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Lieutenant Trismegis | Bijoutier-Joaillier
Meteor Quartz
Lieutenant Trismegis | Bijoutier-Joaillier
Lun 4 Sep - 17:48


Dernière édition par Meteor Quartz le Lun 11 Sep - 22:27, édité 4 fois
Meteor Quartz

Meteor Quartz

âge : 32 ans (33 le 28/11)
pronoms : Il/Lui
métier : Lieutenant Trismegis - Bijoutier-Joailler
groupe : Organisation Trismegis
habite à : Fontaine-d'Or - Agapé
feat : OC | Gratiné
Starter : Sélection

Quels sont les objectifs de votre personnage ?
- Continuer à gravir les échelons de l'Organisation, pour tenter de se hisser au (presque) sommet.
- Complètement éradiquer la criminalité sur Ahovu. Mafias et sectes comprises. Le Groupe Victini...? ça dépend les quels.
- Qu'on retrouve le meurtrier de son père qu'il a perdu lorsqu'il avait huit ans. Pour que Justice soit faite. La Police n'a que peu de pistes, ce qui l'agace profondément. ...Il trouve la Police inutile et mal organisée, honnêtement.
- Trouver le grand Amour.
- Que lui, son chat ou quelqu'un d'autre prenne la place d'Alba Tross, par pitié.

Quel est son lien avec les Pokémons ? Les craint-il ?
Il les adore. Il est complètement gaga. Ses premiers Pokémons, ce sont ses bébés d'amour. Mais pour des raisons plus qu'évidentes, il ne se comporte comme ça qu'à Agapé, et non à Bedwyr.

Ses Types de Prédilection sont le Type Acier et le Type Roche, probablement car il est passionné par le travail des métaux et des pierres.

Il a cependant récemment développé une peur des Pokémons qu'il ne connaît pas. Notamment car il a été gravement blessé presque mortellement par un Pokémon Paradoxe lors de sa dernière intervention, le même jour que l'incident du Festival de l'Aube.

Comment voit-il l'Organisation Trismegis ? Et le Groupe Victini ?
L'Organisation, c'est son travail. Et il est un bourreau du travail. Forcément, il n'est pas d'accord avec tout. Il comprend la nécessité actuelle de réguler la possession de Pokémons, même si personnellement, il ne se verrait pas vivre sans ses Pokémons.

Il est très mitigé concernant le Groupe Victini. Il ne les déteste pas viscéralement. Il ne souhaite pas leur dissolution. Mais il trouve leurs agissements extrêmes, pour certains, et leurs idéaux bien trop irréalistes, dans la période actuelle. Il faut faire régner l'ordre, car les Pokémons sont plus dangereux à cette époque qu'il y a 300 ans, ça ne fait aucun doute.


Physique :
Cheveux : Tu possèdes des cheveux châtain clair, lisses et courts, avec une mèche un peu plus longue sur le devant, à ta gauche. Soucieux de ton image, tu es généralement parfaitement coiffé le matin quand tu as fini de passer plusieurs longues minutes dans la salle de bain devant son miroir. Malheureusement pour toi… ils partent vite en bataille après une bonne nuit de sommeil. Ou juste à cause du vent. Tes cheveux font facilement des épis, après tout… Tu es métrosexuel, c’est certain. Ainsi, il t’arrive alors souvent de te recoiffer en te regardant dans une vitre, soucieux de ton apparence.

Yeux : Tes yeux ont pour particularité d’être limpides et clairs. Très clairs, même. De la même couleur et du même éclat que le quartz blanc. Tu as des très beaux yeux, c’est sans doute un de tes meilleurs atouts. Cela peut te rendre un peu intimidant et froid, aux premiers abords, cela dit. Sinon, pour continuer à décrire ton regard de glace, celui-ci est entouré de cils à peu près de la même couleur que tes cheveux, si ce n’est un peu plus foncés, tout de même. Tes cils ne sont ni courts ni longs, rien de spécial là-dessus. Malgré la froideur de tes yeux, tu ne manques pas d’expressivité. Il est simple de savoir si tu es en colère, puisque tu fronces facilement les sourcils. Très simple de savoir si tu es agacé, également. Ce qui ne te dessert pas vraiment, dans la vie de tous les jours.

Morphologie globale : Tu es plutôt grand, quoique ta taille est relativement moyenne, selon les contrées et les époques. Tu possèdes en outre une bonne musculature, sans être non plus un si gros tas de muscles. Tu mesures d’ailleurs ainsi un mètre quatre-vingt-deux pour soixante-dix-huit kilos, pour être exact. Lorsque tu étais adolescent, tu avais tendance à être plutôt lâche, pourtant. C’est ton manque de confiance en toi qui t’a poussé à te mettre au sport. Puis aussi car tu aimes prendre soin de toi… Une vraie princesse dans l’âme.

Accoutrements : Loin de manquer d’argent, tu as tendance à porter des vêtements classes. De marque. De bonne qualité agapéenne, même. Sans non plus être tant que ça habillé comme un bourgeois bien cliché selon l’imaginaire commun, hein. Juste un petit peu. Mais tu portes souvent de la marque. Tu en as les moyens, alors pourquoi t’en priver ? Chemises, vestons, mocassins… Pour le travail, c’est toujours le chic, le luxe, la classe. Cependant, tu es comme tout le monde. Tu te relâches également le weekend, portant de simples sweatshirts à l’effigie de… groupes de métal ou rock. De la qualité moindre, comparé à ce que tu portes habituellement.

Bijoux : Tu es capable de travailler les métaux et la pierre, donc, forcément, on ne te verra pratiquement jamais sans quelques bagues en argent autour de certains de tes doigts. C’est possible que tu ne portes pas toujours les mêmes, ou que, parfois, mystérieusement, tu n’en aies soit qu'une seule, en tout, ou encore une à chaque doigt, sauf à celui réservé au mariage. C’est un peu un mystère, le nombre de bagues que tu décides de mettre, faudrait m’expliquer. Avec ça, une holomontre à bracelet chic en argent, histoire d'être un peu plus bling-bling... No comment.

Cicatrices et blessures : Parce qu’elles ne sont pas que mentales, tu possèdes quelques cicatrices sur le corps. Certaines causées par ton travail de bijoutier, donc sur les mains, bien qu’elles restent toujours en bon état. Les plus impressionnantes sont du fait de ton accident. Au niveau du torse et de l’estomac, de larges entailles sont visibles. Pas tant profondes, puisque ça ne t'a pas achevé, mais assez pour être visibles toute ta vie, sans doute. D’autres éraflures et coupures plus ou moins longues sur les bras, les jambes, le dos… Mais assez anecdotiques pour être ignorées à moins de te reluquer en détail. Tu as le bras gauche cassé, aussi, mais ça se réparera en temps voulu, bien que tu bouillonnes d'impatience. Arrête de râler, tu es droitier, Meteor.

Mental :
Il est certain que lorsqu’on pose une première fois les yeux sur toi, Meteor, on te qualifie comme un homme froid, antipathique, aux airs condescendant et arrogant, avec… tu sais, ce petit sourire fier insupportable qui vient étirer parfois tes lèvres, là. Caractéristique du harceleur, à l’école. Ce que tu as été, même si tu n'en parles pas vraiment. Bizarrement, là, la fierté te quitte. Caractéristique aussi de celui qui adore lancer des piques aux autres et leur donner des surnoms peu glorieux. Oui, oui. C’est ce que tu fais. Avec toi, ça fuse, les surnoms. Que tu les connaisse ou pas d’ailleurs. Que ce soit affectueux, de bonne guerre, ou juste pour faire chier ton monde.

S’ajoute à cela… ton humour naturellement sarcastique et noir. Que tout le monde ne comprend pas forcément. On croit à de la méchanceté gratuite, évidemment. Il est donc assez courant de penser que tu fais partie de ces bourgeois agapéens prenant tout le monde de haut, imbu de toi-même, Meteor. Regarde la vérité en face. Tu te reconnais, bien, non ? Tu en as honte ? Je sais que tu en as honte.

Cependant… Oui. Tu peux être bon. Tu n’es pas parfait du tout, mais qui l’est réellement ? lorsqu’on creuse un peu plus, tu sais te montrer plus doux et soucieux de bien faire. Limite perfectionniste et anxieux, en fait. Tu veux prouver quoi, au juste ? Et à qui ? Même toi, tu sembles ne pas le savoir.

Assez paradoxalement… il t’arrive d’ailleurs assez régulièrement de regretter tes mauvaises paroles au venin de Seviper. Tu as beau être une personne réfléchissant beaucoup, et trop vite, même, tu laisses tout de même souvent échapper des propos blessants, frappant bien là où ça fait mal. Si parfois tu peux y éprouver un malin plaisir un court instant, te sentant ainsi supérieur… Elle est là. La culpabilité qui te guette et qui te suivra des heures durant. Et ce genre de choses te reste bien longtemps dans l’esprit. Pourquoi agis-tu de la sorte ? Forcément, oui. Un mécanisme de défense. Une bonne excuse, ça. Comme tout un chacun, tu en uses à cause d’un certain mal être. Rien de bien grave qui nécessite une intervention psychologique selon toi et ta grande fierté, mais… Oh, sisisi, que tu en as besoin. Un “tout petitcomplexe d’infériorité peut se manifester, chez toi. Et ce que ton esprit a décidé de faire, c’est de le compenser par tes sales airs sûrs de toi, tes sarcasmes, ce genre de choses…

Tu penses sincèrement être doté d’une intelligence un peu plus haute que la moyenne. Bon, peut-être un peu, mais l’éducation d’une famille ayant les moyens de t’ouvrir à la culture aide énormément sur certaines formes d’intelligence. Je peux dire que tu as un certain sens de la déduction. Malgré tout, tu pars trop vite dans un sens qui n’est pas le bon et t’imagines des scénarios catastrophes terribles et dont il est difficile de te défaire. Sans non plus être complotiste. Tu restes réaliste, dans une moindre mesure. Tout cela t’amène à stresser et à faire n’importe quoi, à agir peut-être avec immaturité. Tu es par ailleurs paranoïaque, ce qui n’aide pas à t’apaiser dans certaines situations. Dans ces moments-là, il t’arrive encore une fois souvent de dire à haute-voix ce que tu penses. Bien entendu… ça te met souvent dans l’embarras. La honte. Autant pour toi que pour les autres. Même tes amis ne t’assument pas forcément dans ces cas-là. Le pire, dans tout cela, c’est que tu auras beau tout faire pour te rattraper, les profonds marécages impitoyables de la honte t’engloutiront tout de même.

Quoi d’autre… ? Mh, laisse-moi réfléchir. Oui, pour en revenir à ce léger manque de confiance en toi, tu vas avoir tendance à la cacher sous cette fausse confiance, cet ego et un semblant de narcissisme, oui. Insupportable que tu es. La source, puisqu'apparemment, on pourrait tout excuser en cherchant les origines… On verra ça dans ton histoire, niveau insécurités. Tu as une grande gueule et tu la ramènes beaucoup, pour combler tout ça. Au travail ou dans la vie privée. Tes collègues doivent t'a-do-rer (non). Ton impulsivité qui te fait faire des choses regrettables. Ton émotions indomptables pour ce qui est de la colère ardente qui bouillonne en toi. Tu te mets trop facilement en colère. Tes proches en font parfois les frais, tu le sais, bien. Avoir dû encaisser tant de souffrances n’est pas une excuse. Tu as dû contenir ce torrent d’émotions depuis tout jeune, mais est-ce suffisant comme raison pour détruire tes proches ? Tu devrais pleurer. Cela te fera du bien. Même si on t’a appris à être infaillible, froid, fort. Toujours à garder le contrôle. Il faut te déconstruire.

Oh, et puis, tiens. Tout n’es pas que drama, ça commence à être lourd. Parlons un peu de ton fort esprit de contradiction. Lorsque tu vas aller provoquer les autres haut et fort en espérant que ça te rende intéressant. Cela peut en faire rire certains, et en agacer d’autres. Désolé, mais nous en revenons au harcèlement que as fait subir à tes camarades, pour te rendre intéressant, de la manière la plus maladroite qui soit. Tes victimes qui sortaient souvent de la norme, tu ne les détestais pas vraiment. Non. Ils t’intriguaient.

D’un naturel moqueur et taquin, il t’arrive souvent de faire des blagues de très mauvais goût. Même si ça peut être drôle. On souhaiterait que tu arrêtes, parfois. Vraiment. Par pitié. ces côtés un peu beaufs, ça n’est pas nécessaire. Tu sais te tenir, encore heureux. Sauf quand tu bois. Dans ces moments-là, tu peux être insistant et pénible, surtout lorsque tu te mets à draguer. Quand bien même, tu n’as jamais forcé qui que ce soit. On te recale vite, et tu le comprends. Tes gestes et tes mots ont parfois pu mettre mal à l’aise, cela dit.

Tantôt célibataire, tantôt en couple. On ne peut pas dire que tu sois très atypique sur l’aspecte romantique. Même si tu en as eu beaucoup, des histoires. Mais depuis cinq ans, environ, tu es célibataire non-stop. Sans trop de raison, ton cœur ne s’est juste plus épris de qui que ce soit. Alors voilà. La semaine, tu travailles. Le weekend, tu es un fêtard en quête de plaisirs. Parce que tu aimes le plaisir. Et on n’en parlera pas plus, car ça ne nous regarde pas. Il faut juste savoir que les soirées, les bars et les boîtes de nuit, elles te connaissent bien, tu les connais bien. Un habitué, en sommes. De quoi relâcher la pression.

Puis, tu as tes nombreuses passions qui te définissent. En plus important, on apprend vite que tu adores notamment travailler les métaux et les pierres précieuses. Tu as également une passion pour les armures et les armes en tout genre. C’est pour cette raison-là que tu as décidé d’ouvrir une bijouterie-joaillerie après avoir terminé tes études et travaillé durement pour l’Organisation. Bien sûr, te connaissant, tu as bien suivi une formation avec acharnement, quitte à faire le try-harder et à ne plus avoir beaucoup de temps-libre… Sauf les weekends. Ils sont sacrés.

Futilités :


- Féru de pop culture, il possède des figurines, peluches et mangas dans une autre pièce que sa chambre, complètement dédié à ça. Le magical girls en font partie, oui oui oui.
- Pratique la natation et la musculation très régulièrement.
- Cuisine et fait le ménage très bien. (#malewife caché)
- Fasciné par les Pokémons marins, il possède des peluches Sharpedo, Milobellus, - - Magicarpe, etc… mais les cache lorsqu’il invite un.e amant.e à dormir.
- Il a des sous-vêtements (slips et chaussettes) à motifs de Pokémons aquatiques, parce qu’il trouve ça fun, premier degré. Genre téma les slips Froussardines de la giga-honte.
- Victimise des poubelles sur son chemin. Raison : colère matinale.
- Fait une fixette sur Alba Tross et la “déteste”, mais ça, c’est son tempérament agapéen qui le fait détester les patrons et les politiques.


Prologue : Quartz

Nous étions assis devant la télé. Ma mère, Stella, Aster et moi. Un simple documentaire d’art contemporain dont je ne me souviens pas vraiment. Je chahutais avec ma sœur, à ce moment-là. Jusqu’à ce que le programme soit interrompu. La police intervenait contre des criminels du Lapis-Cité. Je n'étais pas certain d’avoir vu la scène. C’était comme si mon cerveau l’avait effacée. Je me rappelle d’un coup de feu, mais pas de l’image liée à ce dernier. Aussitôt, même bien avant que le nom de Comet Quartz soit clairement évoqué à la télévision, notre mère mère avait compris. D’une voix tremblante et ferme, elle avait donné l’ordre. “Dans vos chambres.”

Nous n’avions pas protesté. Aster, âgé de cinq ans, ne comprenait rien. Il voulait juste aller faire la sieste. Stella, alors même qu’elle était la grande sœur, âgée de onze ans, était prise de sanglots, enfermée dans sa chambre à double-tour.

Moi, j’avais huit ans, et je n’avais pas compris. Il fallait que je sache. C’était peut-être une erreur, mais j’avais rejoint ma mère, devant le grand écran, défiant toute autorité. Incapable de dire le moindre mot en me voyant, notre mère s’était décomposée, pleurant sans retenue. Je l’avais prise dans mes bras, tout en écoutant religieusement la télé.

J’avais fini par comprendre et me retrouver dans le même état que ma mère et ma sœur. Mon père, c’était un grand inspecteur, et c’était le plus fort. Et un méchant mafieux l’avait tué. c’était comme ça que je pouvais me le résumer à huit ans.

Je ne me souviens plus trop des jours qui suivirent cet accident et précédant l’enterrement. La seule chose dont je me souvenais, c’étaient les paroles de ma mère, qui s’était refroidie, devenant presque une reine au cœur de glace et qui ne laissait plus transparaître ses émotions.

“Sois fort. Ne laisse personne savoir le chagrin que tu as dans le cœur.”

Des paroles qui m’avaient inconsciemment marqué à vie. C’était décidé, de toute façon. J’allais être un meilleur inspecteur que Papa. Tellement meilleur, que j’allais retrouver son meurtrier et tous ses copains avant tout le monde et les mettre en prison !

I. Cendres

J’avais onze ans, maintenant. Tout s’était apaisé, d’un point de vue extérieur. Tout ? Non. Cette grognasse me faisait vivre un enfer. Stella. Ma sœur aînée. Je ne m’en rendais pas compte, à l’époque, mais son comportement envers moi était immonde.

Notre mère étant avocate, et accessoirement atteinte d’une bonne grosse dépression, était devenue froide et distante. Aussitôt rentrée du travail, c’est-à-dire très tard, et après avoir rempli le minimum de son rôle de mère, ne faisait qu’enchaîner les verres de vin et s'allonger sur le canapé, à regarder la télé.

Lorsque des amis de la famille ne pouvaient pas s’occuper de nous, Stella était chargée de cuisiner et faire les tâches ménagères. C’était son rôle d’aînée. L’aider ne me dérangeait pas, j’étais plutôt volontaire, comme gamin. Le souci étant qu’elle me forçait à faire toutes les tâches. Y compris des tâches qui n’étaient pas nécessaires.

Ranger sa chambre, plier son linge, lui faire la cuisine et lui apporter à boire. Cette petite princesse profitait clairement de son statut d’aînée pour en faire le moins possible. S’ajoutait à ça notre petit-frère qui n’était pas en âge de faire grand chose… Je me coltinais tout. Et si je ne le faisais pas, elle me frappait. Elle l’avait déjà fait. Parfois, cela n’était pas assez brutal pour qu’on s'en rende compte. Elle savait comment mentir et ne jamais être vue. Pour qu’elle arrête, je devais être son complice par le silence, et répondre à ses demandes. Parfois, c’était plus violent, je tombais par accident dans les escaliers, ou me faisait frapper par mes camarades de classe, car j’étais orphelin de père. Cette garce était vicieuse.

Notre mère gobait ces salades, évidemment. Nos professeurs aussi. Parce que j’étais régulièrement emmerdé à l’école également. Il n’y avait nulle part où j’avais la paix. Jusqu’à ce que j’ai failli éborgner un camarade de classe. Ma mère avait été convoquée et avait pris ma défense, jugeant qu’on m’embêtait bien trop et que je souffrais déjà suffisamment de l’absence de mon père. Elle était avocate, donc elle m’avait très bien défendue. Je n’avais pas été viré, j’étais juste puni de récréation pendant deux semaines, et l’autre gamin n’était pas devenu un cyclope. Il allait juste avoir une sale gueule quelques jours. Cheh.

II. Carmen

Treize ans. Toujours le même cercle d’amis, à l’école. Toujours Jean-Roux - même si c’était une fille, ça restait Jean-Roux - qui était bizarre au fond de la classe. Elle m’énervait car elle était meilleure que moi. Elle m’énervait car elle était bizarre.

Ce qui m’énervait encore plus, c’était la petite nouvelle. Carmen. Elle était bizarre et je l’aimais pas. Elle venait de Kalahari, et y’avait des rumeurs comme quoi sa famille biologique était dans des histoires étranges avec la Jaspe, et qu’elle avait été adoptée par le directeur. Elle allait forcément tuer quelqu’un dans la classe.

Je lui avais laissé un mot et je lui avais tendu un piège dans une salle de classe vide. Des bêtises de gamin, mais je lui avais fait peur et je l’avais attachée et laissée là quelques heures. Comme pour la punir et l’humilier, alors que ça n’était pas de sa faute, ses antécédents. Ayant tout de même un cœur (faut croire), j’étais revenu la détacher plus tard. Elle n'avait même pas crié. Juste pleuré discrètement. J’embêtais souvent des camarades de classe, mais là, je savais que j’avais été trop loin.

Le lendemain, j’avais laissé des bonbons dans son casier en lui demandant de répéter à personne le mal que j’avais fait via une lettre et des petits dessins de Pokémons. Elle me craignait, maintenant. Détournant le regard dès que je la croisais. Je voulais lui présenter mes excuses, mais elle fuyait continuellement. C’était chiant.

Ce dont je n’étais pas spécialement fier, également, c’était qu’avec mes camarades, on sortait parfois jouer dans la Sylve Brumeuse pour terroriser des Pokémons faibles. On leur tirait les plumes, les poils… On grimpait dessus pour les plus gros. Puis on utilisait les Pokémons de certains d’entre nous pour faire des combats Pokémons un peu violents, pour affirmer notre supériorité. Enfin, moi, je ne faisais pas grand chose, je les observais faire, mais je ricanais avec eux comme un débile.

Pourtant, à chaque fois, la culpabilité me rattrapait. J’allais toujours voir comment se portaient les Pokémon qu’on avait blessés. Je les soignais et je leur donnais de la bouffe, en m’excusant d’être vraiment con et lâche, quand j’étais en groupe.

Un soir, Carmen m’avait vu soigner un Ponyta sauvage dont on avait cassé la patte. Elle se promenait là, par hasard, et avait été étonnée de ma gentillesse. Elle m’avait rejoint, et j’avais paniqué. Je lui avais ordonné de n’en parler à personne.

“Tu sais qui l’a blessé ? Pauvre bébou…”

“J-je…”

J’avais avoué. J’avais pleuré. De honte. De colère envers moi-même. Mais elle était restée. Elle m’avait pris la main et m’avait sourit.

“On va les protéger ensemble, maintenant ! T’as pas le choix, tu me dois bien ça, vu ce que tu m’as fait ! Je pensais que t’étais qu’un petit con, un harceleur, mais t’as bien un cœur. Quand on va mal, il faut rester bon avec les autres… C’est ce que le directeur m’a dit, quand il m’a adoptée. Faire du mal aux autres, ça fait du bien sur le coup, mais ça rend les gens malheureux, et ça ne règle aucun problème.”

Depuis, j’avais complètement changé mes fréquentations. On avait remis les autres à leur place, même si j'en étais venu aux poings à certains moments. Une chance que je sois plus grand que la majorité des autres garçons.

III. Fracture

Ma vie n’avait pas trop changé jusqu'à mes dix-sept ans. Je n’avais toujours pas le droit d’avoir de Pokémons à moi, et j’avais toujours le droit de fermer ma gueule. D’encaisser.

Ma sœur, maintenant âgée de vingt-ans, continuait son manège. La violence physique avait presque disparu depuis quelques temps, cela dit. Normal, puisque j’avais appris mon rôle de boniche par cœur, depuis le temps. Il n’y avait plus grand chose à me reprocher. Et ça, pour mon frère cadet, c’était bien acquis également, le fait de ne rien foutre. Même si lui, pour le coup, c’était juste une feignasse, il n’avait rien de méchant. Il ne me demandait pas grand-chose, à part de lui faire à manger. On s’entendait très bien, à part ça. Une relation fusionnelle, vraiment. Et je voulais le protéger. Je ne voulais pas qu’il sache ce que je subissais, lorsqu’il avait le dos tourné. Lui, et surtout, notre mère. Aveuglé par un deuil qu’elle avait mal fait. Il ne fallait pas qu’elle sache. Mais en même temps… ça me brûlait de lui dire.

“Endure ta peine.” Ses mots étaient pourtant encore marqués au fer rouge. Je devais tenir le coup. Ça n'était pas si grave.

Généralement, à cet âge-là, on bouillonne de l’intérieur. En tout cas, c’est le cas de nombreux adolescents. L’envie de se rebeller est extrêmement forte. On veut s’affirmer et exploser. Pourtant, moi, je retardais le jour où toutes ces émotions allaient entrer en éruption. De quoi j’avais peur, au juste ? Sans doute du changement. Ma vie n’était pas si horrible que ça. En dehors de la maison. Pas si horrible que ça, alors que mes tripes se nouaient dès que je rentrais de l’école.

Un soir, j’avais pourtant fini par exploser. Il n’y a pas eu d’élément déclencheur en particulier. Ce fut la goutte de trop. Comme cela arrivait parfois, on avait commencé à parler de mon avenir. Jusque-là, aucun problème. Il était convenu que je fasse des études de droit, comme ma mère, et surtout, comme ma sœur. Mais je ne souhaitais pas rester à Agapé. Je visais plus haut. Je visais Bedwyr et son Académie prestigieuse. Ma sœur s’était moquée de moi, persuadée que je n’y arriverai jamais, quitte à toujours me mettre plus bas que terre. Elle avait appuyé sur de nombreuses de mes insécurités pour me pousser à bout. Des points bien sensibles qu’elle connaissait.

Et elle avait réussi. J’étais à bout et j’étais sorti du silence grâce à elle, en quelques sortes.

J’avais commencé par lui dire ses quatre vérités. Tout avait explosé. Tout le monde s’était tut pour devenir spectateur de mon éruption volcanique.

Tout le calvaire qu’elle me faisait subir avait été exposé au grand jour. La prédatrice avait été accusée. Enfin ! Elle n’avait pas réussi à se défendre. La violence ardente qui transparaissait maintenant dans mes yeux auparavant froids l’en avait dissuadé.

Ma mère était restée silencieuse, comme d’habitude. Un silence de tombe. Un accablement. Je n'avais pas pu m’empêcher de m’occuper de son cas également, pour qu’elle explose aussi. Je voulais tous les entraîner dans cette déflagration. C’était parfois ce qu’il fallait pour régler les problèmes, non ? Je lui en avais fait, des reproches. Le fait qu’elle s’enferme dans le travail et nous laisse seuls depuis bien trop longtemps. Qu’elle fasse la sourde, la muette et l’aveugle. Qu’elle me mette tant de pression sur les épaules depuis que notre père nous avait été enlevé. Qu’elle boive autant pour oublier, le soir. Elle aussi, je l’accusais.

Elle m’avait frappé. Elle voulait me faire taire. Elle ne voulait rien savoir. Je l’avais poussée à bout.

Je n’avais blessé personne. Même si j’avais soif de destruction. C'était la limite à ne pas franchir, malgré l'envie bien présente. Après avoir déchaîné toute ma violence sur la table de la salle à manger que j’avais renversée, j’étais parti rassembler le plus important de mes affaires et j’étais parti. Comme ça. Bien décidé.

Je n’allais plus jamais revenir. Qu’ils aillent tous se faire foutre.

Mon seul regret, c’était d’avoir laissé Aster là-bas. Mais lui, on ne lui demandait jamais rien. On ne le frappait pas. On le gâtait trop. On ne lui mettait aucune pression. Il allait devoir s’en sortir sans moi, à compter d’aujourd’hui.

IV. Bedwyr

Depuis cette fracture, j'avais décidé d’habiter chez mes grand-parents paternels. Bien plus modestes, et surtout, bien plus attentifs à moi. J'avais toujours aimé passer du temps en leur compagnie. Je les aidais souvent dans leur travail de bijoutier, histoire de me faire de l’argent de poche. Puis, après avoir obtenu mon premier diplôme… J’avais rejoint Uxie pour faire des études de droit. Comme prévu, à la base. Je voulais vraiment contribuer à la société et rendre Ahovu plus sûre en éradiquant les racines du mal. Les groupes criminels, les mafias. Ceux qui ont assassiné mon père, entre autres. Mais hors de question que je devienne un chien de la police. Plus inutile que ces clowns, tu meurs. Ils n’avaient jamais retrouvé le coupable, c’était juste inadmissible.

Je n’étais pas vraiment dépaysé. Déjà parce que je rentrais toujours à Agapé le soir. Puis parce que j'avais toujours Jean-Roux (Fleurestine Brémont, il paraît), dans ma classe. J'avais été estomaqué de le voir encore et toujours. Je m'étais donné le défi de le battre enfin, scolairement. Puis professionnellement, surtout. Pas facile, sachant que son père bosse dans l'Organisation. Il devait être bien pistonné, le saligaud…

J'avais travaillé d'arrache-pied. Mais j'étais toujours derrière elle. Deuxième. Encore. C'était frustrant. Je restais tout de même concentré sur mon objectif malgré cette rivalité à sens unique.

Fleur était devenue Lieutenante à une vitesse fulgurante. De mon côté, maintenant chargé de la sécurité militaire, j'attendais le moment où je serais promu, moi aussi. Il n'y avait pas de raison. Je travaillais tellement dur. J'avais également à côté de ça un projet avec Carmen qui allait commencer à fleurir. Une bijouterie-joaillerie. Comme pour rendre hommage à mes grands-parents (ils sont pas morts, je précise) et à une passion pour le métier que je me suis découvert quelques années auparavant.

Un an après le rouquin, j'étais maintenant Lieutenant. La classe. Mais surtout, beaucoup de travail. Rien de tout ça ne pouvait me faire peur. Je me donnais à fond. Je gardais une vie saine, et j’avais tout de même une vie sociale et festive le weekend. Même si j'oubliais sans doute un peu trop de renouer avec ma mère et l'autre grognasse. Je les voyais de temps à autre. Surtout ma mère en fait. Ça restait froid et tendu, dans le fond. Comme si elle n'osait pas poser de questions. J'étais tout de même rassuré qu'elle ait l'air de s'être reprise en main. Et Aster allait bien, si on oubliait le fait qu'il avait rejoint la police d'Agapé. Pas étonnant, un vrai branleur, celui-là.

V. Paradoxe

Juin 2323.
Dernier jour du Festival de l'Aube.


Nous avions été appelés (bien qu'avec beaucoup de fierté mal placée et de la réserve) par l'ancien Champion de Sunoh pour intervenir à Tôkan. Des Pokémons "bizarres" qui avaient saccagé des réserves de bois dans les Steppes. Mh ! Bien trop forts pour des péquenauds, visiblement. L'armée n'allait pas avoir trop de mal à les terrasser. J'étais confiant.

On avait l'impression d'être en enfer. On galérait à gérer ces monstres métalliques. Mon Lougaroc et mon Berserkatt étaient déjà au bord du K.O. Idem pour les Pokémons de mes alliés. Certains d'entre eux étaient blessés. D'autres avaient perdu la vie sous mes yeux. Et les moins fous d'entre nous avaient fui.

Et moi, dans tout ça, j'agonisais en continuant à donner des ordres. La dernière saloperie encore debout était beaucoup trop forte. Elle s'approchait parfois trop proche de moi. Des griffures. Encore et encore. Jusqu'à ce qu'elle m'assène un coup de trop. Ma conscience avait quitté mon corps à un moment. Je me rappelais juste que l'ancien Champion du district enneigé avait réussi à en venir à bout et à m'envoyer en soins d'urgence.

Epilogue : Pardon

Je suis pas mort.

Mes Pokémons non plus.

C'était déjà ça. Mais pour la première fois de ma vie, je comprenais ce qu'était la peur. La vraie terreur.

Mon diagnostic vital n'était plus engagé. Mais j'allais rester alité un bon moment avant d'espérer reprendre une vie normale. …Comment j'allais pouvoir reprendre une vie normale ?! Pendant plusieurs nuits entières, je revoyais toutes ces horreurs. J'avais tenu coup sur le moment, mais depuis, j'avais craqué. Je ne tenais plus en place. Je ne dormais plus. Je passais mon temps à vomir. C’était l’Apocalypse, ou quoi ?

Mais le point positif, dans tout ça, c'était… ces réconciliations. Avec ma mère, entre autres. Elle passait me voir presque chaque jour, malgré la distance avec l'hôpital de Bedwyr. Ma sœur aussi… bon, c'était bizarre. Mais elle m'avait fait ses excuses. Sincères. Je me sentais apaisé, de ce côté-là, au moins. J’avais fini par comprendre qu’elle avait mal agi parce qu’elle n’allait pas bien. Je n’allais pas forcément la pardonner de sitôt, elle allait devoir faire ses preuves, avant.

Carmen aussi, était venue me voir. Et avoir un cadeau assez inattendu. J’en avais chialé. C'était une toute petite Germéclat qu’elle était allée chercher dans un élevage. Elle avait un sacré tempérament, en plus d’avoir grandi à une vitesse fulgurante durant l’été.

J’avais obtenu de nombreuses semaines de repos. Autant pour mes maux physiques que psychiques. J’aurais bien aimé les ignorer, ces derniers. Mais on m’avait foutu un psy au cul. Je n’arrivais pas encore à lui parler ouvertement. Je détestais les psys. C’était pas fait pour moi. Tout ce qu’il me fallait, c’était l’anéantissement de ces bestioles. Et éventuellement une liaison romantique, pour oublier.

Comme par hasard, mes congés avaient pris fin le jour de cette réunion à la con. Qui avait lieu à la même heure que mon rendez-vous psy, évidemment. Cette fois, j’avais réussi à évoquer des bribes de ce que je ressentais. Un peu. En m’énervant comme un Pokémon sauvage blessé, ou au mieux, un adolescent rebelle. Puis, bras dans le plâtre, j’avais dû me dépêcher pour rejoindre le Laboratoire. Bordel. Être en retard, ça n’allait jamais me donner une promotion avant celle de Jean-Roux.


Surnom :Lapis-Lazuli
Espèce : Germéclat
Sexe : Femelle
Talent : Dépôt Toxique
Niveau : 10
Nature : Facétieuse
Teracristal : Poison

Description : Lapis-Lazuli a été offerte à Meteor par son amie d'enfance pour lui remonter le moral suite à son accident. Très jeune, elle est très active et surtout très rusée. Elle vient souvent embêter les autres Pokémons de son équipe en faisant mine d'être pure et innocente. Notamment en leur balançant des spores dans le nez. Empoisonnées, bien sûr.

Pseudo : Gratiné
Âge : 22 ans
Pokémon préféré : Giratina, Trousselin, Draïeul, Brindibou, Nigirigon...
Découverte du forum : Co-Fonda fdp
Autre ? : Je malveille avec ce dernier compte...
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Dim 10 Sep - 14:49
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Starter


"No mistakes, no pressure" ☄️ Meteor Quartz Sprite_0447_XY"No mistakes, no pressure" ☄️ Meteor Quartz Sprite_0969_EV"No mistakes, no pressure" ☄️ Meteor Quartz Sprite_0431_SL"No mistakes, no pressure" ☄️ Meteor Quartz Sprite_0349_XY


RIOLU : L’air de rien, ton âme est dans un état semblable à celle des métaux précieux que tu travailles. Une pierre pleine d'impuretés et de défauts, qui a pourtant le potentiel de devenir un bijou hors pair avec suffisamment de travail. Et ce Riolu serait entièrement à même de te comprendre sans que tu n’aies besoin de prononcer un mot. Peut-être un peu trop bien même. Attends-toi à beaucoup de jugements silencieux si jamais tu ne fais pas assez d’efforts pour corriger tes vieilles habitudes qui te font honte.

GERMECLAT : Symbole de ce que tu laisses transparaître, tu lui ressembles comme deux gouttes d'eau. Si tu n'arbores pas ses cristaux empoisonnés, tu lui empruntes  encore assez régulièrement ses réflexes toxiques et blessants. Son type roche n'ira d'ailleurs pas sans te rappeler ce côté fier mais froid dont on te qualifie tant. Et pourtant, tu sais mieux que quiconque que les apparences sont trompeuses. Si tu décides de lui donner une chance, qui sait quelle sur quelle gemme tu pourrais tomber.

CHAGLAM : Un Pokémon aux émotions aussi imprévisibles que les tiennes – mais aussi un Pokémon particulièrement demandeur d’attentions envers son dresseur. Alors, est-ce que tu arriverais à le satisfaire ? Après tout, il a tendance à planter ses griffes dans son dresseur, si ce dernier ne s’en occupe pas assez bien : en bref, ce sont ses proches qui subissent. Tout comme les tiens, souvent victime de ta colère destructrice.  On peut aussi noter son air hautain, supérieur, comme s’il regardait tout le monde de haut : ça ne te fait pas penser à quelqu’un ? Même si ce n’est qu’une façade, Chaglam collerait parfaitement à l’image de supériorité que tu renvoies aux autres.
Puis peut-être que ça serait lui, le chat qui remplacerait Alba.


BARPAU : Un poisson. Tu aimes bien ça, non ? Bon, il est un peu moche, mais tkt. A contrario, ce Pokémon ne colle pas vraiment à l’image que tu renvoies – faible, pathétique, mais pourtant robuste … personne ne se soucie de lui. Mais peut-être que tu pourrais faire un parallèle avec ton enfance assez désastreuse ? Après tout, avec un peu de patience, ce Pokémon devient puissant et respecté des autres.

Car Millobellus est considéré par beaucoup comme le plus beau Pokémon du monde, capable d’apaiser la colère et les maux des autres – ta colère, peut-être. Il pourrait donc devenir un support pour toi, pour garder un peu de contrôle sur tes propres actions, ton propre potentiel destructeur.

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Meteor Quartz
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Dim 10 Sep - 15:58
Meteor Quartz
Je choisis Germéclat et je lance mon dé de shiny, au passage ! Super sélection, je suis super content
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Dim 10 Sep - 15:58
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Le membre 'Meteor Quartz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Chromatique' :
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Ven 15 Sep - 1:06
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Bienvenu.e à Ahovu !

"No mistakes, no pressure" ☄️ Meteor Quartz Hexago13




Tu es validey. Renverses pas trop les poubelles stp. TU CROIS QU'ILS VONT OU NOS IMPOTS?!

Tu commences donc ton aventure avec 500 P$, ainsi que 5 Pokéballs ! N'oublie pas de faire ta T-Card avant de commencer à RP ! En espérant que tu te plaises à Ahovu. ]

Halloween
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