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Marchand d'art | Mécène
Lafcadio Zamsa
Marchand d'art | Mécène
Mer 2 Aoû - 1:40
Lafcadio Zamsa

Lafcadio Zamsa

âge : 42 ans
pronoms : Il
métier : Marchand d'art & mécène
groupe : Victini
habite à : Fontaine-d'Or, Agapé
feat : Yuugo | The Promised Neverland
Starter : Choix

Quels sont les objectifs de votre personnage ?
Même s'il y croit bien moins qu'avant, son but premier reste de retrouver un jour la mémoire. Ou au moins n'importe quel élément qui le lie à son passé. L'amnésie a laissé derrière elle un énorme vide qu'il s'efforce de combler, notamment au travers de son commerce d'art ; il espère d'ailleurs voir fleurir ce dernier et n'hésite pas à voyager seul aux quatre coins d'Ahovu pour dénicher de nouvelles pièces ou soutenir financièrement les artistes qui attirent son attention. Lafcadio déteste l'ennui plus que tout, et c'est peut-être là la motivation principale derrière ses actions de nos jours : ne pas se retrouver à ruminer. Et il n'hésite plus à faire usage de sa fortune pour y échapper.

Quel est son lien avec les Pokémons ? Les craint-il ?
Pour lui, ce sont les pokémons qui l'ont sauvé quand il était au plus bas - il va sans dire qu'il leur voue un grand respect et une curiosité sans fin. Maintenant qu'il a retrouvé le pokémon qui semble avoir été le sien avant l'amnésie, il ne peut plus concevoir de vivre séparé de ces créatures. Evidemment, il n'est pas pour forcer la domestication des pokémons qui préfèrent rester sauvages, mais il est persuadé que les hommes bénéficieraient à vivre en symbiose avec eux, un peu comme chacun devrait accorder à la créativité plus d'importance dans son quotidien. D'ailleurs, la majeure partie de sa collection représente de près ou de loin des pokémons. C'est cette niche du marché qu'il a choisi.

Comment voit-il l'Organisation Trismegis ? Et le Groupe Victini ?
Trismegis est responsable de sa perte de mémoire, un point c'est tout. Du moins, il y croit dur comme fer. Le sujet est encore assez sensible et même sans preuve concrète, son antipathie s'est étendue à la plupart des membres de l'Organisation, sans distinction. Mais publiquement, la politique menée par Trismegis est la cause de son hostilité ; il n'a révélé son amnésie qu'à un nombre très réduit de personnes.
Il a rejoint le Groupe Victini il y a un peu plus d'un an et contribue parfois financièrement à certaines actions. Il est convaincu que la volonté de révolte est parfaitement justifiée.


Physique :
Lafcadio est un peu un ours. Il dépasse aisément les 1m90, et ses larges épaules ne font qu’accentuer l’impression de dureté qui caractérise son corps. Pour autant, il ne partage pas sa corpulence avec l’animal : ni rond, ni spécialement musclé, si ce n’est peut-être ses bras qui ont l’habitude de porter vases ou statuettes d’un poids conséquent. Il a tendance à préférer une de ses jambes plus que l’autre lorsqu’il marche et à boiter un peu – la gauche ne s’est jamais remise de l’accident, contrairement à ce qu’on lui avait fait espérer. Quand la douleur est trop insistante, il se déplace à l’aide d’une canne en carbone noire qu’il replie et range dans son sac le reste du temps.

Le teint clair et la mâchoire carrée, les traces laissées par le temps sur son visage sont évidentes : quelques rides sur le front et au coin de ses yeux sombres, marquées par ses sourcils lorsqu’il se froncent, et des cernes assez prononcées. Il faut dire que Lafcadio ne dort jamais beaucoup. Son sommeil est bien trop agité. Quand il se réveille, juste avant le lever du jour, il ne s’attarde pas devant le miroir ; de l’eau et du savon, un coup de rasoir sur son petit bouc si nécessaire et un simple brossage de dents. Sa tignasse noire ondulée, qui tire plutôt sur le poivre-et-sel maintenant que les cheveux blancs se font aussi nombreux, il ne la coiffe quasiment pas. Alors oui, il a peut-être souvent l’air de sortir du lit, mais il n’en a rien à cirer – et il est propre, c’est déjà ça.

Il s’habille tout le temps de la même manière par simple manque d’intérêt : pantalon sobre, chemise blanche aux manches retroussées, laissant ses avant-bras à découvert, surmontée d’un veston de costume aux motifs variés – rayures, carreaux, arabesques florales sont quelques-uns de ses favoris. Ses mains sont toujours gantées de cuir noir, même quand la chaleur est difficilement supportable. Lorsqu’il sort, il s’équipe d’une bonne paire de chaussures, d’un long trench sombre et d’un large sac à dos de voyage pour y transporter ses trouvailles. S’il peut paraitre relativement élégant en ville, il n’a pas peur de se salir et rentre souvent d’expédition couvert de poussière ou taché de boue.

Mental :
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas un caractère facile. Il n'est ni rustre ni violent, et loin d'être animé de mauvaises intentions ; mais sa nature solitaire et son extrême méfiance, surtout envers les institutions et l'autorité en général, peuvent facilement rebuter. Et quand bien même il engagerait la conversation, Lafcadio est une personne très franche, parfois un peu trop – c'est en partie ce manque de filtre qui a causé chez lui cette tendance à se replier socialement. A force de froisser les autres, on finit par éviter les conversations superflues.

Il n'a pas que des défauts, évidemment. C'est un homme à l'esprit pratique, touche-à-tout et débrouillard. Il tient toujours ses promesses et déteste le mensonge ou les cachotteries, ce qui en fait quelqu'un sur qui l'on peut compter s'il décide de s'ouvrir. Il est encore fragile après une période particulièrement difficile, mais il essaie de cacher ses troubles plus profonds du mieux qu'il le peut. Il ne tient pas à attirer l'attention.

L'art est sa plus grande passion. Peinture, sculpture, écriture, musique, il s'intéresse à tout ce qui provoque de l'émotion en lui et n'hésite pas à dépenser pour acquérir. C'est d'ailleurs un des quelques sujets de conversation qui fait apparaitre son côté enthousiaste, avec les pokémons aussi, et rien ne lui fait plus plaisir que de partager avec d'autres connaisseurs. Il en a naturellement fait sa vocation après son nouveau départ. Mais il a un caractère très changeant – il se lasse vite des choses ou des personnes qui ne l'intéressent plus. Il n'hésite pas à tourner la page, souvent de manière froide et sèche, pour tromper l'ennui et ainsi éviter de retomber dans des spirales de pensées sans fin.

Il aime beaucoup être en extérieur, découvrir de nouveaux endroits et simplement observer le paysage et ceux qui l'entourent.

[cw : délire paranoïaque, théorie du complot et pensées suicidaires (promis cette partie-là ça va mieux maintenant.)]

Printemps 2318. L’homme se réveille dans une chambre immaculée de la Cité Hospitalière d’Uthyrgham. Son premier réflexe est d’essayer de s’asseoir ; de vives douleurs un peu partout dans son corps l’empêchent de se relever plus haut que ses avant-bras. Ses pensées rattrapent vite la gêne physique qu’il ressent et son esprit se retrouve inondé de questions. Que fait-il à l’hôpital ? Que lui est-il arrivé ? Pourquoi a-t-il si mal aux jambes ?

Quel jour sommes-nous ?

Son sang se glace. C’est la question de trop, celle qui ouvre la voie à toutes les autres, de plus en plus alarmantes. L’homme presse le bouton d’appel sur le côté de son lit.

Lafcadio Zamsa. 37 ans. Agent technique on-ne-peut-plus oubliable d’une usine dans la banlieue d’Uthyrgham. On lui explique qu’il souffre d’amnésie suite à un accident de voiture, entre autres – le médecin lui assure qu’avec de la rééducation, ses jambes iront vite beaucoup mieux. Impossible de savoir avec certitude quand il retrouvera la mémoire ; le choc à la tête était trop violent. Mais les souvenirs devraient lui revenir petit à petit. Il lui conseille du repos et un suivi psychologique, que l’hôpital peut aussi assurer, d’ailleurs, son dossier est déjà sur place, ce sera plus pratique.

Trois semaines plus tard, il se tient debout devant la porte d’entrée d’un minuscule appartement en dehors de la capitale, un sac plastique à la main. C’est là qu’il habitait – qu’il habite, visiblement, si l’on en croit la plaque à son nom. Lafcadio boite encore quand il franchit le seuil de son meublé. Il va sûrement boiter pour le restant de ses jours, lui a-t-on dit. Mais au moins, il marche. L’appartement est sobre, un peu trop, même si les chemises éparpillées et la vaisselle qui traine prouvent bien que quelqu’un y vit. Il s’écroule sur le canapé et fixe du regard son propre visage sur sa carte d’identité.

Lafcadio passe l’été suivant à se reconstruire une routine. Il décroche un nouveau poste dans le même secteur – personne à l’hôpital n’avait pensé à le prévenir qu’il était au chômage avant l’accident – et se présente à tous ses rendez-vous chez le psychologue. Le suivi ne lui apporte pas grand-chose, si ce n’est des interactions sociales ; il n’a plus de proches et l’état de sa liste de contacts en dit long sur son caractère taciturne. Ahovu, les pokémons, comment faire son travail, ça, il s’en rappelle. Mais un voile opaque recouvre encore les souvenirs de sa vie avant ce jour, ce fameux jour, malgré tous les efforts qu’il fournit et le temps qu’il consacre à récupérer ne serait-ce qu’un fragment de ce qui lui appartenait.

Le psychologue est d’avis qu’il ne doit pas autant forcer, qu’il faut laisser le cours des choses guérir ses blessures. Lafcadio est d’avis qu’il ne remettra plus jamais les pieds ici.

⋯⋯⋯⋯⋯

Trois années s’écoulent sans le moindre souvenir à l’horizon. Il n’a ni l’énergie, ni l’argent nécessaires pour s’en prendre au médecin qui lui avait assuré un retour à la normale rapide, et de toute façon, il commence à s’habituer à cette vie. Ignorer le vide n’est pas facile, mais il le comble avec ses passions, l’art notamment.

L’enveloppe qu’il trouve dans sa boîte aux lettres ce soir-là n’affiche aucun expéditeur. Elle contient une petite clé et une adresse, celle d’une banque située en Haute-Uthyrgham. Lafcadio croit à un canular un peu étrange et ignore le courrier pendant quelques jours – mais s’il y a bien un aspect de sa personnalité qu’il est certain d’avoir depuis sa naissance, c’est son goût pour ce qui sort de l’ordinaire. Il suit donc la piste qu’on lui a indiqué. L’atmosphère de cette banque VIP est étouffante quand il tend la clé au réceptionniste ; il a l’impression que d’une seconde à l’autre, on va lui reprocher de n’être qu’un simple ouvrier avant de le mettre à la porte. Et pourtant, le réceptionniste ne pose aucune question quand il lui échange la clé contre une carte d’un noir épuré et lui indique les terminaux où consulter son solde.

Le nombre qui apparait à l’écran est si long que Lafcadio peine à visualiser la somme qu’il représente.

Pris de panique, sans réponse à ses interrogations – la banque s’enorgueillit de sa politique de confidentialité absolue – l’homme rentre chez lui terrifié. Il refuse d’y toucher, à cette fortune sortie de nulle part ; impossible de savoir qui a déposé la clé dans sa boîte aux lettres ni d’où vient tout cet argent. Cet argent sale, peut-être. Et puis, pourquoi lui ? Si l’on exclut son amnésie, Lafcadio est une personne lambda. Un grand solitaire, oui, mais c’est la seule chose qui le démarque un tant soit peu des autres.

Après s’être aspergé le visage d’eau, il observe son propre reflet dans le miroir. Trois ans depuis son réveil et il a toujours autant l’impression d’y voir un inconnu.

Et si on lui avait menti ?

Impossible. La question qui résonne dans sa tête a le goût de l’interdit. Quelqu’un lui aurait caché une partie de sa vie ? Faut vraiment être stupide pour imaginer un truc pareil. Ressaisis-toi. T’es pas dans un film, bordel.

La carte bancaire est jetée précipitamment dans un tiroir, et toutes les questions avec. Chaque matin, il évite soigneusement de croiser son propre regard au-dessus du lavabo. Tant pis s’il est mal rasé. Il compte sur son travail pour l’aider à faire comme si de rien n’était – avec un peu de chance, s’il prétend que tout ça n’est jamais arrivé, le tiroir se videra de lui-même. Il a déjà oublié une fois ; il peut bien recommencer.

Mais la peur est trop forte, la curiosité trop malsaine, l’incertitude trop pesante – et cette idée folle qu’il n’est pas celui qu’il pensait, Lafcadio finit par y croire. Mais qui est-il alors ? Son nom, ses souvenirs, sa famille peut-être, qui les lui a volés et pourquoi ? Et cet argent qui tombe du ciel, il est forcément lié, mais pour le lui donner après trois ans alors qu’il mène une vie si discrète, il fallait quelqu’un pour l’observer, pour savoir qu’il habitait toujours là. Les voisins ? L’immeuble est si grand. Il ne leur a jamais parlé. Les collègues ? Oui, il a déjà pris un verre avec eux, mais rien de personnel ne sortait jamais de sa bouche – même sous les effets de l’alcool. Il ne supporte plus son reflet. Il repense au médecin qu’il a vu à son réveil et à ses paroles en l’air, il n’a jamais arrêté de boiter d’ailleurs, au psychologue qui l’incitait à tourner la page, et ses on se revoit dans deux semaines ?, à l’appartement trop propre et la liste de contacts trop vide et la carte d’identité trop neuve, et un choc crânien, ça ne peut quand même pas effacer trente-sept ans de souvenirs aussi facilement, si ?

Au travail, il est devenu un automate. Si son corps continue à effectuer les tâches qu’on lui impose, son esprit rongé par les questions sans réponse passe en pilote automatique. Les journées sont rythmées par des moments d’absence où il se sent simple observateur de la vie d’un autre, sans contrôle sur ses faits et gestes. Au réfectoire, ses voisins de table se lancent dans une discussion houleuse sur les dernières décisions de Trismegis.

Le déclic dans sa tête est immédiat.

Lorsqu’il rentre chez lui ce soir-là, il sait qu’il ne remettra plus jamais les pieds dehors. Chaque recoin de l’appartement est retourné ; aucun mouchard, aucune caméra. Qu’importe. L’oreille collée contre les murs, il toque délicatement à la recherche du moindre son creux, débranche les appareils, retire la plaque sur sa porte, ferme les volets, brise son écran de télévision et piétine sa montre hologramme jusqu’à ce qu’elle soit réduite en éclats. Ses joues sont rougies par l’effort, ses mains moites et son souffle irrégulier. La seule pièce encore éclairée par la faible lueur de la lune est la salle de bains, le hublot d’aération trop haut et trop petit pour en faire quoi que ce soit – mais la lumière est suffisante pour refléter son visage dans le miroir du lavabo.

Tout ce qu’il y voit, c’est un inconnu qui refuse de baisser le regard.
Les articulations de son poing entrent violemment en contact avec la glace.

Lafcadio tient onze mois terré dans son trou avant de rendre les armes. Le gouvernement, Trismegis, les lobbies, Ahovu tout entière, peu importe qui est après lui, il est désormais conscient qu’il ne pourra rien y faire. Ses souvenirs ne reviendront pas. Il a quarante ans et il est déjà si fatigué. S’il pouvait au moins revoir des pokémons une dernière fois – il les aime, ces créatures, et lire des articles ou regarder des vidéos à leur sujet a souvent fait office de bonne distraction depuis son réveil. En toute honnêteté, il aurait voulu en élever un lui-même, mais n’a jamais trouvé le courage d’utiliser l’unique pokéball qu’il s’était acheté. Il la glisse dans sa poche et quitte son immeuble pour la première fois depuis presque un an.

Ses pas le guident jusqu’aux montagnes, aux Monts Marmoréens, un lieu suffisamment reculé pour y observer des pokémons. Pendant quelques heures, il a enfin l’impression que les fantômes dans sa tête – les spectres de celui qu’il a été, qu’il aurait pu continuer d’être, de ceux qu’il a sûrement connus et aimés – lui fichent vraiment la paix. Il n’avait pas réalisé à quel point les étendues sauvages de la région l’apaisent, le réconfortent, et Lafcadio n’est pas insensible à l’ironie de s’en rendre compte aussi tardivement, quand sa décision est déjà prise.

Plus loin dans la roche, il a repéré une petite caverne à l’abri des potentiels regards. Autant leur compliquer la tâche, à ceux qui essaieront de le retrouver. Ce sera sa petite victoire personnelle. Il s’y installe, allume une lampe torche ––

Et c’est là qu’il rencontre une créature qui va changer la trajectoire de sa vie.

⋯⋯⋯⋯⋯

Printemps 2323. Lafcadio pousse la porte du petit local au rez-de-chaussée qui lui sert de galerie. Après six semaines, le voilà enfin de retour à Agapé. Dans son énorme sac à dos, une nouvelle trouvaille pour sa collection : une statuette évoquant un pokémon ailé au regard impénétrable, un Xatu peut-être, tout droit venue d’un humble marché d’Oma-Oma et qui ne demande qu’à être un peu chouchoutée pour laisser apparaître ses jolis reflets de bronze. D’un geste, il libère son Germéclat de sa pokéball ; celui-ci émet un petit bruit de satisfaction qui fait sourire le marchand. Il n’y a pas un instant à perdre : il doit inscrire sa nouvelle pièce dans le registre, la polir avant de l’exposer, consigner ce qu’il a vu dans le district aux volcans pour un prochain voyage, dépoussiérer la boutique et reprendre contact avec les Victini de Fontaine-d’Or.

Il commence à déballer son sac en prenant soin de ne pas abimer la statuette. Ses effets personnels vidés sur le comptoir, il s’attarde à vérifier que son portefeuille contient toujours l’essentiel : une carte d’un noir épuré, un minuscule carnet et sa carte d’identité. Pendant quelques secondes, il soutient le regard de l’homme qui y apparaît, perdu dans ses pensées.

Le portefeuille rejoint le reste de ses affaires, et Lafcadio peut se mettre au travail.


Surnom :Lazuli
Espèce : Germéclat
Sexe : Mâle
Talent : Dépôt Toxique
Niveau : 5
Nature : Distrait
Teracristal : Roche

Description : Dès l'instant où il a rencontré Lafcadio dans une grotte des Monts Marmoréens, ce Germéclat s'est comporté comme s'il le connaissait depuis toujours – ce qui a amené l'homme à croire qu'il en était le dresseur avant de perdre ses souvenirs. Il n'y a aucun moyen de le prouver, bien sûr, mais toujours est-il que ce pokémon a complètement changé la personne qu'il était.

Baptisé Lazuli, le Germéclat a toujours un peu l'air d'être dans un autre monde et son apparence étrange, entre végétal et minéral, ne fait que contribuer à cette impression. Il semble très attaché à son dresseur, mais Lafcadio ignore encore beaucoup d'aspects de son caractère.

Pseudo : Furu
Age : Vieux
Pokémon préféré : Marisson
Découverte du forum : DC
Autre ? : Umineko le meilleur visual novel de tous les temps, lisez Umineko
XP :
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Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Sūrya Mirza
Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Ven 4 Aoû - 23:04
Sūrya Mirza
mais c'est Rounard
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Meuble éternel
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Ce membre a une équipe complète ! Bravo l'équipe.
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Ven 4 Aoû - 23:33
Staff

Bienvenu.e à Ahovu !

Lafcadio Zamsa | Die Verwandlung Hexago13




[Ouah mais c'est Rounard !!! Nan je rigole, mais sérieusement, un mécène, trop cool !! J'ai vraiment hâte de RP avec un gars aussi ravagé 👀]

Tu commences donc ton aventure avec 500 P$, ainsi que 5 Pokéballs ! N'oublie pas de faire ta T-Card avant de commencer à RP ! En espérant que tu te plaises à Ahovu. ]

Halloween
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Ven 4 Aoû - 23:33
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Le membre 'Staff' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Chromatique' :
Lafcadio Zamsa | Die Verwandlung 0ely
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