sentais moins exposé, plus rassuré. C’était le début de ma nouvelle vie et j’espérais ne plus jamais avoir à faire avec mon bourreau, l’homme qui m’avait complètement brisé de l’intérieur.

Surnom : Trashy
Espèce : Miamiasme
Sexe : ♀
Talent : Puanteur
Niveau : 10
Nature : Sociale
Teracristal : Poison

Description : Trashy est une petite Miamiasme que j’ai découvert en faisant un tour dans le Bidonville de Oma-Oma. J’y ai passé un bon mois et demi environ et c’est en me baladant dans le quartier le plus pauvre du district que je l’ai rencontré. Je suis tombé sous son charme au premier coup d’œil. Certes, elle n’est pas la beauté incarnée et beaucoup la trouverait laide, mais moi je l’aime comme elle est. Cette petite a toujours faim et elle cherche souvent mon attention, mais cela ne me dérange pas du tout. Lorsque je suis rentré dans mon district natal, j’ai acheté une belle maison et j’ai aussitôt installé une pièce juste pour elle. Tous mes déchets et mes détritus se retrouvent dans cette salle et ainsi, Trashy peut faire son petit nid douillet comme elle le veut. Pour ce qui est des mauvaises odeurs, je suis habitué alors, cela ne me dérange pas. Si j’ai besoin d’aérer, rien de plus simple que d’ouvrir quelques fenêtres.

Trashy est ma petite assistante et lorsque j’ai besoin de poison pour mes expériences et recherches, elle m’en fournit avec plaisir. Je suis certain que tout le monde va finir par l’apprécier à sa juste valeur. La première impression peut malheureusement être trompeuse. J’en sais quelque chose.

Pseudo : Norivii
Age : DC
Pokémon préféré : Roucarnage
Découverte du forum : DC
Autre ? : DC

Awful

Connaisseur

Ce membre a 6 mois d'ancienneté

Collectionneur

Ce membre a réussi 3 captures !

The Very Best

Ce membre a une équipe complète ! Bravo l'équipe.

Charité

Ce membre a adopté 1 Pokémon au refuge

Bourg-Palette

Ce membre a terminé 1 RP

Nouveau riche

Ce membre a possédé 10.000 P$ à un moment donné.

Curieux

Ce membre a participé à 1 événement

Malchanceux

Ce membre a raté 3 lancers sur le même Pokémon. Pas de bol.

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Dim 4 Juin - 22:57

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Venipatte : Contrairement à Trix, Venipatte a l’air méchant, mauvais : si le médecin fait bonne figure, il n’en est pas de même pour le Pokémon. Sa morsure est extrêmement toxique, peu paralyser quasiment n’importe quelle créature et c’est donc un Pokémon très dangereux : comme Trix, après tout. Il est médecin, il a des connaissances en médecine et pire encore : il est prêt à tout pour se venger. Le poison pourrait faire parti de ses armes de vengeance. Lui permettre de transformer le bien en mal.

Miamiasme : Une poubelle, littéralement. Du point de vue de Trix, un peu comme son ex, non ? Mais c’est aussi un Pokémon poison, dangereux, plein de poisons à expérimenter. Même si forcément, ça ferait un gros contraste avec l’image d’homme propre et soigneux que renvoie Trix … Au moins, il mangera ses déchets … ?

Nucléos : Rien de tel qu'un Pokémon cellule pour un biochimiste médical tel que toi ! De plus, c'est un Pokémon reconnu comme étant capable de s'adapter parfaitement à son environnement. Ce que tu as fait pendant de très nombreuses années. T'adapter dans un environnement toxique. Tu as su te protéger et te cacher derrière un sourire doux, tout comme ce petit être fragile se protège des impuretés extérieures dans une substance gélatineuse.

Goupix-A : Tu es un très bel homme aux traits fins et délicats, presque angéliques. Un Pokémon de cet acabit sera idéal pour t'accompagner. En effet, en évoluant, c'est un Pokémon souvent divinisé que tu auras à tes côtés. Comme toi, il est d'une nature très douce et aide les êtres en détresse. Cependant, ils cachent des côtés impitoyables si on se montre dangereux envers lui. Cela fait bien écho avec la sécheresse que tu emploies en voulant la mort de ton ex, n'est-ce pas ?

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Halloween

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Dim 4 Juin - 22:57

Le membre 'Staff' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Chromatique' :
Analysis completed / Trix TW : [v.c. et séquestration] 0ely

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Staff

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Jeu 8 Juin - 1:20

Bienvenu.e à Ahovu !

Analysis completed / Trix TW : [v.c. et séquestration] Hexago13

[Il est tellement beeeaaaau... Je chiaaaaaaaale !!! En vrai même en dehors de sa beauté très très très magnifiquement jolie, il est tellement intéressant. J'ai hâte de le voir se développer en rp !]

Tu commences donc ton aventure avec 500 P$, ainsi que 5 Pokéballs ! N'oublie pas de faire ta T-Card avant de commencer à RP ! En espérant que tu te plaises à Ahovu. ]

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Halloween

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