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Vitaly Osborne
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Mer 21 Juin - 8:48
Vitaly Osborne
Les ombres du quartier n’avaient pas la même teinte que la veille. Elles étaient plus violacées, rosées, parfois vertes, parfois un soupçon de bleu.Sans doute n’était ce que les reflets des bars et habitations du coin, mais ce soir, elles étaient davantage tangibles. Cela ne le mettait pas en confiance pour autant et il se félicita une fois de plus de n'avoir que quelques billets pour profiter de la soirée, un vieux téléphone portable, sa tritox dans la poche et son théffroi dans son petit sac à dos de toile.

Vitaly s’était arrêté dans un bar avant le lieu de rendez-vous pour pouvoir se rafraichir, recoiffer et passer ses vêtements pour la soirée. En effet, c'était une erreur de débutant que de changer de district pour le plus chaud possible en étant déjà habillé pour sortir alors qu’on était au cœur de juin. Il rangea sa tenue de sport noire portée pour le trajet, se passa de l'eau sur le visage et le tronc puis enfila un ensemble avec en bas un pantalon léger gris ajusté mais souple et résistant pour pouvoir suivre le vrai léopardus rencontré sur tout terrain. “rappelle toi que c’est toi qui m’aura demandé de t’emmener” lui avait il dit.
Pour le haut de la tenue :  tshirt entre le vert d’eau et le kaki, chemise estivale à l’épais coton blanc cassé.

Les habits étant déjà parfumés, il ne fit qu’un petit raccord de parfum dans son cou et.. il était près. Coup d’oeil au miroir. Ok.
Spoiler:

Il arriva au bar de rebsez vous et accéléra légèrement en voyant le brun. Il ne s’était pas spécialement dit qu’il ne viendrait pas. Mais, les lapins, quand on le levait dans ce genre d’endroit, c’était fréquent. Son corps senti une petite augmentation de température interne et il vint s’installer en face du mince individu en noir.

“Bonsoir, comment vas tu.?” Il posa devant lui une petite pochette individuelle en papier noir pour ranger les serviettes, imbibée de quelques goutte de son parfum et gonflé par ce qui se trouvait à l'intérieur. Il la poussa vers l’homme. Si le brun le retournait, il verrait qu’il y avait  logé :

Spoiler:
Le jeune homme avait passé un peu de temps chez un pote fleuriste pour choisir. Sourire très fugace (il y avait beaucoup de monde ici) mais aussi brûlant que la couleur du présent.
"Au fait, je m'appelle Vitaly, et toi?"
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Mer 21 Juin - 14:52
Anonymous

~Solstice~



Il y a le  quartier des ombres, ses ruelles grises, ses gens au regard noir et... lui. Lui avec sa tignasse de blé, son regard doré, sa peau rosé et sa tenue clair et parfumée dont l'odeur venait se mélanger à celle de mon tabac. Il jurait avec le paysage autant qu'un Magicarpe dans un puits de lave... Je me demandais un instant si il se rendait compte à quel point il ne passait pas du tout inaperçus malgré la simplicité de sa tenue.

Bien entendu, j'ai entendu sa salutation et sa question mais mon attention est très vite attiré par la pochette en papier qu'il me tends. En toute discrétion, j'y glisse un doigt pour la soulever légèrement et y découvrir le rouge brulant d'une fleur de lys. Je dois avouer que je n'ai absolument aucune idée de ce que je dois faire de ça... Les fleurs, j'y connais rien. A la limite, le rouge, cela peut autant être la passion que la colère. Peu de chance que se soit le premier, mais pour le second, pourquoi le serait-il ? Pire, pourquoi me le dirait-il ? A moins qu'il l'ai juste choisi au hasard? Après tout, certains s'offre des choses en rencard et il ne connait surement aucune de mes préférences... Attend-il aussi un cadeau de ma part? Je n'ai absolument rient prévu...

Mon regard se relève dans le sien quand il se présente, se rendant compte qu'il ne me connait pas. Je laisse la pochette noir recouvrir de nouveau la fleur pour attraper la cigarette que je fume et lui tendre. On aura qu'à dire que c'est mon cadeau.

"Vox."

J'y ai beaucoup réfléchis, plus que je ne voudrait l'admettre, mais tant que je ne sais pas ses attentions, je ne préfère pas qu'il connaisse le nom que je porte chez les Victini. Après tout, il est flic, et même si je fait tout pour n’être qu'une ombre, même parmi ce gang, peut-être mon pseudo est-il affiché entre deux lignes dans un rapport. Mieux vaut rester prudent et choisir plutôt le coursier à l'informateur.

"Si tu es prêt, allons-y. Autant ne pas perdre de temps."

En me levant, mon regard se repose sur la serviette à la fleur. Une petite hésitation et je l'attrape finalement délicatement, sortant la fleur avec soin. Je ne peux pas la laisser là quand même. La poser sur mon chapeau ou sur ma pochette ? Non, c'est trop rouge et voyant pour moi. L'abandonner n'est pas une option non plus. J'avise finalement Vitaly du regard avant de lui glisser la fleur dans sa poche située au niveau de sa poitrine. Cela lui va bien mieux qu'à moi.

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Vitaly Osborne
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Jeu 22 Juin - 13:42
Vitaly Osborne
Le jeune homme soutint le  regard du brun, tranquillement d’abord, puis avec étonnement. Il le jaugeait non? Il l’avait vu regarder avec insistance son visage, son cou et ses cheveux. Sa tenue aussi. Quoi? Ils ne s'étaient vu que dans l’ombre, peut-être que quelque-chose lui déplaisait. A c’était dommage car il pouvait difficilement faire mieux. Quoique? A voir.
Coup d'œil autour d’eux. Il y avait beaucoup de monde, quelques furtifs regards sur lui. Si le brun était un habitué, personne ne le connaissait.

Le blond observa la réception de la fleur. Il semble ne pas beaucoup réagir mais les yeux noirs restent posés dessus. Cela fit revenir un sourire tout aussi vite effacé :  on les regardait déjà avant. Ou le regardait lui.
.Il récupéra la cigarette déjà entamée qu’il porta à ses lèvres. Enfin, il découvrit comment s'appelait l’inconnu. Cela ne lui avait pas manqué la veille, mais c’était satisfaisant de le connaître ce soir. Il se leva à moitié dans le même mouvement que son interlocuteur, prêt à jeter la fleur au détour d’une ruelle. Mais Vox s’arrêta dessus. Encore une fois, il regarda la pochette avec circonspection. Puis le brun la saisit et la mit dans sa poche de chemise à lui, ce qui lui fit ouvrir tout grands les yeux qu’ils ne brasillent un peu au fond des iris..



“Je te suis” répondit il sans manquer d’articuler mais rapidement.

Il enfonça le lys dans sa poche jusqu’à ce qu’elle disparaisse veillant à ne croiser aucun regard. Surtout pas. Erreur fatale. On entre apercevait du rouge en observant par en haut; cela ne ressemblait plus à une fleur. Cela tacherait sa poche.

“Je”... les paroles acides de Salomon et son accusation de se méfier de ses origines Kalahariennes venait de lui revenir en tête..” “j’aurai fait cela dans tous les districts. Je veux pas que notre soirée soit gâchée si on doit se bastonner dehors.” se justifia t il dans un murmure. A lui de scruter Vox, son ouverture pour une invitation avait eu l'air d'être naturelle bien que subtile. Mais, était-il sorti avec beaucoup de garçons pour se risquer à s’afficher ainsi à des endroits douteux?

Il se leva et sorti, le physique détendu, les yeux vers la ruelle et accueillit avec plaisir l’air frais de la douce nuit d’été. Retour de son grand sourire et il prit une grosse goulée de nicotine en s’amusant a faire des petits ronds de fumée en soufflant. Il se mit ensuite à suivre le brun. “j’ai comme une impression de déjà vu monsieur.” ronronna t il.

Puis, plus du tout, ok ils vont vers l’est.. ensuite, gauche, ensuite ils reviennent un peu en arrière non? Ou est-ce la rue qui a fait une boucle? Et mince. Une dizaine de minutes suffirent à le perdre complètement. Heureusement, il avait un vieux téléphone mais un gps dessus. Tout en marchant, ses yeux se perdaient dans le dos de Vox. Il restait à distance de lui, mais il ne manquait pas les mouvements fluides sous ses habits.. -il quelque chose à se laisser entrainer si loin? Oui. Aussi. Il était dans un monde qu’il ne maîtrisait pas. Mais son rythme cardiaque s’accelerait progressivement, c’était plutôt de l’excitation qu’il ressentait. Même s’il ne retrouverait pas son chemin sans Vox, il acceptait de perdre ce contrôle là pour découvrir les secrets de la ville.


Ils arrivèrent. Quartier d’ingénérie, des machines rouillées. Sympa. Il ralentit en voyant un mec assez vieux, son visage était rosit par de long traits de cicatrices. Puis un autre. Euhh. Il y avait aussi une femme, avec des bandages ensanglantés frais.

“rassure moi, tu comptes pas vendre mes organes?” plaisanta t il en regardant l’entrepot qui pourrait etre un hopital clandestin. Vox s’occupa des vigiles, Vitaly se sentait un peu con dans ses fringues et espera que personne ne s’approche de lui pour sentir le parfum boisé sur sa peau qui se mariait mal avec la flaveur du sang qu’il venait de clairement identifier dans la brise.
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Jeu 22 Juin - 14:17
Anonymous

~Solstice~



Faire cela dans tout les districts... Parlait-il de la fleur ? Des rencards ? Des enquêtes sous couverts de rencard? Quand il parle de se bastonner, je me retourne pour prendre les devants, murmurant un bref "Je ne me bats pas" que je ne suis pas sûr qu'il ai entendu. Les poings, les nezs en sang et les bleus sur le corps, ce n'est pas pour moi. Cela ne me dérange pas de le voir mais je n'y participe pas. Mince comme je suis, le moindre coup pourrait me casser en deux... Heureusement que mon agilité aide à éviter le pire les rares fois où je me retrouve coincé.

Une partie de moi aurai aimer être plus fort, plus puissant, plus beau. Un peu comme lui que je surveille du coin de l’œil pendant que je m'amuse à lui faire perdre le chemin. Mais je ne le suis pas et ne le serait sans doute jamais alors autant faire avec ce que je suis et ce que j'ai.

Je reste à une certaine distance de lui, devant, jusqu'à notre destination. L'endroit est plein d’hangars servant de décharge et de cimetière pour les différentes machines du quartier d’ingénierie. Un bric à brac où les pauvres et les rats se rejoignent pour chercher de quoi vendre, trafiquer ou manger. C'est ici qu'à lieu la "partie" de ce soir. Si l'endroit semble vide d'abord, on fini par rencontrer quelques personnes dont le regard se braque directement sur mon "rencard". Moi, ils me connaissent, lui, pas du tout.

Vendre ses organes? Mon regard se posa sur lui avant de le détourner, une sourire ce glissant furtivement au coin de mes lèvres.

"Je pourrais. Tu es en forme, cela pourrait me rapporter gros."

Mais non, je ne suis pas là pour ça. Mon sourire s’efface quand le vieux type me fait un signe de la tête. Je laisse Vitaly sous le regard des deux autres pour aller le rejoindre. Quelques mots échangés, la promesse d'en prendre la responsabilité et un billet suffisent à avoir l'aval et la tape amical sur l'épaule. On revient chercher le blondinet et voilà que nous sommes accompagné parmi le labyrinthe d'entrepôt. Au fur et à mesure le bruit se fait entendre, tout comme une forte odeur de sueur, d'alcool et de sang. Dans l'un des bâtiment, une cage coré de plus ou moins 6m de largeur à été installé. A l'intérieur, un malabar musclé qui se débat dans de grands râle contre un Arbok. Alors que notre guide nous laisse en nous disant de bien nous amusé, je repose mon regard sur Vitaly :

"Un endroit qui m'intrigue : C'est fait. Je me demande toujours comment certains font pour oublier totalement leur sens de survie, qu'ils s'agissent des humains ou des Pokémons. "

Reposant mes prunelles sur la cage, je plonge mes mains dans mes poches et lui demande :

"Es-tu déçus, blondinet?"

Il ne faut pas longtemps au Arbok pour gagner le match, l'humain, étouffer sous ses anneaux, frappant le sol pour déclarer forfait. Si l'animal avait user de ces capacités, il en resterait peut être aucun morceau... Gueulant pour se faire entendre, un jeune homme, au milieu de la cage, demande un nouveau volontaire et un nouveau Pokémon.

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Vitaly Osborne
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Ven 23 Juin - 9:56
Vitaly Osborne
"Je pourrais. Tu es en forme, cela pourrait me rapporter gros." Mais il avait de l’humour! Et
dévoilait premier sourire, pas trop tôt. Charmant qui plus est. L’expression du brun se figea de nouveau lorsqu’il communiqua avec le vigile. Le vieux, lui aussi, avait dû être surpris de pas voir Vox en gueule de circonstance. Mais il les laissa passer.

Ils s'enfoncèrent dans le labyrinthe, la présence du brun l’incitait à mettre la prudence de côté, ainsi il ne ralenti pas en se sentant perdre ses repères. Il le dévisagea en entendant un cri entre l’effort et la rage, a première écoute du moins. Mais.. Vox ne sembla pas s’en émouvoir. L’odeur de sang sentie dehors revint. Vitalt s’agita. Il avait fait un effort de mémoire, mais ne doutait pas qu’a 80%, il ne trouverait pas seul la sortie.

Ses pupilles se reduisirent en avisant la cage d’or où se déroulait un combat entre.. un homme et un pokémon. Assurément, l’humain étouffait et les crochets du pokémon avaient gratté sa peau.
"Un endroit qui m'intrigue : C'est fait. Je me demande toujours comment certains font pour oublier totalement leur sens de survie, qu'ils s'agissent des humains ou des Pokémons. "Es-tu déçu, blondinet?""

Le flic ne répondit pas tout suite, observant seulement le combat.
“Y a t il des gens qui sont envoyés dans la cage de force?” questionna t il sourdement. “forcé par d’autres personnes, pas parce qu’ils ont des dettes ou sont désespérés.”précisa t il les mâchoires serrées. Il comprenait l’explication de Vox mais, avait il voulut le tester? Ou l’apeurer? Peut être savait il qu’il était flic?! Non non, improbable qu’il l’aurait l’emmené ici pour le blesser, sans doute seulement pour jouer avec ses nerfs. Il eut un bref regard pour le lys enfoncé dans sa poche.

Le pokémon semblait néanmoins dressé et il avait libéré l’humain quand ce dernier avait déclaré forfait. L’arbitre gueula pour appeler d’autre personne. Vitaly eut un mouvement réflexe. Le torse gonflé, il se plaça légèrement en avant par rapport au brun, comme si le jeune homme risquait de désigner quelqu’un au hasard et que cela tombe sur ce dernier. Lui non plus, ne comprenait pas l'instinct des gens qui se retrouvaient ici. Il fixait toujours le ring tandis que pokémon et adversaire se faisaient attendre.
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Ven 23 Juin - 13:48
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~Solstice~



Je l'observais du coin de l’œil alors qu'il laissait planer une réponse. Je comprends sa "surprise" car après tout, qui emmène son "rencard" dans ce genre d'endroit ? Mais c'était sa demande. Sa faveur. Il aurait dût faire attention au choix de ces mots. Même en passant du temps ici et en apprenant un peu plus les motivations de chaque participant du Poké-Fight-Club, celà m'intriguait toujours autant.

Je les avaient connus en simple client, ayant livrer, avec le Corboss que je possédais autrefois (le père de Brûme), les barreaux et chevilles de la cage, morceaux par morceaux. De fil en aiguille, de simple coursier, j'étais devenu une connaissance du club, puis un adhérant. Par pour les combats, je n'y participait pas, mais par curiosité de ce petit monde. Il faut dire qu'ils étaient à peine une petite vingtaine dans cette entrepôt, tous différents. Parmi eux,  il y avait même un Trismegis et un Victini mais la discrétion étant de mise, personne d'autre que moi ne le savait. Je me demandais d'ailleurs si Vitaly reconnaitrait le premier... Si il en fait vraiment parti... Le dénoncerait-il au autres ? Je ne m'étais pas poser la question tient.

Sa question me renvoi à l'instant présent. Sa voix s'est faîte moins enjôleuse, moins taquine, bien plus sourde.

"Pas à ma connaissance."

Et des connaissances, ici, j'en ai plein. Je remue doucement la tête :

"Le club n'est pas un endroit pour régler ses comptes. Tu n'y trouvera pas de type qui veut seulement ce remplir les poches ou taper des poings. Les gens d'ici sont bien plus complexe : Ils recherchent une raison de vivre, à devenir fort, à comprendre ce que vivent leurs Pokémons lors des combats, ou simplement, à ressentir le frisson dans une vie devenue morne. Le danger est réel pourtant, ces créatures pourraient les tuer en un claquement de crocs. Cela choque moins le monde quand le combat se fait entre Pokémon et pourtant, le risque reste aussi grand."

Quand on appela d'autre volontaire, je le vis s'approcher et j'en levais un sourcil, surpris. Il avait envie d'essayer ?! Je ne fut pas le seul à me poser la question d'ailleurs, "l'arbitre" ayant remarqué, aussi, son pas en avant et le désignant du doigts avec "Ah, le nouveau veux tenter sa chance!". A quoi s'attendait Vitaly après tout ? Ici, tout les visages ce connaissent, sauf le sien. On le scrute et même ce petit pas ne passait pas inaperçus. Je murmurais alors en observant sa nuque et ses petits cheveux blonds :

"Ton instinct de survie ne semble pas très haut non plus..."

En attendant, un Malosse avait été envoyé dans la cage, l'animal aboyant en attendant un adversaire.


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Vitaly Osborne
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Ven 23 Juin - 16:26
Vitaly Osborne
Vitaly se força a ne pas trop regarder aux alentours, le moindre coup d’oeil déplacé et… il n’était déjà pas à sa place ici. Vox l’était il? Il l’avait conduit ici.

"Pas à ma connaissance."
Il écouta ensuite avec attention la définition des gens qui erraient dans cet endroit. Tous les gens qui n’arrivent pas à se connecter à la réalité ou s’y sentent enfermés. Il acquiesça lentement sans répondre. Il n’avait jamais vécu l’excitation de l’adrénaline a manquer de mourir ou se faire handicaper à vie. Mais aussi, il n’avait jamais eu de réelle place dans ce monde. Alors, tant que ceux qui venaient ici étaient consentants alors, à premiere vue, cela ne le choquait pas.
"Je suis d'accord que ce n'est pas juste pour les pokémons. Je méprise ceux qui font se battre ceux qui n'apprécient pas cela."

Toujours sur les nerfs, son mouvement de défense fu aussitot suprit. Oh, début d’une terrible galère. Vite.
"Ton instinct de survie ne semble pas très haut non plus..." dit le brun. Vitaly le sentait plus proche qu’il ne l’était, comme si pareillement au malosse, il aurait pu lui sauter au cou. Un frisson lui parcourut la nuque : "Si je refuse il se passe quoi? "
Après tout, il était le nouveau et Vox… il l’avait fait entrer. Ils pouvaient être deux bloqué au coeur du labyrinthe. Le blond se tourna en l’entendant commencer à répondre.


"Essaye et tu verras." Vitaly vu luire la malice dans les prunelles noires. Oh, salaud!

“Je! Non merci!!” dit il avec le grand sourire de couillon numéro 3, celui qui éloigne la foudre et attire un peu de mépris. Mais, ce n’était pas cher payé. Il recula : “j’ai soif, la première tournée est pour moi.” dit il à l’adresse de Vox, le coeur bringuebalé sous une gerbe d’adrénaline. Quelqu’un d’autre se proposa et il fut enfermer avec un malosse. Ce n’était qu’un jeune pokémon, mais qui avait autant d’armes que de crocs. Si Vox se foutait de lui, c’est qu’il n’y avait pas eu grand danger.

Une fois bière en main et un peu éloignés de la buvette, il siffla : “eh toi, t’es vraiment du genre à emmener tes conquêtes voir un film d’horreur pour qu’elles fondent dans tes bras. A un niveau extrème. Tu conclus souvent avec cette méthode?” taquina t il, petite vengeance pour les battements de coeur que Vox lui avait fait manquer. Il serra les dents en s'arretant de boire alors qu'un cri de douleur résonna dans l'entrepot presque vide.
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Ven 23 Juin - 17:14
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~Solstice~



Etait-il sincère quand il disait qu'il méprisait ceux qui user de leur rôle envers les Pokémons ou était-ce simplement pour aller dans mon sens ? Pour mieux m'approcher et, par la suite, infiltré les Victini ? Je n'étais pas encore certains de ce qu'il savait où non, mieux valait resté sur mes gardes pour le moment. Je n'étais pas à l'abri que ses paroles les plus sérieuses soient des mensonges...

Risqueras, risquera pas ? Non. Sage décision. Même si le Malosse semblait pas très grands, ces crocs restaient redoutable et cela aurait été dommage qu'il finisse en charpie, lui, son bel ensemble et sa bonne odeur. Un autre se désigna et le duel commença alors que Vitaly déclara être assoiffé, retrouvant vite son énergie et ses taquinerie. Je le suivait au bar improvisé, me questionnant encore et toujours sur son cas.

Il n'y avait pas grand choix au bar : Bière, bière et bière. Et cacahouète. J'en croquais une avant de répondre à sa provocation :

"C'était ta demande : Un endroit qui m'intrigue. Pas un endroit romantique. Par ailleurs, non, je ne conclue pas ainsi. Je ne suis pas un adepte des rencards, des flirts ou d'autres chose du genre."

Un cri de douleur et Vitaly qui se tends aussitôt. Sensible, finalement, le flic. Je pose une main sur son bras pour attirer son attention et lui désigne, d'un mouvement de tête, deux personnes et un Leuveinard un peu plus loin. Certes, les gens d'ici sont un poil suicidaire mais pas bête. il y a toujours un couple de soigneur dans les environs, autant pour les hommes que pour les Pokemons. J'enlève par la suite ma main et attrape ma canette avant de poser, à mon tour, des questions :

"Et toi? Tu suis souvent des inconnus pour des rencards bizarres ? Qu'attends tu de cette soirée?"

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Vitaly Osborne
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Sam 24 Juin - 9:42
Vitaly Osborne
Son regard détailla un temps les humains soigneurs et le leveinard. Puis il releva les yeux vers Vox avant de laisser tomber ses mains dans sa poche lorsque ce dernier ôta ses doigts de son avant bras.
Il allait devoir faire attention et laisser ses sens s’endormir malgré les echos du combat. Il ne pouvait rien faire : le duel avait été consenti, il ne changerait ni le présent, ni le passé, qui d’après Vox, avait tracé des lignes tout droit entre les barreaux or et rouge pour essayer de trouver de la liberté.

C’était bien ce que j’ai demandé oui. Je suis intéressé par les endroits uniques. Et les particularités de chacun. Ce serait si dommage de sortir peut être rien qu’une fois avec quelqu'un et que cela ressemble à tous les rencards que j’aurai ou qu’il aura. Le quartier des ombres m'intéresse. Et le romantisme, on l’a emporté avec nous.” dit-il sans sourire avec un coup d'œil à sa poche puis léger clin d'oeil. Le rouge de la fleur y était visible quand on regardait l’ouverture par en haut.

L’allégement du ton de la conversation réanima ses traits : “Ouais j’ai dû mal à résister aux inconnus qui me laissent les suivre.Même si, si tu me dis que tu n’es pas adepte des rendez vous, je me demande comment j’ai fait pour l’avoir.” sourire flamboyant cette fois ci.
“En général, il finit toujours par avoir des moment un peu étonnants ou stimulant dans la soirée et l’issue est plaisante. Une fois qu’on a trouvé ce qui touche quelqu’un, il devient bien plus plus amusant. J’attends principalement de m’amuser ce soir.”

“Si tu fais peu de rencard, tu fais quoi alors? Souvent avec des hommes?” cette question le titillait depuis tout à l’heure, alors il avait discrètement casé une double question. Aussi, cela permettrait à Vox d’esquiver la première partie pour éviter un potentiel malaise.
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Sam 24 Juin - 14:28
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~Solstice~



Sa vision des rencards était assez intéressante en soit et pas idiote du tout. Vitaly n'était peut être pas qu'une belle gueule à sourire. Son intérêt pour le quartier des ombres, lui, ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd en tout cas. C'est donc l'endroit plus que moi qui l'avait intrigué alors ? C'était tant mieux... Enfin... C'est ce que je m’efforçais de me dire malgré la pointe de déception dût, surement, à un reste d'orgueil et de fierté. En réalité, je ne suis pas assez bien ni en tant qu'homme, ni en tant que Victini, pour intéresser se blondinet pour autre chose qu'un rencard chopé par hasard suite à un malentendu sur un Chacripan. D'un côté, c'est tant mieux, cela me donne l'occasion de poursuivre tranquillement mon but. D'un autre.. Oui... Cela reste un poil blessant.

Alors que son sourire revenait fièrement pendant son explication, je l'observais attentivement, sirotant mon verre en ignorant tout ce qu'il se passait autours de nous. A dire vrai, quand j'avais provoqué avec l'idée d'un rencard et de poursuivre les autres dans la rue, je m'étais plutôt attendu à du rejet. Pas à ce qu'il en profite pour me le réclamer à la suite. D'ailleurs, quand il parle de s'amuser... Parle-t-il de corps à corps ? D'une fin passionnel avant que chacun ne se quitte en se tournant le dos ? D'un coup d'un soir sans lendemain ou chacun oubliera l'autre juste après ? Je sais déjà qu'il l'a fait plusieurs fois et en soit, cela me conviendrait assez. Il n'est pas bon de trop fricoté avec les agents de l'ordre... Surtout quand on fait partie des Victini.

Ce que je fais et avec qui. Je pose ma bière qui c'est à peine vidé, passant plus de temps à trempé mes lèvres dedans qu'à vraiment boire, puis détourne le regard vers la cage :

"Ce que je fais... Je dirais que m'arrange pour garder ma propre liberté en acceptant de m'amuser qu'avec celles dont c'est le métier."

Je repose mon regard sur lui avant de reprendre :

"Je ne suis pas un rayon de soleil au corps outrageusement dessiné qui ce voit même sous un simple haut comme celui-ci" Dis-je en désignant ses vêtements", ni du genre à avoir le sourire facile et contagieux, ou encore avec de la malice et le jeu tentateur au fond des prunelles. Je n'aurais surement que peu voir pas de réponse positive si je réclamais le moindre rencards ou essayer le moindre flirt. Qui plus ai, beaucoup cherches une continuité après un rendez-vous et ce n'est pas du tout ce qui m'arrange.  Pour les adhérant du Poké-Fight-Club, le prix de la liberté sont les cicatrices, on peut dire que la mienne est la solitude."

Je sortais une cigarette que j'allumais avec des gestes habitués avant de répondre à se seconde question :

"Rarement plutôt, pour la gente masculine, je crois que je suis plus exigent avec eux qu'avec les demoiselles. Ils faut vraiment qu'ils me plaisent."

Je lui demandais alors en soufflant doucement la fumée de ma première bouffée de tabac, le regardant avec une petite lueur de défis au fond des prunelles:

"Il me semble que les rencards sont fait pour se connaitre un peu avant de "s'amuser" alors, parles moi un peu de toi."

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Vitaly Osborne
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Sam 24 Juin - 16:50
Vitaly Osborne
Les professionels? ouais, par excellence, les gens qu”il laisse toujours courir. Même si le racolage était interdit par la loi. Il ne voyait pas en quoi ces gens perturbaient l’ordre, il était bien plus utile ailleurs. Même faire fuir un rattata égaré et affamé d’une habitation était plus nécessaire.

Son corps s'échauffa à la définition légèrement appuyée de “l’amusement” de Vox qui brula ses ses nerfs sous sa peau, il fit un effort pour que son regard ne s’attarde pas sur le corps de leopardus du brun. Heureusement, l’ambiance générale le refroidissait, le désespoir inassumé et vindicatif anesthésiait ses sens habituellement toujours prets. En effet, son instinct lui disait davantage d’emporter le menu brun loin d’ici que d’exercer sa technique de déboutonnage de chemise vitesse fatale foudre. Coup d’oeil à l’individu en question quoique.

Vox en rajouta une couche en se decrivant : ni joli corps, ni regard ou sourire charmeur. puis
Pour les adhérant du Poké-Fight-Club, le prix de la liberté sont les cicatrices, on peut dire que la mienne est la solitude.
- La solitude permet de disparaitre lorsqu’on le veut. En effet.


“d’accord, je vais te dire…” répondit Vitaly quand il lui demanda de se présenter. Il regarda son interlocuteur il s’était dévoilé.
Parfois, il suffit juste de demander un rencard pour l’avoir. Si la personne en face vaut le coup, elle ne dira pas non.” insuffisant. “et qui sait qui te trouvera beau Vox.” ses mots se turent.
Cet inconnu le rejeterait s’il faisait preuve de faiblesse. Mais pour autant, ce il n’aimait pas la force pour autant.
Allez
Fais juste, un petit effort.

“Tu es séduisant à mes yeux. Je suis satisfait que tu penses la même chose de moi. Je ne sais pas comment me présenter pour te répondre.” Et Vox préférait les femmes aux hommes, pas de chance. Mais… il n’avait pas dit non… juste “vaut le”. Allait il dire qu’il faisait partie de l’organisation? Les mots lui roulèrent sur la langue avant de refouler dans sa gorge. Qu’il était flic? Envisageable mais… ce serait impossible alors d’esquiver le sujet de son appartenance a la police et l’organisation alors que statistiquement, vu son district soit Vox était neutre, soit par manque de chance il s’approchait plutot des Victinis. Cependant, sujet difficile a esquiver vu que le brun était du genre a se poser des questions avant de faire quelque-chose.

“Hmm… je viens d’avoir trente ans… tu risque de ne pas apprécier mon métier, donc cela bloque la conversation sociale de rencontre. Que voudrais tu savoir de moi?” il tendit la main pour lui demander une taffe.
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Sam 24 Juin - 19:17
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~Solstice~



En effet. Disparaitre quand je le souhaite. Ses mots sont bien choisi. Quand il déclare que je suis séduisant, par réflexe mon regard se détourne et j'avale une gorgée plus importante de bière. Pas besoin de me flatter ainsi pour un simple rendez-vous d'un soir. Heureusement, si jamais je rougie, la toison épaisse sur mes joues le cache facilement.

Ce qu'il ne dit pas et bien plus parlant que ce qu'il accepte de raconter. Je pourrais m'imaginer tellement pire qu'une fonction d'agent de l'ordre et de Trismegis. Imaginez donc si son travail était à l'usine ? A répéter les mêmes gestes dans une monotonie effrayante... Soumis à un monde qui ne vit que pour augmenter ses bénéfice.... Quel horreur à mes yeux, bien plus que de courir après les sois-disant voyous ou d'essayer d'instaurer l'ordre en proclamant que les Pokémons sont le chaos et le danger. Je finis finalement mon verre de bière d'un coup avant de lui tendre le reste de ma cigarette :

"Je veux savoir ta façon de voir le monde et ta façon d'y vivre, ce que tu y aimes et ce qui t’insupporte. Je dois t'avouer que je t'ai juste pris pour un stupide et agaçant petit minois au premier regard que l'on a échangé. Il semblerait que je me sois trompé."

Je lui fait signe de me suivre pour continuer cette conversation dehors et arrêter de lui infliger le décors et les sons du club clandestin. Même si il s’efforçait de ne pas le montrer, j'avais l'impression d'avoir en face de moi un animal fermement ancré sur ses pattes, prêt à mordre pour se défendre. Et le voir si tendu, j’admets, avait quelque chose de très aguichant. Peut être trop même. Cela n'augmentait que mon envie de le pousser hors de ces limites par simples curiosité. Mais, je suis toujours de ceux qui rappelle qu'il y a toujours des conséquences... Et celles qui pourraient arriver ne me plaisait pas. Je préférais largement son idée de finir dans un "amusement" commun que par des cris, des blessures et, qui sait, peut-être des menottes et des barreaux. Non, restons simple ce soir. Comme si il n'était pas flic. Comme si ce n'était pas un proche ou un membre des Trismegis. Comme si... Il était vraiment là pour un rencard avec moi.

Ce n'est que quand je peux poser le regard vers le ciel assombris et les rares étoiles rebelles qui se battent contre les nuages que je rajoute à mi-mots :

"Je veux tout savoir, en fait."

KoalaVolant
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Vitaly Osborne
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Dim 25 Juin - 14:27
Vitaly Osborne
“Haha, c’est surtout que tu changes d’avis qui m’étonnes. Pourquoi?” rit il au “t’es moins con que je ne le pensais. [/i]“Ok je réfléchis.” gagna t il du temps à la question. Il ne savait pas comment faire en fait. C’était la première fois qu’on lui demandait de but en blanc. “[i]Qui es tu?” Néanmoins,Vox n’avait pas relevé son erreur de tout à l’heure quand il avait ri de son métier et il ne voulait pas le relancer là dessus. Personne ici ne devait savoir qu’il était flic. Il y avait forcément des choses en plus que des combats et paris illégaux. Trafic, blanchiment d’argent? Oui. Evidemment.

A leur place, lui, laisserait il un flic ressortir, alors que n’importe quel pokémon dressé pour tuer sans capacités pourrait causer un accident? Certains disent que les flics sont plus protégés que les autres. Vitaly n’y croit absolument pas. Leur mort cause juste un peu plus de blasement. Mais les poursuite eh bien… soit on ne peut pas faire plus que d’habitude, soit la mort doit rester impunie pour protéger les interets de l’organisation. Il n’y a pas le choix, pour l’équilibre d’Ahovu. Mais … si cet endroit clandestin n’est pas encore fermé, c’est qu’il est probablement nécessaire à l'organisation ou qu’il vient d’ouvrir. Alors, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Alors quoi, il se dénoncerait tout seul? Haha, ce serait si con.

Il suivi Vox, cherchant toujours à esquiver. mentir allait devenir nécessaire. Enfin… enfin le ciel. Bon début pour s’éloigner de cet endroit.
Le “Je veux tout savoir” du brun le reconnecta un peu. Vox s’interessait juste à lui et ne cherchait pas a le piéger. Ce n’était sans doute pas non plus un bourrin qui voulait juste de quoi se défouler un soir, il attendait visiblement en plus de la connivence. Ou de l’affection. Peut être. Dans les bras des professionnels, assurément qu’il n’en trouvait aucune. Cela le gênait un peu de le trahir alors. Mais, comment mentir sans mentir? Mentir.

Un rugissement titanesque coupa net son élaboration. Il sursauta d’un bond et se retourna : dans l'entrepôt. Il attrapa le bras du brun avant de sprinter tout droit. Il y avait un léviator dans le labyrinthe. Une machine de guerre qui pourrait raser le quartier… presque seulement a coup de queue. Alors avec son ultralaser… Ses cours, son éducation, toute sa vie avait classé ce cri dans les échos de situation ultra dangereuses.

Ils s’éloignèrent rapidement de 800 m. Pas de nouveau cri, pas de chaos. Le jeune homme poussa Vox à l'abri de l’angle d’un mur. Avant de s’y adosser pour reprendre son souffle.
“Merde, mec, ils ont meme des léviators… en semi liberté!”

“pour… fff fffff te repondre un peu. fffffffff Je n’aime pas dans ce monde, les gens qui ont des pokémons capables de réduire a néant une ville entière.” Respirant mieux, il passa la tête pour voir la rue, comme si le dragon aurait pu les suivre comme une bête film d’horreur. Evidemment, il n’y avait rien. Mais ils n’étaient vraiment pas loin alors… il commença à regarder la rue, ses commerces, les petits immeubles. Il commença a chercher de quoi escalader une corniche pour pouvoir surveiller l’entrepot d’un des toits.
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Dim 25 Juin - 15:02
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~Solstice~



Pourquoi j'ai changé d'avis ? Par cette faveur qu'il m'a demander et cette sorte d'acharnement ou d'obstination qu'il semble posséder. Comme un prédateur qui ne lâche pas sa proie. Ce qui m'intrigue le plus est pourquoi il garde cette apparence presque insouciante alors qu'il ne l'est pas tant que ça. Qu'est-ce qu'il gagne à ne pas montrer ce qu'il est et qu'est-ce qu'il cache encore que je ne sais pas? Je ne parle pas forcément de ce qu'il fait mais aussi de ce qu'il est.

Alors que je reprenais ma cigarette, un grognement me fit dresser les poils du dos et comme Vitaly, mon regard se dirigea vers l'entrepôt. Un Léviator ? Ce n'était pas très discret ça. Même plutôt idiot. Ce ne sont pas les bêtes les plus obéissante et un accident trop important pouvait les mettre dans le collimateur de l'organisation. Alors que je m'en faisais la réflexion en me demandant pourquoi ils l'avaient sortis, je sentis la main du policier sur mon bras et sa poigne qui m'obligeait à la suivre. Hey! Je courais pas aussi vite que lui moi ! Je faillit trébucher plusieurs fois, ayant fait tombé la cigarette du coup et retenant de mon autre main le chapeau sur ma tête, avant de me retrouver mis à l'abri dans un coin. Alors que Vitaly reprennais son souffle, je me penchais un peu vers l'extérieur pour chercher l'animal du regard. Un homme n'aurais aucune chance contre un tel Pokémon alors.. Pourquoi... Mon regard se posa de nouveau sur le blondinet. Pour l’impressionner lui ? Savait-on ce qu'il était à part moi ? L'autre Trismegis peut-être... Etait-ce comme une sorte d'avertissement alors?

Sa réponse coupa ma réflexion. Je ne suis pas d'accords avec son raisonnement. Tout peut être changer en arme ou en outils aidant l'humanité, tout dépends de celui qui l'utilise et non pas de l’objet ou du Pokémon en question. Ce n'est pas en posséder qui fait de nous un être dangereux, mais la façon d'en abuser.

Je vois son regard passer d'un endroit à l'autre. Je ne sais pas ce qu'il compte faire mais quelque chose me dit que ce n'est pas une bonne idée. Si l'apparition de ce Pokémon était vraiment un avertissement, le mieux est de ne plus s'en mêler. Aucun de mes Pokémon n'est en mesure d'en affronter un et vu les parole du flic, je doute que se soit son cas aussi. Je glisse alors mes doigts sur son poignée pour le retenir, ne comptant pas le laisser se faire tuer pour le moment :

" Je vais finir par être jaloux, tu es en train de penser davantage à ce Pokémon qu'à moi là."

Petite taquinerie provoquante en espérant que ça suffise pour qu'il en oubli l'autre bestiole. Enfin, taquinerie... Mon humour est assez dur à voir, vu le ton neutre que j'utilise pour celle-ci comme si je parlais de la pluie et du beau temps mais... Il comprendra non ?

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Vitaly Osborne
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Dim 25 Juin - 16:06
Vitaly Osborne
Le blond mit une main dans ses poches, continuant de respirer profondément et il se retourna vers tout a fait vers Vox. Si son esprit avait capté au début une vague mise en garde, elle s’effaça aussitôt pour juste retenir les propos utilisés. Dernier coup d'œil dans la rue, la nuit était devenue si calme, il n’y avait pas un chacripan dans les ruelles.

Il tendit sa main libre vers Vox, ouverte. “Alors,comme ça je me désinteresse un peu trop de toi?” Il jetta un oeil a sa main. “Promis, je te tracterai plus délicatement cette fois” dit il avec un grand sourire, seul son regard, un peu fixe, indiquait une quelconque position d’aguet.

“Je dirais… j’aime les mystère bien sûr, plus ou moins élucidés. J’aime sortir avec des gens, leurs secrets, j’aime toutes les saisons. J’aime les jeux, les sports d’équipe… je ne sais pas comment je m’intègre dans ce monde. Je suis le con de service, je remplis ce role a la perfection. Faut faire ce en quoi on excelle!” fanfaronna t il, retrouvant son complet sourire. “j’ai une tritox et hier, j’ai ramassé une tasse a thé dans le bar où on s’est rencontré. Il vibre quand je le pose par terre et m’éloigne. Je crois qu’il veut rester avec moi. J’hésite a l’appeller Arsenic! ça lui irait bien non?” ses joue perdirent une très légère teinte de couleur. “c’est plus dur de dire ce qu’on aime pas…” pétillement dans l’oeil et coin gauche du sourire qui remonte : “j’aime assez quand tu parles de jalousie.”
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Dim 25 Juin - 16:40
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~Solstice~



Mes mots ont fait effet, un peu trop peut être vu son sourire. Je le relâchais et écoutait sa réponse à mes questions qu'il n'avait pas oublier. Le con de service... Oui, c'est bien ainsi qu'on me l'a décrit et que je l'ai juger. Pourtant, il ne l'est pas vraiment, n'est-ce pas? Je trouve cela assez étrange qu'il le prenne comme une fierté d'ailleurs.

Une Tritox et un tasse a thé alors? Bien petite équipe pour un flic. Le nom n'est pas mal trouvé et j'approuve d'un léger signe de tête avant de ronchonner légèrement à ses derniers mots :

"J'ai dit que je pourrais le devenir, pas que je l'étais."

Serait-ce bien vrai d'ailleurs? Pourrais-je devenir jaloux? je l'ignore, jusqu'à maintenant, j'ai repoussé toute sorte de lien trop social ou, pire, affectif. Si je le faisais pas, le deviendrais-je? Au point de devenir paranoïaque peut-être même ? ou de kidnapper et enchaîner la personne aimé? Qui sait... Mieux valait ne pas tenter la moindre attache pour ne pas risquer d'en avoir la réponse.

"Je pense que tu serais bien embêté d'avoir une conquête jalouse. Cela réduirait dramatiquement tes occasions de découvrir de nouvelles personnes et d'en profiter la nuit."

Je glisse ma main dans ma poche et en sort la ball de Brûme. L'oiseau apparait dans une lumière rouge avant de nous observer l'un l'autre.

"Je te raccompagne à ton hôtel ? C'est si voyant que tu n'es pas d'ici, je doute que tu y ai un pieds à terre. Brûme, trouve nous la sortie."

L'oiselle émit un léger bruit avant d'étendre ses ailes et de s'envoler pour repérer les lieux.

KoalaVolant
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Vitaly Osborne
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Lun 26 Juin - 10:43
Vitaly Osborne
“Et moi, j’ai dit que j’aimais lorsque tu en parlais, pas quand tu l’étais.” enchaina t il sur le jeu de mot en penchant légèrement la tête de côté avec un petit sourire spontané, moins flambeur que les autres.

Il acquiesça aux propos de Vox sans rebondir dessus. Il avait déjà eu des relations suivies tout de même hein?! C’était juste une activité… différente. Plus piquante et douloureuse aussi il fallait l’avouer. Le cerveau était un salaud qui vous rendait accro a un autre humain et vous faisait devenir votre pire ennemi.

"Je te raccompagne à ton hôtel ? C'est si voyant que tu n'es pas d'ici, je doute que tu y ai un pieds à terre. Brûme, trouve nous la sortie."


Nouveau sourire de Vitaly et il acquiesça, il ne comprit pas pourquoi il ne s’allluma pas aux mots hotel. Ni profiter d’une conquète d’une nuit. Anormal non? Il emboita le pas de Vox, regardait ses cheveux noirs et son teint doré - trop bizarre pour etre ici- il y avait un mot qui le titillait mais qui ne revenait pas. Il en entendait encore l’écho dans la bouche du brun il y a quelques minutes. C’était le terme exact qui venait sur son actuelle sensation de froideur sous la peau malgré la nuit tiède.
Son esprit se perdit dans le manteau de Vox qui ondoyait dans son dos et sur sa taille, dessinant sa chute de reins au traves de ses habits.

“Mon hotel ne doit pas être loin, j’ai pris une chambre à côté de notre lieu de rendez vous initial.”
Une fois de retour dans les rues, Vitaly rentra dans une épicerie, certaines fermaient vraiment tard et acheta de quoi faire un genre de pique nique : fromage, truc a tartiner, viande conditionnée, pain ect… et de l’alcool. Ils trouvèrent relativement aisément l’adresse de l’hotel. Sa chambre était tout en haut, à moitié sous les toits. Il ouvrit la fenetre pour que l’ air rentre dans la pièce. La vue offrait une vue plongeante sur les rues aux alentours. Il posa sa tasse a thé sur le rebord de la fenetre, il ne savait pas trop ce qu’il voyait mais au moins, il prenait le frais. Sa tritox sauta de sa poche et commença a fureter partout dans la pièce : un lit seulement pourvu de draps clairs, les inutiles couvertures devaient être dans l’armoire en bois à côté, un petit bureau qui pouvait servir de table aussi, une chaise et deux tables de chevet.

“Tu as faim Vox?” demanda t il.
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Lun 26 Juin - 14:14
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J'apprécie, vraiment, ce genre de réponse qu'il renvoi à la mienne, jouant à son tour sur les mots et la tournure des phrases, de quoi relever légèrement le coin de mes lèvres. Voilà un exemple de plus qu'il est loin d' être simplement le con de service.

Avec l'aide de Brûme, on n'eus pas de mal à retrouver les rues éclairés et la foule des couche-tard. Je me fond en général aisément dans la nuit mais c'est bien plus difficile se soir. J'ai l'impression étrange que davantage de regard ce tourne vers nous. Non, pas nous. Lui. Lui qui ressemble à une flamme au milieu des ténèbres, de par son sourire et son regard autant que la blondeur de sa chevelure et la force qu'inspire sa carrure. Il est comme une lumière qui révèle tout ce qui l'entour. D'un côté, cela m'intrigue et m'attire, comme un Papilusion, de l'autre, cela m'irrite comme si je savais d'avance que j'allais m'y brûler.

A sa demande, on fait une pause à une supérette. Je l'observe faire ses courses, le suivant en silence, un peu comme on regarderait un animal étrange dans son habitat naturel. Proposer de partager les frais ou de l'aider à porter les sacs ne me traverse pas l'esprit, préférant laisser mon bras et mon épaule à Brûme. Je ne suis même pas certains, de toute façon que ce soit pour tout les deux... A quel partie du rencard sommes-nous ? ... En est-ce encore un ?...

Si le premier réflexe de mon oiseau est de se percher à la fenêtre en manquant de faire tomber la tasse de thé pendant que la Tritox fouine les lieux, le miens et de parcourir du regard chaque recoin à la recherche de la moindre trace de "vie" de Vitaly. Une photo, un livre, n'importe quoi qui pourrait m'en dire plus sur lui.

"Pas vraiment, mais je suis curieux de savoir ce que tu vas me proposer si je te dis oui."

D'une main, j'attrape mon chapeau que j'enlève de ma tête pour le poser sur le porte manteau accroché au mur. Machinalement, par réflexe, je passe mes doigts dans mes cheveux pour les ébouriffé un peu et leur rendre leur chaos habituel, l'accessoire ayant tendance à les aplatir sur mon crâne. Mon regard se perds un instant sur le seul lit présent et je me rends compte que j'ai oublié quelque chose de très important : Je ne connais qu'une version de l'"Amusement" entre homme...

KoalaVolant
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Vitaly Osborne
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Mar 27 Juin - 10:12
Vitaly Osborne
Le jeune homme laissa Vox parcourir des yeux la pièce en silence. Il s’occupa de mettre ses provisions sur la petite table.
“Ha!” dit il en ayant un élan pour rattrapper arsenic, mais Brûme n’avait fait que le pousser sans achever de le déséquilibrer. Ils avaient accès au toit du bâtiment de là, aussi, il n’aurait pas pu le blesser gravement, mais peut probable que le fantome apprécie de rouler le long des tuiles rougeoantes.

"Pas vraiment, mais je suis curieux de savoir ce que tu vas me proposer si je te dis oui."
L’attention de Vitaly se refocalisa sur le brun alors qu’il otait son chapeau et les nerfs de son dos cédèrent en suivant son regard sur le lit.

“Ah, en ce cas… je te propose un verre pour t’ouvrir l’appétit.” répondit il doucement. Ils n’avaient plus l’âge de se sauter dessus comme des ados dès passée la porte, surtout que Vox semblait, pas encore très chaud. Plutôt ambiance “c’est ce pourquoi on est venus. Motive moi.” Ou peut être même encore ‘je ferais mieux de partir”. Il l’avait vu un peu dubitatif alors qu’il faisait les courses. Aussi Vox le lui avait dit "tu es trop voyant." Possible qu'il ait accepté la sortie par pure curiosité, ou pour un quelqueconque tableau de chasse, mais qu'il avait un peu honte. Peut être? Tant pis, les raisons du brun ne risquaient pas de lui gacher son moment. De plus, au final, plus il y réfléchissait plus l'homme semblait... circonspect en fait.

Le blond s’approcha du brun avec un sourire engageant, a gestes lents pour ne pas le surprendre il tira son manteau par les épaules pour lui proposer de lui ôter et le ranger sur le portant.
“J’ai pris un alcool ni de ton district ni du mien, comme ça, aucun de nous sera habitué a y résister.” rit il.



Il rempli deux verres, trouvant les deux derniers vers identique du petit placard au dessus du mini frigo. Il fit ensuite couler de la réduction de baie framby au fond, puis il plaça une petite cuillère pour faire couler le jus jaune orangé de wilia, finalement l’alcool translucide. Il tendit un des verres a Vox. L’intérieur de la chambre était étriqué, mais… il regarda le bord de la fenetre et alla s’y assoir, posant les deux pieds sur les tuiles.

“tu me fais de la place Arsenic?” la tasse a thé se mit a vibrer et  il l’attrappa pour la mettre sur une des tuiles  quelques centimètres plus bas, où il ne risquait ni de glisser ni de rouler : le toit était asses faiblement incliné. Il proposa d’un geste a Vox de prendre la place a côté de lui et orienta son verre ves lui pour trinquer.

“Santé.”
“Pour continuer de répondre a ta question, je préfères les petits pièces qui ont une vue dégagées aux appartements plus grands qui ont vu sur les façades. J’aime les couleurs de Kalahari, les pierres et les tuiles sont… superbes. Et toi, comment tu veux t’inscrire dans le monde et qu’est ce que tu détestes?”
peut etre qu’apres les dires de Vox, il arriverait mieux, lui à répondre à la question.
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Mar 27 Juin - 13:13
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~Solstice~



Brûme s'éclipsa sur les toits alentours après qu'il ai récupérer sa tasse, se fondant dans le néant de la nuit. Je la laissais faire sans m'inquiéter, je savais qu'elle resterait à proximité.

Allons-y pour un verre, cela ne me dérange pas, en revanche je pose un regard  sur lui quand il vient m'aider a enlever ma veste. Un regard entre surprise, méfiance et curiosité. A vrai dire, pendant quelques secondes, je n'ai pas vraiment compris ce qu'il voulait avant de le déduire de ces mains sur mes épaules. Il faut dire que ce n'est pas le genre d'attention dont j'ai l'habitude... Lui, surement que si.

Son rire illumine la pièce alors qu'il affirme avoir pris de quoi nous surprendre tout les deux en terme d'alcool. Mon district? Parlait-il de Bedwyr? Non... Il a dit que ce n'était pas non plus un alcool du sien et on l'a en commun. Croit-il donc que je viens d'ici ?

Je ne le contredit pas, pas encore du moins, l'observant préparer les deux verres avec minuties avant d'en accepté un d'un "merci" à peine audible. Je le renifle par curiosité mais mon regards reste sur lui et son corps qui s'éloigne vers la fenêtre. Je le vis prendre soin de sa tasse avant de me proposer de le rejoindre. il n'y avait guère d'espace mais sur ce coup là, il a de la chance : Je suis fin comme un clou.

Fin et agile. Je n'ai aucun mal à me glisser dans l'espace restant de la fenêtre, sans faire tomber la moindre goûte de mon verre. Sans ma veste, je ne suis plus qu'en simple chemise et ma cravate qui s'agite sous la légère brise. Je trinque avec lui avant de poser mon regard sur Brume qui s'est approché de nouveau pour jouer avec la tasse et la remplir de plein de truc brillant qu'elle a trouvé (Capsule de bière, embout de cannette et même une clé...).

"Santé."

Je sirote une gorgée : Ce n'est pas mauvais. Le fruit cache l'alcool, c'est rusé. J'écoute la suite de ses réponses en silence avant de poser mon regard sur mon Pokémon quand les questions se retournent contre moi.

"Je ne veux pas m'inscrire dans le monde. Cela est réservé par une poignet de personne, celles qui sont le plus charismatiques, les plus effrayantes ou les plus riches. Si je devait laissé une marque, elle serait invisible et éphémère, simplement chuchoté à l'oreille des autres."

Je reposais mon regard sur lui. Si il se prenait plus au sérieux, il le pourrait, lui, changer le monde.

"Quand à ce que je déteste, c'est assez simple. La monotonie, les habitudes, l'idée même d'un chemin tout tracé, ou encore un monde sans la moindre surprise. C'est un sérieux problème quand l'on sait que le genre humain à tendance à s'habituer à tout."

Je pris une nouvelle gorgée avant de rajouter:

"Rajoutons au passage que je suis né à Bedwyr."
Petit regard et sourire au coin "Tu ne risquais pas beaucoup te tromper avec l'alcool."

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Vitaly Osborne
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Mar 27 Juin - 16:47
Vitaly Osborne
Il profita du parfum de ses cheveux et de sa peau, trahis par une bourrasque de brise. Le vent tiède s’était levé. Il n’était pas aussi frais qu’a Bedwyr, mais il rendait la température nocturne définitivement agréable. Ils étaient si proches dorénavant qu’il aurait suffit de moins de dix centimètre pour prolonger l’odorat par le contact.

Mais Vitaly avait bien remarqué la raideur de Vox quand il lui avait seulement ôté son manteau. Comme il avait précédemment regardé le lit, il présuma que c’était plus de la surprise que du dégout.. ou de l’inexpérience. En théorie, le brun se disait que ça finirait là bas, mais en pratique, les rapprochements humains étaient plus difficiles? Grande question désormais pour le blond : car il était un homme ou car il n’était pas payé? Il chercha quelques secondes la réponse en fixant le paysage, se contentant de profiter de la tangible présence de son date.

Une scène adorable se passa juste après, le corboss de Vox déposait ses trouvailles dans la tasse a thé, le fluide frantomatique se mit tout suite à sortir et s’étirer au maximum que la physique le lui permettait en direction de l’oiseau.

“On est habitué a vivre sur une ile dont on a tous déjà fait le tour. Et ça va très bien a tout le monde. Les meilleurs livres, c’est ceux sur les pokémons de l’océan… ou alors les iles mytstérieuses remplies de pokémons qui tuent le moindre naufragés.” rit Vitaly. “Mais peut etre que sur un gros pokémon volant, on pourrait aller plus loin que l’horizon.” quoi, ok c’était inter.. pas recommandé. Mais Vox ne savait meme pas qu’il était flic? Il suffisait qu’il ne lui dise jamais. Alors, il ne trahissait pas son devoir d’équilibre et de protection de la population.

“Faut être un peu dingue pour avoir envie d’aller là bas, mais faut aussi l’être pour ne jamais y aller.” dit il faisant tourner son doigt, imitant un magicarpe qui tournait dans un bocal. Mince, ça lui avait échappé. Ok, son métier devait être tu a jamais maintenant. C’était de la faute de Vox aussi, pourquoi il lui disait ce qu’il n’avait pas entendu depuis qu’il avait arrêté de lire des romans.

“Hey, ça vous dit ce magnifique truc doré contre votre capsule ou votre clé?” s’amusa t il avec les pokémons. Il sorti son trousseau de clé et retira avant de le tendre un “superbe” porte clé publicitaire doré et argenté, tout neuf, en direction du Corboss et d’Arsenic.

“Quand tu disais tout a l’heure t’inscrire dans le monde je voulais dire… quoi faire de ta vie et comment t’inscrire dans un quotidien a petite échelle. A l’échelle a laquelle tu parles… ouais… faut gravir les échelons de l’organisation avec du bon travail, puis de la réputation de l’argent; ou de la peur puis… le somment je sais pas comment t’y arrive. Faut un truc en plus que tout ce que je t’ai dis. Je prends ma soeur comme exemple. Depuis le départ, le début exact de notre vie. Elle a toujours tout eut sans meme le chercher : les meilleurs professeurs, le plus de prestige, une reconnaissance systématique.C’est très impressionnant. Meme elle, elle ne sait pas l’expliquer. Et même elle, je suis pas certain qu’elle arrivera au sommet un jour vu qu’il n’y aura plus que des gens comme elle qui se batteront. Hmm, ouais, qu’est ce qu’il pourrait avoir fait ? En ayant sauvé l’ile d’un attentat je présume, ou d’une attaque mortelle de pokémon, ou d’une nouvelle bande organisée… d’un culte qui dérape. Mais ça doit pas trop arriver non plus. L’île est plutôt rongée par le quotidien.” dit il en écartant un peu le bras, approchant nonchalamment son verre de celui de Vox. Parfois, son métier le blasait : trio
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Mar 27 Juin - 18:12
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~Solstice~



Mon regard passait des Pokémons à Vitaly, mon oreille attentive à chacun de ses mots et réflexions. Bien entendu, quand il proposa un instant le porte clé à Brume, celle-ci n'hésita pas à lui arracher presque des mains pour l’offrir à la tasse de thé.

Le reste de ces paroles me semblèrent empruntes d'un soupçon lassitude. Je buvais une autre gorgée de mon verre avant de demander tout simplement :

"Il n'y a rien à envier au sommet, celui-ci est aussi pourrit que les racines les plus profondes."

Je remarquais du coin de l’œil son verre qui s'était rapproché un peu du mien, est-ce qu'il en voulais encore ? Pourtant il était pas vide et je ne pense pas être capable faire ce cocktail aussi bien que lui. Néanmoins, je peux partager mon propre verre. Je fis donc un peu glisser mon alcool dans le sien en me penchant un peu vers lui pour faire attention de pas en mettre partout.

"Tu parles qu'elle a eu tout, mais, et toi ? Cela n'a pas été ton cas aussi? Pourquoi ? Physiquement, tu n'as rien à lui envié, et je pense qu'intellectuellement, tu es bien plus malin que tu ne le laisses voir."

L'observant, je n'avais pas vu le manège de Brûme qui souhaité rentré à l'intérieur pour piquer d'autres choses, ni le coup d'aile que je pris dans le bras, faisant renversé le reste de mon verre sur Vitaly. Je me retournais alors vivement vers l'animal, la fusillant du regard. Brûme s'éloigna un peu, l'air désolé. Je lâchais un grondement agacé avant de rapporter mon regard sur le Blondinet.

"Désolé..."

KoalaVolant
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Vitaly Osborne
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Mer 28 Juin - 11:32
Vitaly Osborne
On avait vraiment un piaf fan de truc brillants qui appréciait partager ses trucs brillants? Vitaly regarda leur manège avec un sourire :

Ouais. La pourriture se ressemble un peu partout. Il y a des gens qui ne remarquent même pas ou qui trouvent que c’est très bien comme ça. Je n’ai jamais compris."Il rit franchement au “Tu es bien plus malin que tu ne le laisse voir.” Il le faisait toujours, quand on lui diagnostiquait qu’il était moins con qu’il en avait l’air. Mais il réentendit la subtilité des propos de Vox en echo dans son esprit lorsqu’il retraite l’information et son rire s’étouffa dans un pouffement plus doux.

“C’est encore plus subtil et différent, un peu comme la lois du pygmalion. Elle a toujours, toujours, eu de la chance. Enfin, ce qui avait l’air d'être de la chance.Mais je crois que c’était plus son comportement, elle avait le bon détachement pour que tout le monde ait infimement envie d’attirer son attention. Même si elle était jeune. Moi, il me fait mal rien que de le sentir, ce détachement de tout. Elle doit se faire tellement chi…! Ehhh cornèbre vise un peu!” dit il sans énervement en commençant à déboutonner sa chemise qui venaient d’être repeinte.

“Cela reste un bon moove.” dit il en plantant ses prunelles dans celles de Vox avant de tomber la chemise.Puis, il souleva son t shirt avant de le retirer également en prenant plus de temps que nécessaire. Même délesté de quelques couches d’habits, la température nocturne était parfaite sur sa peau.
POur rentrer dans la chambre, Il se tourna de quelques degrés vers le brun puis s'agrippa au cadre de la fenêtre et s’y tracta partiellement pour se soulager de son poids. Puis, il pivota vers l’intérieur en évitant Vox avec son premier genoux et “oups” le second le toucha. Il resta une petite seconde accroupi ainsi : un bras toujours aggripé, une jambe pliée au genoux relativement dedans, une jambe dehors et un parfait obstacle, pas fort épais mais bien présent, au milieu.

“Etroite cette embrasure en fait.” murmura-t-il. Il attrappa le verre de Vox en entrecroisant le bout de leur doigts avec un petit effleurage. “Je te ressers alors?” nouveau sourire alors qu'il sondait le fond des prunelles si sombres.
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Mer 28 Juin - 17:19
Anonymous

~Solstice~



Son rire est étrange. Comme un pétard pétillant dans le calme de la nuit. Je l'aime bien. Je comprends également un peu plus, à chaque mot, la différence entre lui et sa sœur et ce "détachement" qu'il ne semble pas vraiment aimé. Pourtant, n'est-ce pas grâce à la distance qu'on empêche toute souffrance et tout acte inconsidéré ? Les personnes les plus sensibles, les plus sociaux, les plus attiré par les autres et leur regards, sont les plus facile à utiliser pour instaurer le chaos. Je me demande... Est-ce qu'un jour je l'utiliserais, quitte à lui gâcher un instant de sa vie, juste pour éclabousser notre monde d'un peu de surprise, de chaos et de rebondissement ... ?

Le chaos actuelle, c'est cette tâche, trempé, sur sa chemise. Il l'enlève. Normal. Mais le t-shirt en dessous, était-ce nécessaire ? Ne va-t-il pas avoir froids? Mais surtout, n'est-ce pas un peu indécent de finir ainsi torse nu ? En fait, il n'est pas archi musclé, ces muscles rosés sont juste dessiné sans en être encombrant. Je me serais attendu a plus de cicatrice peut-être, vu son travail... Comment je le sais ? Il se peut que j'ai un peu regardé pendant qu'il se déshabillait... Et aussi quand il c'est redresser dans l'idée de rentrer à l'intérieur, même si il a fini coincé entre le bord et moi. J'essaye de ne pas y penser, de ne pas le montrer, trouvant d'un coup très agréable la vue de mon verre vide. En y pensant, ce n'est pas mon genre de détailler les gens. Juste un rapide coup d’œil pour les mettre dans les cases "beau", "charismatique", "banal" ou "laid" mais simplement parce que certaines manipulations vont pour certaines de ces cases mais pas les autres. Je ne m'attarde pas sur leur regards, leurs chevelure, leurs poitrines, leurs fesses ou les muscles de leurs bras. Non, le physique m'attire très peu en général. Vitaly ne me laisse pourtant pas de marbre. J'ai un peu l'impression de manquer d'air et d'avoir chaud. J'en dessers un peu ma cravate, l'air de rien.

Quand ces doigts viennent se glisser sur les miens, je repose mon regard dans le sien alors que ces mots chatouillent mon oreille. Me resservir .. Mon regard redescend à l'endroit un peu humide et collant où mon alcool avait été renverser. Ce serait du gâchis de laisser ça comme ça non ? Mais qu'est-ce que je raconte moi... Après, à être assis ainsi devant moi, c'est peut être ce qu'il attends ? Ou juste un baiser ? Est-ce qu'on s'embrasse à un rencards ? Pourquoi je me pose autant de question, c'est comme les "visites" dans les maisons closes non, la paye en moins et le papotage en plus ? De toute façon, on a parlait d'amusement en fin de soirée, rien de plus. Ni lui ni moi n'attendons surement plus de ce rencards alors pourquoi pas passer directement à la débauche pour ensuite ce quitter chacun de son côté sans plus d'affinité? D'un autre côté, est-ce qu'on propose a manger et à boire à quelqu'un qu'on ne compte pas revoir ? Après, Vitaly n'est pas du genre à se poser, je me suis renseigner la dessus, rien à craindre donc mais.... Cela ne change pas le fait que je ne sais absolument pas ce qu'il faut dire ou pas, là, maintenant...

J'ai l'impression d'avoir laisser le silence un peu trop durer à me poser se genre de question. Quand je remarque un léger mouvement de sa part, j'ai le réflexe de me pencher pour venir l'embrasser rapidement, comme si mon manque de réponse allait le faire disparaitre d'un coup. J'apprécie cette soirée, aussi bizarre et étrange soit-elle, je ne veux pas qu'elle finisse si vite.

KoalaVolant
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Policier
Vitaly Osborne
Policier
Jeu 29 Juin - 10:26
Vitaly Osborne
C’est le moment où le temps s’étire, c’est le moment où leurs cœurs deviennent arythmiques tant leurs sens tendent à s’accorder. Mais ils ne sont pas assez proches physiquement encore pour que cela fonctionne. Vitaly vit Vox hésiter, les yeux dans son verre vide. Lui, la scène le faisait presque ronronner. Quel âge avait cette jolie créature des ombres? Un peu plus âgée que lui non? Visiblement l’expérience ne lui avait pas fait passer le cap de la fébrilité au début d’un rendez vous. Ah, lui qui espérait que ça disparaissait avec les années.

Le flic regarda tranquillement ce que le brun allait faire, le blond remua un peu et se pencha pour accueillir son baiser. L’alcool avait bien meilleur goût sur ses lèvres, passé ce premier goût puis celui du tabac, il profita de celui unique qui suivi. Il aimait tant ces découvertes. Ensuite, il le laissa s’éloigner avec un sourire, lui effleurant le genou avant de remonter le bout de ses doigts sur quelques centimètres.


“Oui alors.” conclut-il en lui dérobant son verre. Cette fois, il se faufila à l’intérieur de la pièce sans encombres, laissa ses habits à tremper dans l’évier. Il prit dans ses affaires une autre chemise manche courte qu’il enfila sans en fermer les boutons.. Il verrait bien ce que préférait Vox.

Une fois le cocktail réalisé de nouveau. Il alla s' installer à califourchon sur la fenêtre, face à son partenaire du jour et lui rendit son verre. “Ahh” menaça t il en feignant de le vriller pour lui faire tomber dessus aussi. Lui, il n’avait pas de change.

“Tu portes toujours la cravate?” demanda t il avant d’attrapper l’habit et la tracter délicatement pour l’attirer à lui, lui même s’avançant de nouveau.
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