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Mar 4 Juil - 22:23
Dernière édition par Daphné Crozh le Ven 7 Juil - 1:53, édité 1 fois
Daphné Crozh
âge : 28 ans
pronoms : Elle
métier : Ingénieure Ecologue (Spécialisée en Pokémon) + Photographe reportice amateure
groupe : Victini
habite à : Kalahari – Lapis Cité
feat : March 7th | Honkai Star rail
Starter : Sélection
Quels sont les objectifs de votre personnage ?
Daphné veut changer la vision actuelle que les gens ont des Pokémons : pour cela, bien évidemment, c’est une membre active du Groupe Victini. Elle effectue aussi des interventions sur l’environnement dans des classes, faisant de son mieux pour passer le plus souvent possible à Uxie.
Son souhait principal est de rétablir la liberté de fréquenter les Pokémons, et surtout, calmer les conflits entre les deux espèces. Elle cherche activement à moyen de calmer les Pokémons ainsi qu’une cause à leur instabilité. Son travail lui permet de protéger, à son échelle, l’environnement et les Pokémons.
De plus, elle possède une forte haine à l’égard de Trismegis et lutte contre ces derniers de toutes ses forces.
Quel est son lien avec les Pokémons ? Les craint-il ?
Daphné à un amour sans limite pour les Pokémons – et parfois, elle s’en veux un peu, car toute ces valeurs, c’est son père qui lui a transmit. Pourtant, elle ne peut pas lutter contre ses propres sentiments. Les Pokémons l’ont toujours fasciné, et la fascine encore aujourd’hui. Elle ne se voit pas faire sa vie sans.
Son intérêt se porte plus particulièrement sur les Pokémons très sauvages et potentiellement dangereux, contrairement à ce que son physique coloré et mignon pourrait laisser penser ; enfin, ce serait mentir de dire qu’elle n’apprécie pas les créatures mignonnes et rose bonbon. De fait, en général son intérêt se porte sur les types sol, plante ou bien roche.
Comment voit-il l'Organisation Trismegis ? Et le Groupe Victini ?
Daphné voit Victini comme un espoir de faire changer les choses – rien de plus simple que cela. C’est une membre extrêmement active, n’hésitant pas à franchir la barrière de la légalité pour atteindre ses objectifs …
A contrario, elle ne porte pas Trismegis dans son cœur – elle ne hait pas les gens individuellement, mais l’organisation en elle-même. Elle a tendance à penser que la plupart des membres qui la composent ont été influencés, n’ayant pas d’autre choix que d’accepter son idéologie.
Physique :
Pour une femme, Daphné est un peu grande – 179 cm – et on ajoute à ça des épaules un poil trop carrées, mais … elle a la chance de ne pas avoir été trop changée par sa première puberté. Elle a des formes là où il fait – même s’il faut noter son usage de push-up pour renforcer son petit bonnet A – et n’as plus vraiment de mal à se faire voir comme qui elle est. Sa voix est un peu plus grave que ce qu’elle devrais elle, mais c’est à peu près tout.
Néanmoins, on peut souligner une certaine maigreur … un poids presque anormal, tant on voit la peau sur ses os. Rien qui ne se remarque tant que ça habillée, mais son poids plume rend sa taille fine. Elle a un air un peu fragile, même si elle ne s’en rend pas bien compte. Comme une poupée qui pourrait se briser à chaque instant. Bien-sûr, elle détesterait qu’on l’appelle ainsi, mais … son physique ne semble pas très résistant, avec ses jambes fines et ses petites mains.
Son visage clair fait transparaitre chacune de ses émotions, sans qu’elle n’ait de contrôle sur ce dernier. Des yeux rieurs, un sourire chaleureux et vulpin font de son visage une invitation à aller vers elle. Elle a ce genre de tête qui attire les autres, comme un aimant. Elle est sociable, et ça se voit ! Son nez est retroussé, ses sourcils arqués et elle possède des traits assez fins, presque enfantin ; les gens ont souvent du mal à croire qu’elle s’approche de la trentaine. Et c’est encore pire vu son comportement enfantin …
Son regard est toujours plein d’énergie, lumineux, pétillants. De grands orbes roses, azur pour la partie inférieur et magenta pour le reste. De longs cils pour souligner le tout.
Ses cheveux, d’une couleur brune, sont désormais d’un jolie rose pastel – elle a d’ailleurs fait de nombreux test avant de trouver enfin sa couleur. Certaines de ses mèches atteignent ses oreilles, là où d’autres chatouillent ses épaules – deux en particulier caressent souvent ses clavicules. Sa coupe est quelque peu … chaotique et désordonnée. Bien-sûr, elle en prend soin, mais son caractère actif la fait souvent ressembler à un épouvantail. Enfin, ce n’est pas trop grave, à ses yeux !
Sa chevelure a une texture plutôt duveteuse, très douce et épaisse. Et puis en plus, apparemment, son shampoing sentirait très bon. ~ Une odeur de barbapapa qui va bien avec le reste du personnage.
Daphné a un style vestimentaire très féminin et colorées – elle s’en voudrait presque d’être le parfait cliché de la féminité, mais que voulez-vous ?
Lorsqu’elle se croyais encore être un homme, bien qu’elle prêtât moins attention à son apparence, elle avait déjà un amour tout particulier pour les couleurs : chemises rouges, oranges … elle avait tout de même tendance à éviter ce qui semblait « trop féminin ». Autant dire que ce n’est plus vraiment le cas, maintenant.
Du bout des doigts aux chaussures, tout chez elle respire la couleur, avec un amour tout particulier pour le rouge et le bleu.
Elle a souvent les jambes à l’air, aimant le vent qui vient caresser sa peau, elle porte beaucoup de jupes, accompagnées de short pour des raisons évidentes de sécurité. Pour le haut, beaucoup de chemisiers, de veste courtes … elle a souvent les épaules à découvert. Son style vestimentaire, bien qu’aussi coloré qu’une palette d’aquarelle, est assez varié au niveaux des pièces : bien-sûr, elle a ses tenues favorites, notamment pour aller dans la nature, mais elle commence, avec les années, à amasser bon nombre de tenue. Ses chaussures sont pourtant souvent les mêmes : des petites bottines noires, lui rajoutant quelques centimètre.
On peut noter aussi un petit ruban piercing à son oreille droite, ainsi que la présence de collier ras le cou noir, qui viennent souligner la pâleur de sa peau et de vernies aux nuances roses et bleu sur ses mains. De fait, on pourrait s’attendre à ce qu’elle soit particulièrement attentive à son apparence, mais …
Maladroite, elle est du genre à mettre des vêtements à l’envers, ou des chaussettes qui ne vont pas ensemble. Elle apprécie s’habiller, mais ne se soucie pas non plus de son apparence de façon omniprésente.
Puis, sur elle, que ce soit accroché à sa ceinture ou dans une sacoche dédiée, elle a toujours un appareil photo cyan, précieux appareil de travail, bien que ce genre d’outils soit plutôt … datés, désormais.
Mental :
Daphné a longtemps été une machine à contenter les autres. Naïve et crédule, elle oubliait presque que le monde entier n’avait pas de bonnes attentions à son égard. Elle avait l’impression que sa gentillesse, c’était tout ce qu’elle avait – que son rôle était d’être là pour les autres, d’être l’enfant parfait, l’oreille attentive, l’ami plein d’affection.
Dans son ancienne vie, c’était la bonne poire. D’une pureté presque enfantine, d’une candeur touchante. Celle qui donnait sans jamais recevoir. Qui s’épuisait, se détruisait à ses détriments.
Et le retour à la réalité avait été douloureux. Néanmoins, même si sa gentillesse n’est plus une fontaine inépuisable, elle coule encore à flot. Elle ne pardonne plus autant. Elle ne met plus autant de croix sur ce qu’elle ressent.
Elle a appris à vivre sans devoir être validée par les autres. Sans noyer ses problèmes sous de la gratitude. Et désormais, maintenant, c’est de la bonté pure qui l’anime. Pas un besoin de se sentir bien, de se sentir utile.
Ses doutes, comme des serpents dans son esprit, lui soufflent encore des mensonges – mais elle sait faire avec. Elle sait les étouffer.
Daphné est quelqu’un d’insaisissable : elle a toujours eu cet amour de sa propre liberté ; elle a toujours admiré la nature présente autour de lui, toujours appréciée découvrir les secrets de sa région, de ces zones sauvages … Ses yeux brillaient lors de ces sorties en forêt, en montagne ou bien dans le désert, lorsqu’elle était enfant. Il semblerait que ce soit encore le cas, désormais.
Néanmoins, sa caractéristique de bonne poire ne l’a jamais quittée – sociable, elle attire souvent les autres vers elle, sans le vouloir, avec sa voix forte et joyeuse, son flot de paroles interrompus, ses grands gestes énergiques et son manque total de timidité. Peut-être un peu fatigante aux yeux de certains, c’est une pile électrique pleine de bonne attention. Son ton familier et ses surnoms affectueux peuvent faire hausser un sourcil, mais son but n’est jamais vraiment de blesser les autres.
Elle semble souvent frivole, un peu stupide, même. Elle préfère prendre les choses avec légèreté – en tout cas en apparence. Daphné est bien plus lucide qu’elle ne le laisse penser. Elle n’a pas le plus grand intellect de la région, loin de là, elle est même encore assez naïve et pataude, mais elle n’est pas aussi potiche qu’on pourrait le penser. Bien qu’elle soit tout de même assez crédule … Néanmoins, elle a commencé, avec les années, à douter de ce qui semble accepté pour tout le monde : l’histoire d’Ahovu, le contrôle de l’organisation, la séparation des Pokémons …
Survoltée, c’est une vraie passionnée, et beaucoup l’admire pour ça chez les Victinis : elle donne tout pour sa cause, se dévoue corps et âme à la protection des Pokémons ; Quitte à ne plus avoir de temps libre, quitte à faire des choses illégales.
Néanmoins, elle manque aussi de prudence. Dans la nature, elle a tendance à se mettre facilement en danger, sans même s’en rendre compte.
Derrière son air de fille gentille et pétillante, se cache quelqu’un à la détermination inflexible. Elle cache un océan de rage, de colère : un incendie prêt à tout dévorer, à ne laisser que des cendres.
Sans surprise, ses émotions sont d’une intensité rare. Passant du rire, puis aux larmes. Tout semble la touchée, l’amocher, mais … ses blessures la rendent toujours plus forte, plus résistante.
C’est une grande sentimentale, une grande romantique, aussi ; son amour est pourtant toujours si fort qu’il la consomme presque elle-même. Elle veut pouvoir compter sur quelqu’un. Toi lui donner, lui partager. Pourtant, quelque chose s’est brisée en elle, à plusieurs reprises. Elle possède une grande crainte des hommes, n’allant pas jusqu’à la phobie, mais passant par la case inquiétude et crainte. Elle n’en fait que rarement part, évidement, mais les stigmates de son passé son toujours bien ancrée en elle. Ça, et des crises d’angoisses qui, bien qu’assez rares, sont toujours assez dévastatrices. Elle possède aussi des troubles alimentaires – et elle en a honte, d’ailleurs. Avec le temps, ils ont diminué, mais elle n’arrive toujours pas à s’en défaire.
Daphné, malgré sa bonne volonté, est quelqu’un de très maladroit. Avec ses mains, mais aussi aux niveaux de ses paroles, parfois. Elle peut manquer de subtilité, ou de justesse, et aurait d’ailleurs dû mal à s’en rendre compte.
En dehors de son travail et de sa cause, elle aime beaucoup la photographie : stoppé le temps pour un cliché, éterniser des moments importants de sa vie … c’est quelque chose qui lui tient à cœur. Bien que ce ne soit pas une énorme passion, elle aime également beaucoup chanter. Puis, elle passe aussi beaucoup de temps sur Internet, particulièrement accro aux mêmes et autres humour douteux. Oui « mdr » ou bien encore « prank » sont belles et bien des mots qui font parti de son vocabulaire. Pour le meilleur, mais surtout pour le pire.
TW ; Troubles alimentaires, maltraitance, violence, homophobie, dépression, tentative de suicide
I. Nuage Gris
Né d’une mère Kalaharienne et d’un père Koyoïte – ses parents ne sont pas restés très longtemps ensemble. D’ailleurs, elle trouve leur union même … presque contre-nature. Les deux avaient des caractères opposés, et dans ses plus anciens souvenirs, elle les voit toujours se disputer.
Sa mère était une nomade – en tout cas, elle n’eu pas le choix de rester fixe un moment après la naissance de son enfant. Son père, profondément religieux, proche du culte du Soleil. Deux qui aimaient les Pokémons de tous leurs cœurs, mais d’une façon différente.
C’était aussi le cas pour leurs fils. Car oui, pendant longtemps, leur enfant avait été inscrit comme un homme. Icare, leur enfant unique.
Sans surprise, les parents s’étaient séparées quelques années après la naissance de leurs enfants – la mère était retournée auprès de sa famille, à Kalahari, et en absence de situation stable, elle n’eu d’autre choix que de laisser son enfant à son ex-compagnon.
L’homme avait de grands projets pour son enfant, ne voulant pas qu’il finisse comme « cette sauvage ». Il devait faire de grandes choses.
Son éducation fut stricte, alternant entre violence devenant presque banale aux yeux de l’enfant et marque d’affection. Une bonne partie des revenus revenaient au culte du Soleil. Dans le privé, c’était un homme dur, cœur de pierre, mais le public, il était aimant et souriant.
Dans ses souvenirs les plus anciens, des nuits passées à se tordre de faim, lorsque son comportement n’était pas « normal », lorsqu’on ne la considérait « pas à la hauteur ». La punition principale : couper les vivres. Et ce comportement, ne s’est jamais vraiment échappé de sa psyché : atténué, oui, mais c’était comme si une épée de Damoclès flottait toujours, au-dessus de sa tête.
L’enfant passait tout de même de précieux moment en compagnie de sa mère, lorsqu’il venait à Kalahari – elle ne craignait pas de l’entrainer dans des lieux sauvages, pour lui montrer la force de la nature, les dangers, mais aussi la beauté des créatures les entourant. Via son père, Icare appris d’autant plus à les aimer – même si c’est un point commun qui met un peu mal à l’aise la femme d’aujourd’hui.
Encore Icare, pas encore Daphné, l’enfant avait déjà un attrait à des choses qui ne correspondaient pas aux attentes de son genre assigné. Il enviait les petites filles, mais … avaient vite subits des remontrances de son père, des moqueries des autres enfants… il avait vite fait de mettre ça sous cadenas, se contentant de suivre l’avis des autres. De tous faire pour les satisfaire.
Il était assez proche d’une autre enfant d’une bonne famille d’Heian. Avec les années, ils devinrent se rapprochèrent d’autant plus. Leurs parents respectifs avaient vite fait de décider qu’ils allaient se marier – Icare n’avait pas non plus la force de répliquer, encore adolescent. Il s’entendait avec, c’était le principal, non ? Plus jamais, il ne voulait subir cette sensation de faim, de honte, de punition. Autant tout faire pour l’éviter.
Son adolescence était loin d’être heureuse – il ne voyait quasiment plus sa mère, car il savait que son père pensait qu’elle avait mauvaise influence ; Et son fils ne voulait certainement pas se révolter. Il commença à développer un sentiment de vide, de déconnexion. Comme si, depuis le début, sa vie n’avait jamais été la sienne.
Des nuages, annonçant la pluie, avaient déjà envahi son esprit.
II. Pluie
21 ans. Sa licence de biologie en poche, il avait décidé de prendre une pause dans ses études. Icare était marié depuis deux ans, maintenant. On lui parlait déjà d’enfant. On lui parlait déjà d’acheter une maison. Mais lui, il n’avait plus aucune envie.
Sa femme, il l’appréciait, mais … c’était tout. C’était une personne précieuse, à ses yeux, mais ça ne semblait pas assez fort pour être considéré comme de l’amour.
Puis, il l’avait rencontré. C’était un autre homme, et enfin, il avait l’impression de trouver une réponse à son vide : un début de réponse, en tout cas. Il avait trompé sa femme – à de multiples reprises. Il s’en voulait, d’ailleurs, car il ne lui avait jamais voulu de mal.
Il avait fini par lui avouer – elle l’avait détesté, hait, même. Cela va de soi, la relation était finie. Leur vie ensemble était fini. Icare s’en voulait d’autant plus, mais … c’était pour le mieux.
Et puis, son père l’avait contacté. Et il n’eut jamais aussi peur de sa vie. Car cet homme, il l’avait toujours terrifié. Il n’avait jamais eu d’autre choix que de se conformer à sa vision de son futur.
Son père l’avait insulté. Frappé, même. Car toute ces années, ça n’avait été que du gâchis. Il lui coupa les vivres, et le supprima de sa vie.
Et l’homme qu’il aimait, dans tout ça ? Il l’avait rejeté, prétextant qu’il n’avait jamais voulu d’une vraie relation. Qu’il était juste un amusement. Le menaçant de ne pas déranger sa vie parfaite, sa vie bien cadrée. Icare n’eut d’autre choix que de quitter le district, et toute sa vie.
Ça faisait une dizaine d’année, déjà. Il refrappa chez sa mère. Elle n’avait pas changée – et surtout, elle l’avait accepté à ses côtés. Ne sachant pas encore trop quoi faire de sa vie, il l’aida pendant quelques mois dans son travail de mécanicienne. Il redécouvrit même la seconde moitié de sa culture – les traditions de Kalahari, ses villes souterraines, les déserts et les nomades … tant de choses qui différaient de Koyô.
Ensuite, vient une autre rencontre importante ; Car encore une fois, il s’était noyé dans une relation. Il avait tout donné pour se faire aimer.
C’était un fleuriste, en tout cas, c’était ce qu’il disait. Il voulait fonder une famille avec lui, en tout cas, c’était ce qu’il disait.
Il était le seul qu’il aimait. C’était ce qu’il disait.
Voulant fuir ses soucis, Icare s’était plongé corps et âme dans cette relation, comme une bouée de sauvetage.
Jusqu’à ce qu’il le quitte.
Et là, il perdu tout repaire, débutant une douloureuse relation avec la solitude. Le retour des troubles alimentaires. Une incapacité à sortir de sa chambre. Une douleur profonde, lancinante. L’impression que malgré ses efforts, on ne l’aimerait jamais à sa juste valeur.
Après une tentative de mettre fin à ses jours, il se retrouva en hôpital pendant quelques temps.
III. Soleil
Icare avait passé de loin en thérapie. Sa mère acceptait de l’héberger, de subvenir à ses frais. Il avait appris à s’aimer de nouveau.
Et surtout, il avait fait du travail d’introspection. Jusqu’à découvrir enfin la case qu’il manquait.
Sa mère n’eu aucun mal à l’accepter en tant que fille. Elle l’aida, même.
Une renaissance, sous le nom de Daphné. Rien n’était parfait – non, il lui fallu bien deux bonnes années pour tout remettre en ordre, pour s’approprier sa propre vie.
Elle avait revu ce beau parleur, cette relation bouée qui lui avait fait tant de mal. Il n’était pas au courant, bien-sûr, mais … comme elle s’en était doutée après coup, ce n’était que mensonge. Peut-être qu’elle se sentait un peu mieux, de savoir que la vérité n’était pas si reluisante. Et avec le temps, elle réussissait à lui pardonner. Sans pourtant le revoir.
Elle avait besoin de dédier sa vie à autre chose. Dans cette période de changement, elle avait rejoint Victini en se liant d'amitié avec l'un des membres, avant de reprendre ses études. Un master lié à l’environnements, obtenus à Kalahari.
Puis, père est mort d’une maladie. Elle ne l’avait pas revu – elle s’en voulait de ne pas réussir à le détester. Pourtant, c’était une de ses chaines qui venaient de céder. Elle devait se donner à fond.
Enfin, s’accaparer sa propre existence. Les blessures étaient devenues des cicatrices. Parfois, les jours ne sont pas ensoleillés, parfois, ses troubles alimentaires refont surface. Elle n’a pas encore réussi à accepter une nouvelle relation amoureuse non plus.
Mais elle fait toujours de son mieux pour voir le soleil derrière le ciel gris.
Chronologie :
19 ans : Mariage
21 ans : Divorce, quitte Koyô pour vivre avec sa mère à Kalahari – rencontre Salomon
22 ans : Rupture – grosse dépression qui la fait finir à l’hôpital
24 ans : Plus ou moins rétablit, débute sa transition et commence son master
26 ans : Etude finies, se lance dans sa carrière d’Ingénieure écologue, et rejoint Victini
Surnom : Kiwi
Espèce : Tortipouss
Sexe : Femelle
Talent : Engrais
Niveau : 10
Nature : Sage
Teracristal : Fée
Espèce : Tortipouss
Sexe : Femelle
Talent : Engrais
Niveau : 10
Nature : Sage
Teracristal : Fée
Description : Une petite Tortipouss que Daphné à ramasser dans la nature, peu de temps après qu’elle ai eu son diplôme – la type plante été attaquée par des Roucoups, et la jeune femme n’as pas hésitée à la sauver.
La tortue a refusée de se séparer de Daphné, même si cette dernière était partie, dans un premier temps, confié le Pokémon au Refuge. Elle décida finalement de garder la type plante à ses côtés, en tant que premier Pokémon. Ce qui est assez étonnant, pour quelqu’un qui a toujours grandit à leurs côtés.
Kiwi est un Pokémon sage et tranquille, mais aussi assez curieux. Elle est néanmoins d’un naturel discret et prudent, contrairement à sa dresseuse.
La tortue a refusée de se séparer de Daphné, même si cette dernière était partie, dans un premier temps, confié le Pokémon au Refuge. Elle décida finalement de garder la type plante à ses côtés, en tant que premier Pokémon. Ce qui est assez étonnant, pour quelqu’un qui a toujours grandit à leurs côtés.
Kiwi est un Pokémon sage et tranquille, mais aussi assez curieux. Elle est néanmoins d’un naturel discret et prudent, contrairement à sa dresseuse.
Pseudo : 
Age : 0
Pokémon préféré : Ta mère
Découverte du forum : Avec les cramptés
Autre ? : Feur
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XP :
8317
Staff
PNJ
Jeu 6 Juil - 18:06
Starter
(
)
NANMEOUÏE : Pokémon idéal tant par sa douceur que ses capacités de soin, il accompagnera parfaitement Daphné dans ses aventures si jamais il y a des bobos à soigner. Parce que je n'oublie pas sa maladresse, et je m'inquiète, OUI. Aussi, c'est un Pokémon capable de deviner les émotions des autres, ce qui en fait un partenaire parfait en cas de déprime. Sauf si ton Nanméouïe est un psychopathe. Egalement, il peut être un "outil" idéal grâce à ses oreilles, puisqu'il peut se rendre compte des changements environnants. Donc pour une écologiste, c'est pas trop mal, je crois. Oublions l'argument de "il é roz kom toa" même si ça fonctionne........
EMOLGA : Survolté et énergique, c'est un vrai petit cascadeur ! En effet, il est une pile électrique prêt à partir à l'avanture en faisant des pirouette dans les airs. Armé d'une caméra, il sera bien pratique pour tes reportages, à condition qu'il n'aille pas trop vite. Son type Vol est également synonyme de liberté (Victini de Wish), puisqu'il peut planer où il veut, sans contrainte et sans se soucier des lois. Etant un Pokémon également très positif, il risque de rendre ton quotidien plus mignon et joyeux. Enfin, il paraît que c'est un gros dalleux et qu'il conserve des baies dans ses joues. Il y a des chances qu'il te pousse à en manger, même si c'est plein de bave... Bah oui, faut faire des réserves de graisse pour être en forme, quoi !
TORTIPOUSS : L'écologie est une discipline qui te passionne. Quoi de mieux qu'un Pokémon Plante pour symboliser cela ? La tortue est également le symbole de monde et de la terre. Un animal qui nous inspire à tracer notre propre chemin (je suis allé chercher dans le bouddhisme). Ce que tu essayes de faire depuis ta guérison. Survie, stabilité et surtout protection... C'est de ça dont tu as besoin. D'une carapace solide et saine qui te maintient en vie. Une fois évolué, en plus d'être de type sol, c'est une très grosse créature considérée comme dangereuse, capable de créer des séismes destructeurs pour se protéger. Peut-être seras-tu charmée par cette mini forêt ambulante pour toutes ces raisons ?
GERMECLAT : Beaucoup de Pokémons roches sont des proies faciles pour les mangeurs de cailloux. Et peut-être qu'un jour, on a voulu croquer cette fleur rocheuse pour sa beauté. Mais, contrairement aux apparences, celle-ci est empoisonnée et sait parfaitement se défendre. Tout comme tu as appris à te défendre à force d'être en proie à de nombreuses personnes abusives et malintentionnées. Fini d'être une jolie fleur fragile et délicate. Maintenant, il faut se protéger, même si pour cela, tu dois en venir à des actions plus extrêmes... Ton entrée dans de Groupe Victini n'est pas anodine. C'est bien pour cette cause, que tu pourras laisser ta rage éclater. Un Pokémon destructeur saura t'aider à mener des actions, même si... elles seront forcément violentes et extrêmes.DENTICRISSE : Il est rose et tu m'as fait tellement de forcing que je suis obligé de te mettre un troll. En plus, regarde ses belles dents ? Franchement, avoue, Daphné serait super à l'aise à ses côtés !!! GROS BISOUS SUR LUI !!!
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PNJ
Jeu 6 Juil - 18:06
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Ven 7 Juil - 2:10
Bienvenu.e à Ahovu !
[J'ai été vraiment très touché par son histoire, j'en ai bien pleuré - comme d'hab' - et j'ai hâte d'avoir plein de liens rigolos (ou horribles) avec elle ! Puis, rose. C'est cool le rose. Et faire le terroriste.]
Tu commences donc ton aventure avec 500 P$, ainsi que 5 Pokéballs ! N'oublie pas de faire ta T-Card avant de commencer à RP ! En espérant que tu te plaises à Ahovu. ]
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HalloweenStaff
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