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Lun 24 Juil - 5:47
Anonymous
Equipe : Lullaby tritox (sortie), Arsenic theffroi (dans sa poche), Evoli* (en ball), Fulgudog* (en ball)
Seule Lullaby la tritox semblait ne pas souffrir de la chaleur, fièrement en travers sur les épaules de son dresseur, elle bombait le torse en regardant dans la direction de la centrale de topaze. Elle reconnaissait bien l'endroit, évidemment.

Arsenic le theffroi vibrait un peu dans la poche de la longue tunique blanche qu'il avait pour se protéger des rayons du soleil.

Malgrés la chaleur, le jeune homme était un peu blème. Sur son ordre de mission, il devait faire équipe avec une femme du nom de Daphné Crozh. A son avis, il avait pu cacher à ses supérieurs sa tête d'enterrement. Il ne doutait pas au nom de famille que c'était la famille d'Icare. Peut être que la jeune fille lui ressemblerait, peut être même que son ancien compagnon lui avait parlé de lui. Encore, cela, ce n'était pas ce qui l'inquiétait. Il avait été dépêché aux sables d'Agathe car il s'était retrouvé a la centrale quand elle cette dernière s'était vue attaquée par les magnetons à l'allure ancestrale.


Aussi, il le flic avait été envoyé avec d'autres petites équipes enqueter là bas en permier, mais il pourrait se détacher ailleurs. C'était juste que ... quand il avait vu le nom de Crozh, il aurait presque préféré un autre prénom, presque.

En arrivant sur le lieu du rendez vous la silhouette qu'il remarqua lui fendit le coeur. Même taille et allure générale qu'Icare. Un frissonement agita son torse, ses bras et son cou : son coeur ne s'était jamais aligné ni à la voie de la raison, ni tout a fait a sa peur de son ex beau père. Il s'arrêta pour prendre à boire et se reprendre, il était ridicule, il reprit un flamboyant sourire de circonstance et reprit sa marche vers sa partenaire de mission. Tiens, peut être pourrait elle lui dira comment Icare allait.
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Ven 28 Juil - 21:54
Anonymous

J'ME DEMANDE SOUVENT, CE QUE T'ES DEVENU

J'me demande souvent, ce que t'es devenu | Daphné Format,jpg
Le désert ne me dérangeait pas vraiment – même si elle était différente de celle des autres districts, j’aimais la nature de Kalahari. J’aimais ses étendues de sables, ces secrets cachés entre deux grottes. Tout comme jamais les fleuves d’Agapé ou les montagnes de Tôkan. C’était un paysage tout autant à protéger que les autres.
Néanmoins, on devait s’en protéger, de ce paysage ! Ainsi, sur mes yeux, j’avais des lunettes roses conçues pour les tempêtes de sables, et de longues manches de la même couleur. Avec un short. C’était quand même important, les shorts (mais avec un legging, faut pas déconner non plus) !

Bref, instant Cristina Cordula désormais terminés, voici la description du job du jour ; avec l’aide de policier, je devais inspecter les Sables d’Agates, sur les traces de ces étranges Pokémon Paradoxe … je n’étais pas très à l’aise à l’idée de trainer avec la police de Bedwyr, mais ces derniers temps, je n’avais pas vraiment le choix ! J’attendais tranquillement, gardant Kiwi dans mes bras. Néanmoins, j’étais un peu anxieuse, il faut dire que ces derniers temps, je n’avais pas vraiment de chance niveau rencontre et …

Mes yeux se posèrent sur la silhouette qui arrivait. J’émit un petit cri, presque un gémissement surpris. Oui, je m’étais déjà ridiculisé, mais le pire était encore à venir.
« V-Vitaly ?! » Malheureusement, ce n’était pas un prank … je n’étais pas si étonné de le voir en policier dans le fond, mais surtout de le voir tout court. Comme par réflexe, je plaçais une main devant mon visage. J’avais peur, je ne savais pas quoi dire, et surtout, je ne savais pas s’il m’avait retenu. Heureusement, la tige de Kiwi cachait un peu mon faciès. Je crois que j’étais déjà foutu, mais dans le doute, sait-on jamais …
« Hum … euh, vous êtes mon partenaire, je suppose ? » Oui, je ne connaissais pas du tout cet homme. Pas le moins du monde.
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Mar 1 Aoû - 18:21
Anonymous
“Ami, tu peux garder ton vin
ce soir je boirais mon chagrin.”



C’est c’est…
C’est…

Vitaly reconnu le moindre des frissons de cette silhouette qui lui furent instantanément transférés en entendant le petit cri de cette dernire au loin.


il s’avança rapidement : Icare était là.
Il remarqua a peine ses longs cheveux, son short, ses leggings sur le galbe parfait de ses jambes.

« V-Vitaly ?! »
suffoca Icare.
*Ok, je te pardonne. appelle moi juste encore.* réagit l’esprit de Vitaly, un flot d’endorphine désespérée lui saisissant le corps et lui secouant le coeur avec une fougue à en réveiller les morts.

« Hum … euh, vous êtes mon partenaire, je suppose ?
Le visage du blond perdit toute couleur, son ventre soudain foudroyé d’une hémorragie et draina chaque goute de sang pour lui serrer les tripes. Les pigments dorés de ses yeux se muèrent en un jaune flou, sa teinte en était raccord avec le sable a perte de vue.
Il baissa la tête, ne retint pas le reflexe nerveux de serrer le col de sa tunique, celui qu’il avait acquis en ré-ajustant ses habits pour qu’on ne puisse entre-apercevoir les cicatrices qui lui rayait la peau.

“oui...”
c’était trop dur de reconnaître Icare alors qu’Icare ne le reconnaissait pas. Apparemment, le roux voulait l’ignorer. Vitaly n’aurait pas la force de… son regard mouru dans celui d’Icare. Ou de Daphné. Mais en cet instant, il ne se rappelait pas du nom du "partenaire" inscrit sur la mission.
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Sam 5 Aoû - 18:58
Anonymous

J'ME DEMANDE SOUVENT, CE QUE T'ES DEVENU

J'me demande souvent, ce que t'es devenu | Daphné Format,jpg


Je ne savais pas trop comment réagir – ces yeux vulpins, ces cheveux blonds, cet air sûr de lui … C’était Vitaly, oui, mais il amené avec lui bon nombre de souvenir désagréable, d’une époque difficile. Qu’il ne me reconnaisse pas, ça m’arranger. …Est-ce que ça m’arrangeait vraiment, dans le fond ?

Pourtant, il avait perdu de ses couleurs – comme s’il venait de voir un mort. Je m’en voulais un peu, de lui mentir ainsi. Puis, encore et toujours, j’avais peur d’avoir été oubliée. Peut-être qu’il ne m’avait pas aimé tant que ça, dans le fond. Peut-être que c’était comme tous les autres.

Je faisais de mon mieux pour garder mon sourire poli, pourtant, je n’avais pas pu m’empêcher de déglutir. D’angoisse, de peur, d’autre chose, peut-être … je ne savais pas vraiment. Et mes yeux avaient glissées sur ses cicatrices – jusqu’à ce qu’il les cache. Je n’avais pas les souvenir de les avoir vu auparavant. Ça m’inquiétait un peu.
Garder la face …c’était si dur. Je n’avais pas pu m’empêcher de plonger mes yeux dans les siens. Quelques instants. Avant de fuir, encore et encore.

Il m’avait reconnu. J’en était sûr.
« A-Allons-y, alors ! » Combien de temps j’allais garder ce rôle ? Combien de temps j’allais jouer à ce jeu ? Je ne savais plus. Je m’étais mise en route, dos à lui. Mais le silence, le poids du mensonge étaient si lourd.

« Je … Je suis désolée, Vitaly. » Comme un murmure, un songe. J’espérai qu’il m’entendrait, mais en même temps … j’avais peur. Ce genre de peur qui paralysait les tripes, qui retournait l’estomac. Je sentais les émotions montaient, sans pitié, comme un ras de marée prêt à m’emporter.

D’un coup, je m’étais retourné. « Je suis désolée, je … je ne pensais pas te revoir ici ! S’il-te plaît, ne me lance pas ce regard de chien battu, je  … J’ai changée, oui, mais … » Mais quoi ? Mon cœur ne s’arrêtait plus. Il battait à s’en rompre. Dans le fond, mon amour pour lui était peut-être enterré, mais encore bien vivant.
Mais j’avais peur de cette proximité. Sans savoir pourquoi, ça me terrifiait. La mission, le travail … à ce moment, dans ma tête, toutes ces choses n’étaient pas la priorité.
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Mer 16 Aoû - 9:02
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Il lui offrit un regard plus qu’il ne rendit le sien à Icare. Ou peut-être que la sensation horrifique était également partagée.
« A-Allons-y, alors !

Vous souvenez de cette légende où… Orphée était allé chercher Eurydice, sa fiancée, aux enfers et devait l’en ramener sans se retourner sans quoi, elle serait perdue pour toujours.
Il n’y a jamais personne qui ait parlé de ce qu’avait pu ressentir Eurydice à ce moment là. L’esprit vide, un bruit blanc assourdissant ses oreilles, le blond suivit Icare sans parler.

« Je … Je suis désolée, Vitaly. » il perdit le rythme, se mit à ralentir. Ses pupilles se réduisirent a deux pigments noir quand il ou elle se retourna, tout le corps du flic sursauta, comme devenu tout mou.
“Ne me lance pas ce regard de chien battu, j’ai changé.” changé?
Il fixa Icare sans comprendre, s’avança en tendant à moitié les bras, les coudes encore proches de la taille et paumes de la main tournées vers le ciel.

Ahhh, changé, physiquement?
“Non… tu n’as pas changé.”
dit il, les bras toujours semi tendus.

“Enfin, un peu, mais pas pour moi.”

“Comment t’appelles tu?” questionna t il, il se souvenait que ce n’était pas le nom d’Icare sur sa feuille de mission. Il voyait bien qu”il avait changé. Enfin, pas pour le fondamental.


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Sam 19 Aoû - 1:04
Anonymous

J'ME DEMANDE SOUVENT, CE QUE T'ES DEVENU

J'me demande souvent, ce que t'es devenu | Daphné Format,jpg


Vitaly était étrange … est-ce que je pouvais vraiment lui en vouloir ? Moi aussi, je n’étais pas dans mon état habituel. Je me sentais instable, le cœur à découvert ; Car je n’étais pas prête à le revoir, à lui reparler … et sans doute que sur certains points, je m’en voulais un peu. Je lui en voulais, aussi, mais … j’avais du mal à conserver cette colère, devant cet air vide, fatigué, triste, peut-être ? J’étais totalement perdue.

Il s’était arrêté, et je n’avais pas pu m’empêcher de planter mes yeux dans les siens. Il était … vraiment étrange. Il me faisait un peu peur. Presque comme un réflexe, j’avais reculé de quelques pas. Comme si j’avais peur de lui. Mais dans le fond … c’était le cas. La blessure était toujours en partie ouverte. Je n’avais jamais réussi à vraiment lui pardonner.

Je n’avais pas changé ? Pas pour lui ? Il me faisait décidemment flippé. J’avais peur. Trop peur.
« Je … suis plus la même personne, et … s’il …. S’il te plait, je … faisons juste la mission, comme si de rien n’étais, je … » Je ne voulais pas te revoir. Je ne voulais pas entendre encore parler de toi.

« Je … Daphné, maintenant. » Je ne pouvais pas m’empêcher de répondre, de me laisser fragile, à découvert. Parce qu’il avait encore un ascendant sur moi. Je me détestais, je détestait cette faiblesse, allant en totale contradiction avec la haine qui brûlée en moi.

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Mar 29 Aoû - 9:54
Anonymous
« Je … suis plus la même personne, et … s’il …. S’il te plait, je … faisons juste la mission, comme si de rien n’étais, je … »
Je quoi? Je voulais que mon passé disparaisse et que tu disparaisses aussi? Peut etre quelque chose du genre.
Lui, non plus, il aurait juré qu’il ne voulait plus revoir cette personne. Jamais. Car elle n’avait pas su le choisir, car c’était sa famille à elle qui avait choisit à sa place. Ca, c’était en théorie.En pratique, de l’entendre à, mi mot, cela faisait encore mal.
Ses iris dorées cillèrent, il aurait aimé que.. désormais elle réponde a ses bras semi tendus et qu’elle vienne l’enlacer. Peut être que tout aurait été balayé en un instant.

Non, non, ce ne sont que les fantasmes d’un coeur brisé. Rien de plus. Ils n’étaient plus ensembles depuis longtemps et n’étaient pas fait pour cela. Son coeur s’était ranimé, soit, et ses bras s’étaient tendus malgré eux. Mais cela relevait dur pur instinct animal.

Je ne suis plus la meme personne.
En effet, elle avait changé d’identité. Mais… elle restait pareil pour lui.
Et lui, avait il changé? Impossible de savoir. Peut être pouvait il lui demander.
“D’accord Daphné.” ce mot sonnait bizarrement sur sa langue. Peut être juste car Icare… il avait tant aimé ce nom.

“et moi, tu trouves que j’ai changé?” dit il simplement en sortant lentement de son sac son kit de prélèvement. La mission pouvait être assez rapide s’ils la baclaient. Et le flic ne voyait pas comment il pourrait se concentrer dessus. Aussi il allait se contenter de ramasser très minutieusement des échantillons en essayant de ne pas se déliter lui même sur place. Une fois équipé, il prit des échantillons de sol. Il sentait à peine la température brûlante du sable.
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Mer 30 Aoû - 18:37
Anonymous

J'ME DEMANDE SOUVENT, CE QUE T'ES DEVENU

J'me demande souvent, ce que t'es devenu | Daphné Format,jpg

Je ne voulais pas de ces contacts : je ne voulais pas de nouveau accepter ses bras, dans le risque de me faire détruire. J’avais peur – j’étais terrifiée, sans plus aucun contrôle sur ce que je faisais. J’aurai tout donné pour fuir, disparaître et ne plus jamais le revoir. Ce n’était pas la première fois que je le souhaitait, d’ailleurs.

Je ne savais même pas ce que je ressentais pour lui : affection, haine … tout était mêlés dans un ensemble difforme.
Entendre mon nouveau prénom dans sa bouche m’arracha presque un frisson. Je n’osais pas m’approcher de lui. Comme s’il était capable de me détruire à nouveau, de me réduire en cendre.

Puis, une question … ça me mettait mal à l’aise. Il était vraiment étrzange – je n’arrivais pas à lire dans ses émotions. « Je … J’en sais rien. Je … je peux pas savoir ! » Et je m’énervais, sans même savoir pourquoi.

Quelques secondes, je me concentrai sur ma respiration, pour canaliser toute cette colère. Après tout, il avait commencé à effectuer notre mission, alors … je devais en faire de même. Finir ça vite, et fuir cette situation aussi inattendue que désagréable.
« Vitaly, je … je sais pas ce qui t’es arrivé, mais …. J’ai pas envie qu’on se revoit. Je … suis désolée, vraiment, mais … je peux pas. » Je détournais les yeux,, ne voulant pas croiser ses pupilles dorées. Et tenter de prendre des notes pour mes recherches. C’était ça, que je faisais à la base.
Et pourtant, j’attendais sa réponse avec une certaine impatience – comme si j’attendais encore quelque chose du policier. Mais un cœur brisé, ça ne se réparer pas si facilement.

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Jeu 31 Aoû - 9:40
Anonymous
Daphné… désormais, Daphné tremblait et se sentait mal. C’était comme voir son reflet dans le miroir.
Pourquoi eut il un regret de l’avoir quittée alors que c’était elle qui ne l’avait pas choisi. Oui, il n’était juste pas assez bien. Ou pas assez… pas assez tout. Insuffisant. Cela n’aurait jamais fonctionné. Et son père a elle, il était taré. Cela n’aurait pas fonctionné et ce dernier l’aurait buté. N’est ce pas.
Un accident de pokémon.
Comme pour le coup de semonce qu’il lui avait envoyé.

Qui aurait remi en cause des entailles de pokémons juste légèrement plus profondes que la première fois.
Il baissa la tête.
"Ce qui m’est arrivé?” répetata t il, se racrochant a la conversation, essayant d’en extraire les termes auxquels il pouvait répondre avec un minimum de cohérence.

Car le reste des mots de Daphné “je veux pas te revoir”, il aurait pu lui dire la meme chose. je ne voulais pas. Mais maintenant que tu es là je souffre. J’ai envie de te pardonner et que tu me pardonnes.
Mais il fallait qu’il se taise car cela ne voulait rien dire. De simples phrases stupides générés par un esprit qui avait oublié ce qui s’était passé. Comme un echo, ses cicatrices le brulèrent. Enfin, pas physiquement, son esprit en avait juste retenu le contour exact et parfois, cela lui faisait mal.

Il se tu, attendant la réponse de la rousse.
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Dim 3 Sep - 14:26
Anonymous

J'ME DEMANDE SOUVENT, CE QUE T'ES DEVENU

J'me demande souvent, ce que t'es devenu | Daphné Format,jpg


Vitaly paraissait incapable de me répondre – et moi, incapable de faire des phrases clairs, précises, bien construites. Parce qu’on était tous les deux pas prêts à se revoir – et sans doute qu’on le seraient jamais, d’ailleurs.

J’avais vu les marques sur son corps – je ne savais pas d’où elle venait. Dans le fond, je m’en voulait peut-être un peu de l’avoir abandonnée. Pourtant, je n’arrivais plus à lui parler en face, alors …
Je me contentais de faire la mission, mon travail. Ce que je savais le mieux faire.
Et lorsque ce fut enfin fini, enfin baclée, je me permis quelques mots à son attention.
« Oublie-moi, vraiment. Je … veux plus rien à voir à faire avec toi. Je … prends-soin de toi, quand-même, mais … ne cherche plus à me revoir. Vraiment. »
Et j’avais fuit, encore une fois. Parce que c’était une des choses que je savais faire le mieux.
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Lun 4 Sep - 5:16
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Il était devenu trop dur de parler. Il ne savait pas lequel d'eux deux ne parlaient plus. Car lui, c'était rare qu'il ne parle pas. La mission avait été interminable. Chaque échantillon était long à prendre, il écrivait mal dessus, ils ressemblaient tous a des mini lettres d'adieu rédigéés en tremblant.
Il avait manqué d'en jeter deux ou trois de rage.
Mais il ne devait pas. Il ne devait pas céder à la colère comme avait pu le faire son ex beau père. Daphné ne devait surtout pas le voir comme ça.

Il la regarda quand elle renouvella son :
"Ne me parle plus jamais." il avala difficilement de l'air pour répondre. Vu l'état dans lequel cela le mettait lui, ce n'était pas plus mal.

"Daphné, je t'avais menti à l'époque. Je n'étais pas avec toi juste pour m'amuser. Tu es quelqu'un d'exceptionnel." commença t il :... et je te pardonne. aurait voulu préciser.
Mais ... ces mots là, lévèraient ils vraiment la brûlure de ses cicatrices? Ou est ce que cela empirerait le souvenir? Après tout ce n'était pas a Daphné qu'il en voulait, jamais il ne lui avait reproché les actes de son père. Juste, leur relation était devenue impossible à cause de lui.
"Prends soin de toi."

Il ne pouvait pas rester comme ça.
"Adieu."
dit il avant de la regarder s'éloigner.
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