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Fēi Yuè
Étudiant.e
Dim 4 Juin - 19:03
Dernière édition par Fēi Yuè le Sam 26 Aoû - 16:48, édité 2 fois
Fēi Yuè 绯月
âge : 17 ans, depuis le 3 mars 2323
pronoms : Iel/Il/Elle dans un ordre de priorité de gauche à droite.
métier : Étudiant.e à l’Académie Uxie | 2ème année
groupe : Neutre
habite à : Basse-Uthyrgham
feat : Dan Heng | Honkai Star Rail
Starter : Sélection de Rôbert
Quels sont les objectifs de votre personnage ?
- Trouver les études qu’iel souhaite faire (parce qu’iel veut tout faire, ce ouf malade).
- Se taper contre tous les champions d’arène, donc avoir plus de Pokémons et les entraîner, de fait. Pourquoi ? Juste pour occuper ses vacances d’été. Et les suivantes. Et celles d’encore après.
- Rencontrer ses amis IVL.
- Mieux se maquiller les yeux.
Quel est son lien avec les Pokémons ? Les craint-il ?
Le fait qu’ils soient considérés comme dangereux l’intrigue. Iel ne contredit pas spécialement cette idée. Iel n’approuve pas non plus complètement. Ce sont des êtres comme les autres, mais avec des genres de pouvoirs. C’est ça, qui l’attire. Ainsi que leur faculté à changer de forme en évoluant. Comme s'iel les enviait, en fait.
Iel s’intéresse beaucoup aux facultés des Pokémons Psys. La malice de leurs comparses de Type Ténèbres attise également son intérêt.
Comment voit-il l'Organisation Trismegis ? Et le Groupe Victini ?
Assez neutre sur le sujet, iel considère tout de même que c’est l’Organisation qui l’a sauvé. Alors iel pense qu'ils sont fondamentalement "bons". Pas que les Victinis soient mauvais, non. Iel se contente juste de ne pas trop s'y intéresser. Qu'ils vivent leurs vies, tant qu'ils ne sont pas trop pénibles.
Physique :
Fēi n’a pas un physique particulièrement remarquable. C’est vraiment un type qu’on rencontre à n’importe quel coin de rue. Son visage est encore juvénile, comme un adolescent de dix-sept ans classique.
Iel possède une chevelure noire de jais très lisse, malgré quelques épis ci et là. Iel a des yeux de la même forme que ceux des chats (cat-shaped eyes, je trouve pas le français, mais vous avez compris).
Son regard est d’un joli turquoise, lorsque la luminosité est optimale. Sinon, cela tire plutôt sur du vert-bleu-gris plus terne. Iel possède des cils non trop longs, ni trop courts, ainsi que des sourcils ni épais, ni fins. Son expression faciale est souvent digne de la palmface. Parfois, lorsqu'il est contrarié, ses sourcils se froncent, et son regard s'obscurcit.
Sa peau est claire, bien qu’elle prenne des teintes plus mates durant la saison estivale. Parfois, il est possible d’observer un peu de fard à paupière rouge au coin de ses yeux, de manière inégale. Iel est assez maladroit avec le maquillage.
Iel n’est pas très grand, atteignant un mètre soixante-huit. Iel ne devrait pas grandir davantage. Sa corpulence est mince, sans être maigre non plus. Iel n’est pas sportif, se contentant simplement de faire la plupart de ses trajets à pied.
Quant à son style vestimentaire, il porte surtout des jeans, des baskets, ainsi que des hauts streetwear. Il met un peu de tout niveau couleur, tant que ce n’est pas fluo ou tape-à-l'œil. Il possède deux piercings aux lobes, assez simplistes, puisqu’ils viennent seulement d’être faits.
Mental :
Aux premiers abords, lorsque Fēi ne parle pas, vous le trouverez assez lambda. Calme, peut-être sombre et mystérieux. Intriguant, même. Mais quand iel ouvre la bouche, iel est très franc, direct, cassant, même. Iel use souvent de sarcasme pour communiquer. Iel ne se rend jamais compte que ses propos peuvent blesser, énerver, attrister. En même temps, si on ne lui explique pas, iel ne peut pas deviner ! On ne lui a pas trop appris tout ça. Enfin, son père adoptif essaye. Mais ce n’est pas toujours évident, puisqu’iel prend très vite la mouche.
S’iel a l’air assez inexpressif, arborant une très belle palmface… Iel est susceptible. Une mauvaise remarque, et un regard noir apparaît. Iel n’a pas le caractère facile, ce qui explique son nombre d’amis extrêmement faible, voire absent à certains moments de sa scolarité. Iel n’en souffre pas tant que ça, bien qu’il soit envieux d’être un peu plus entouré.
Persévérant et curieux (on dirait que j’écris une lettre de motivation, oskour), iel travaille sans relâche pour combler ses quelques lacunes. Quelles sont-elles ? Déjà, iel est dyslexique. Les lettres s’adonnent à une danse folle devant ses yeux, par moment. Choses qui lui donnent envie de balancer ses livres par la fenêtre. Pourtant, iel persévère à s’en faire mal au crâne. Iel arrive à compenser tout ça, mais ça l’épuise. Iel a également un léger déficit de l’attention. Iel commence beaucoup de choses à la fois. Iel s’éparpille et peine à tout terminer. Mais iel fait de son mieux.
Iel s’intéresse à beaucoup de choses. Trop de choses. Et iel ne peut pas tout faire, ce que le frustre beaucoup. Parfois, iel se met à ne plus rien faire du tout, tant les possibilités sont nombreuses. Toutes ces envies et pensées empoisonnent son cerveau. Tout ça l’épuise. Alors iel regarde le mur, le plafond… Une solution médicamenteuse lui a déjà été proposée, mais iel déteste les médicaments. Parce qu’iel a également de grosses périodes de productivité aléatoires, et iel craint que les substances médicamenteuses n’empiètent sur ces moments productifs.
Ses passions ? Le roleplay (J'ai cassé le quatrième mur, oui). Par écrit, surtout. Iel n’es pas super à l’aise à l’oral. Encore moins dans l'acting réel, comme au théâtre. Créer des personnages aux multiples facettes le fascine. Ce n’est pas quelque chose qu’iel assumera pleinement. Car c’est souvent vu comme une passion de no-life. Pourtant, iel a une vie, promis.
Iel aime aussi beaucoup les tenues traditionnelles Johtoïtes, qu’on retrouve beaucoup à Kôyô. Surtout les féminines. Iel voudrait beaucoup en essayer. Mais le regard des autres le met mal à l’aise. Son corps mâle en pleine mutation le met mal à l’aise. Iel bénit chaque jour où ses traits restent fins, pas trop durs. Où sa hauteur reste au mètre soixante-huit. Où sa pilosité faciale reste discrète et facile à annihiler.
Personne ne sait qu’iel est non-binaire. Sauf sur Internet. C’est plus simple, grâce à l’anonymat, de s’assumer. Iel craint qu’on l’embête davantage. Iel est déjà très moqué en dehors de son genre. En rajouter ne le ravirait pas spécialement.
Intrigué par les Pokémons, iel semble encore plus motivé à en apprendre davantage quand iel entend à quel point ils sont dangereux. Le mystère qui les entoure lui procure comme un shot de dopamine. Iel est du genre à aller suivre des Miaouss de gouttière pour pouvoir les approcher et les caresser. Même en se faisant griffer et mordre à sang, iel y retourne encore et encore. Iel n’a jamais été blessé méchamment, après tout. Puis, iel l’avait bien cherché, la plupart du temps.
Bien qu’iel ne soit pas la personne la plus expressive, il lui arrive tout de même d’être en proie à des crises d’angoisse, pour diverses raisons. Que ce soit parce qu’iel n’arrive plus à se concentrer sur ses tâches, ou bien parce que des bribes de souvenir lui reviennent. Souvenirs qui commencent seulement à faire surface, alors que jusque-là, iel était plutôt tranquille. Iel n'y comprend rien, pour l'instant, et c'est mieux ainsi. Des fois, la connaissance est un poison.
[Comme Fei n’a pas beaucoup de souvenirs autres que des bribes avant l’âge de ses dix ans, l’histoire du personnage est racontée par son père adoptif, un administrateur de l’Organisation chargé de la protection de l’enfance dans la région. Puis aussi TW : maltraitance d'enfant + dérives des sectes]
Même si j’y étais né, je n’avais jamais trop aimé Heian. Cette ville aux couleurs automnales, respirant la joie et les traditions johtoïtes attirait pourtant beaucoup de monde. Foutaises. Ce n’était que de façade. La ville entière était menée au nez et à la baguette par ces foutues sectes. Ces croyances en ces Pokémons apparemment plus fabuleux que les autres. L’opium de ce peuple écervelé.
J’avais été appelé car un habitant d’Heian, un instituteur, plus précisément, s’était plaint de n’avoir plus eu aucune nouvelle d’un de ses élèves. D’après une piste de la police locale, il était le fils d’une femme célibataire croulant sous les dettes. Jiāo Yuè, de son nom. Elle enchaînait de nombreux petits boulots… mais ça n’était pas important. Elle avait un profil lambda. Si on oubliait que l’argent entrant dans ses poches disparaissait aussitôt. Et ça sentait les dons à plein nez, croyez-moi. Aux sectes, forcément. Eux et leurs promesses à la con.
Bingo. C’était bien une secte. Une branche déformée et non-déclarée de la secte du Soleil, même pas reconnue par la branche mère, qui ne respectait pas ses propres dogmes. Un classique.
Pour ce qui était du gamin de dix ans, il avait été retrouvé, je vous rassure tout de suite. En bon état, relativement, si on oublie qu’il était chétif, maladif, couvert de blessures, probablement maltraité de la pire des façons. Donc en mauvais état, finalement, bien qu’il soit entier. On ne sait jamais. Je les voyais bien commettre des sacrifices humains, revendre les organes des gamins pour une fortune… Bref. Laissons mon avis très arrêté sur ces fous-furieux.
Le gamin était vivant. Et encore, son esprit ne semblait pas être là. J’avais l’impression de parler à un mur, quand on m’a présenté à lui. Pourtant, il savait parler, mécaniquement parlant. Il entendait, aussi. Tous les tests médicaux avaient été effectués. Même s’il refusait encore de communiquer avec le pédopsychiatre.
Mon rôle avait été de l’interroger, ou du moins, d’essayer. Pour savoir ce qu’on allait faire du gourou de la secte. Il était déjà certain qu’il extorquait de l’argent aux plus faibles psychologiquement. Mais il pourrait y avoir des facteurs aggravants. Ses écrits intimes confirmaient qu’il comptait se servir de jeunes enfants pour des… offrandes. Et personne n’était mort. Le pire avait été évité. J’avais beau jouer le dur et ne pas sourciller, la sueur perlait sur mon front en apprenant tout ça. Le gosse allait mettre du temps à s’en remettre. C’était qu’un gosse, et pourtant, je sentais mon cœur se meurtrir quand je plongeais mon regard dans ses deux orbes turquoises, qu'il avait en commun avec sa criminelle de mère.
On ne pouvait pas le confier à qui que ce soit. Il n’avait que sa mère. Qui était sous les barreaux, actuellement, le temps qu’elle soit jugée pour complicité criminelle consciente. Père inconnu au compteur. Probablement parti chercher du lait ou des clopes. Pas d’oncles, de tantes, ni même de grands-parents en vie. L’orphelinat serait une très mauvaise idée pour un gamin traumatisé. Je pense sincèrement que ça le détruirait.
L’unité pour enfant de l’hôpital psychiatrique ? Puis quoi, encore ? L’enfermer et le défoncer allait encore plus casser son cerveau déjà brisé. Je prenais décidemment beaucoup cette affaire à cœur. J'en dormais peu.
Je ne savais plus quoi faire. La décision allait être prise demain, pour décider quel sera son sort. Je n’avais pas pu en dormir de la nuit, encore une fois. Son histoire faisait écho à la mienne. Je n’avais sans doute pas vécu de choses aussi affreuses. Mais on m’avait sorti d’une famille religieuse très extrême, à cet âge-là. J’avais été placé en orphelinat, dans la campagne Kôyôïte, pour vivre une vie normale. Et ce n’était pas une vie. Surtout pour un enfant brisé comme lui.
“Je vais l’adopter.”
J’avais été ferme, ce matin-là. J’avais de nombreux arguments. J’avais de l’argent. J’étais un membre de l’Organisation plutôt apprécié pour son travail efficace et juste. J’avais un mode de vie exemplaire. On ne pouvait pas me refuser cette faveur que je demandais. Je m’en sentais largement capable. Je voulais que cet enfant connaisse une existence normale.
Certains de mes collègues avaient ri.
“Dis, t’aurais pas le syndrome de l’infirmière, par hasard ? C’est rare pour un gars, ça !”
“T’es célibataire, tu t’en sortiras pas, avec ton travail. Encore, si t’avais une femme, pourquoi pas…”
Je m’attendais à tout ça. Mais ça ne m’a pas empêché de monter un dossier en béton pour enfin réussir à accueillir cet enfant au sein de mon foyer. Et je m'étais également retiré de l'affaire. Je ne pouvais plus, si j'adoptais cet enfant.
Il avait été particulièrement docile en apprenant la nouvelle, et s’était laissé faire lorsque ses affaires ont été rassemblées. Trop docile à mon goût. J’allais devoir lui apprendre à se débattre et à dire non, à l’avenir. C'est assez éloigné de l'enseignement militaire que j'avais reçu, durant mes études. Mais chaque cas était différent. Avec lui, il faudra être permissif.
Une fois installé chez moi, je lui expliquai comment était mon mode de vie. Comme je travaillais, j’avais embauché une éducatrice à domicile qui ferait son éducation et le surveillerait quand je serai au bureau. Il avait hoché la tête, confirmant bien qu’il comprenait tout ce que je lui disais.
Alors que je ne m’attendais à aucun mot de sa part, un timide “Merci.” un peu rauque sortit de sa bouche. Initialement étonné, je lui souris avant de me mettre à la tâche de… père improvisé. J’avais encore du mal avec cette idée, même si elle commençait à me plaire de plus en plus.
Avec les mois et les années, le petit Fēi avait beaucoup progressé. C’était un bon gamin. Il ne demandait jamais grand-chose. Il aidait aux tâches ménagères et travaillait d’arrache-pied à l’école pour compenser sa dyslexie et son trouble de l’attention. J’avais remarqué ça quand je voyais ce dernier plisser les yeux à s’en faire éclater une veine frontale en essayant de lire. De déchiffrer, parfois, même.
Il était extrêmement doué pour compenser ses points faibles. C’était impressionnant. J’étais extrêmement fier de lui.
L’adolescence était arrivée. C’était souvent un moment compliqué pour les parents. Dans mon cas… je dirais que ça pouvait aller. Il commençait à avoir un sacré caractère, mais il restait correct et respectueux. Quelques mots d'avertissement de ses nouveaux professeurs de l’Académie Uxie à propos de son manque de respect et de son toupet, apparaissaient de temps à autre sur son carnet. Quelques bavardages, aussi. Cela me faisait sourire. Il agissait comme un adolescent normal. Presque.
Il se faisait parfois embêter, par des camarades. Des choses qui arrivent souvent, mais je préférais garder un œil sur ça. Des fois que ça tournerait mal.
“Si j’avais un Pokémon, on me fouterait la paix, non ?”
Il communiquait comme ça. Un poil provocateur, avec une touche de sarcasme. La politesse en moins, aussi. Je n’allais pas le blâmer, je parlais comme ça dans le privé aussi. Tant qu’il n’employait pas le même ton avec ses professeurs…
“Peut-être bien. Je comprends donc que tu désires un Pokémon ? Sache que c’est une certaine responsabilité. Ce sont des êtres vivants avec leurs propres impulsions. S’ils se comportent mal, c’est le Dresseur qui est en tort.”
“Oui. Mais c’est moins bizarre qu’avoir un couteau sur soi pour se défendre, j’crois.”
Il devait sans doute parler du couteau suisse que je lui avais offert pour ses quinze ans. De base, c’était surtout pour se débrouiller en toutes circonstances. Ou se défendre d'agression, même si je ne m’en inquiétais pas tant que ça.
“Bon. Et quelle espèce te fait de l'œil ?”
Il ne savait pas. Il était parti réfléchir dans sa chambre sans un mot. Ce qui était un des comportements bizarres mais habituels du jeune homme.
Il avait maintenant dix-sept ans. Il avait bientôt terminé sa deuxième année à l’Académie. Des résultats moyens. Légèrement au-dessus de la moyenne. Mais vu le niveau de l’école, on pouvait les interpréter comme bons. Ce n’était pas ça qui m’importait, pour être honnête. Tant qu’il était heureux.
Il n’avait pas encore trouvé sa voie. Il me parlait d’essayer les combats Pokémons. Chose qui m’inquiétait un peu, vue ma place dans l’Organisation. Tant que c’était encadré, il pouvait bien faire ce qu’il souhaitait, n’est-ce pas ?
Surnom : Soleil
Espèce : Absol
Sexe : Femelle
Talent : Chanceux
Niveau : 10
Nature : Affectueuse
Teracristal : Psy
Espèce : Absol
Sexe : Femelle
Talent : Chanceux
Niveau : 10
Nature : Affectueuse
Teracristal : Psy
Description : Soleil, ce n'est généralement pas le premier surnom qui nous vient en tête lorsqu'on capture un Absol. Pourtant, c'est ce qui est venu en premier à Fēi, lorsqu'il l'a rencontrée dans un élevage, lorsqu'elle était toute petite. Si les Absols sont des créatures pouvant être dangereuses, la jeune Absol est extrêmement douce et délicate, en plus d'être une grande demandeuse d'affection. Fēi n'est pas un grand fan de contacts physiques, mais avec les Pokémons... ça lui semble très naturel. Aussi bien élevée qu'une chienne de garde, elle n'hésitera pas à mordre et griffer, si son dresseur se trouve en difficulté. Elle est très dissuasive, de par son espèce...
Pseudo : Gratiné
Âge : 22 ans, toujours
Pokémon préféré : Giratina
Découverte du forum : J'ai co-fondé, toujours
Autre ? : La peluche Giratina sur mon bureau porte des lunettes roses en forme de cœur.
Âge : 22 ans, toujours
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Autre ? : La peluche Giratina sur mon bureau porte des lunettes roses en forme de cœur.
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Dim 4 Juin - 21:27
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Ceribou : Un Pokémon facile à vivre, parfait pour un.e débutant.e, mais également d’un bon caractère, ce qui pourrait contraster avec le jeune non-binaire( ?). Néanmoins, attardons-nous sur son évolution : comme Fei, la plupart du temps, Ceriflor se cache derrière ses larges pétales violets, mais lorsque le soleil apparaît, il se métamorphose ! Peut-être, comme, espérons-le, son/sa futur.e dresseur.euse, cachant ce qu’iel ressent derrière un masque d’indifférence. En plus, c’est une fleur, et même si c’est cliché, un Pokémon plutôt féminin, qui pourrait justement aider Fei a assumer cette partie de lui.
Rocabot : Un Pokémon fidèle, bien plus dangereux que le précédent, qui pourrait aider Fei à se défendre en cas de problème. En plus de ça, comme Fei, le doggo a différentes formes, différentes façons d’évoluer et tant de possibilité … Et tout comme l’étudiant.e, malgré son air gentil, il est bien plus colérique qu’il n’y paraît.
Bibichut : Un type psy. Mais également un Pokémon ayant le don de sentir les émotions des gens qui l’entoure, ce qui pourrait probablement aider son/sa dresseur.euse … Et même si le Pokémon est tout mignon tout rose, ses pouvoirs psy le rende particulièrement dangereux. Sa forme finale est même capable d’éloigner les autres à coup d’horrible maux de têtes …
Absol : Comme Fei, ce Pokémon vit reclus, coupé des autres – à cause de sa capacité à prévoir les dangers. Pourtant, il n’est pas mauvais, il prévient simplement des malheurs. Cependant, ce Pokémon, fidèle et avec une longue longévité, pour être le partenaire de Fei pour des années, voir même des décennies, lui permettant ainsi de ne plus connaître la solitude. Type ténèbres et créature particulièrement dangereuse, on peut affirmer sans aucun doute qu’il colle aux critères de l’étudiant.e.
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Dim 4 Juin - 21:27
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PNJ
Jeu 8 Juin - 20:43
Bienvenu.e à Ahovu !
C'est tout bon ! Tu peux aller t'amuser TOUT SEUL à l'académie <3
Tu commences donc ton aventure avec 500 P$, ainsi que 5 Pokéballs ! N'oublie pas de faire ta T-Card avant de commencer à RP ! En espérant que tu te plaises à Ahovu. ]
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