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Lun 9 Oct - 17:15
Parlons affaire
Ce n'était pas dans mes habitudes d'inviter les gens chez moi. C'était même... Nouveau. Il faut dire que je ne suis de toute façon quasiment jamais là et que jusqu'à peu, l'appartement ressemblait toujours à l'appartement témoin que j'avais acheté avec ses meubles blancs, propres et sans la moindre décoration personnel.
"Jusqu'à peu", oui, parce que désormais, Vitaly y était bien plus souvent que moi et cela me convenait bien. Son ancien appartement était si miteux et horrible... Qui plus est, sa présence m'obligeait à rentrer plus souvent et par-ci par-là avait fleurit, entre les murs, quelques touches de couleurs ou d'affaires personnels du policier. Affaires que je ne pouvait m'empêcher de ranger, mettre droits, dépoussiérer, etc...
Avec la mort de Layla, Vitaly s'est assombrit. C'est pour rester ici et veiller sur lui que j'ai proposer cette fois à Zaya de se déplacer et non le contraire. Bien entendu je n'ai pas dit le "pourquoi" de ce changement et j'ai prévu d'attendre que Vitaly soit au travail pour lui proposer de venir afin qu'il ne la croise pas. Pour autant, il faut que je vois la blonde pour bien des choses importantes : le briefing de la réunion, les paradoxes, la mission et... vérifié sa loyauté envers les Victinis. Enfin... Ce qu'ils sont devenus...
Laissant la veste de costard et le chapeau pendu, c'est chemise aux manches retroussé, cravate et tablier blanc sur pantalon pincé du costard noir que je donne un dernier coup de chiffon pour être sur que tout soit toujours bien clean avant d'aller lui ouvrir. L'alcool est déjà sur la table basse ainsi que le cendrier. Tout est prévu pour un bon temps de discutions et de débats. Avant même le bonjours, je pointe du doigts les chaussures de la blonde :
"Pas de chaussure ni de Pokémon sur mon sol s'il te plait. Il est propre."
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Dim 15 Oct - 15:30
Parlons affaire
La Basse-Uthyrgham... C'était la première fois que Zaya posait un pied dans ce quartier de la capitale de l'île. En vérité, c'était même la première fois qu'elle venait à Bedwyr tout court. Si elle avait été profondément agacée par la débauche de luxe qu'elle avait vu en posant les yeux sur la haute-ville, cette partie là lui correspondait plus. Plus modeste, tout en restait très bien à ses yeux. On était si loin des bidonvilles de Mahina que même ici, dans ces ruelles censées être les plus pauvres de la capitale, la mahinaise sentait un parfum de confort certain. Le contraste était saisissant quelque part mais ça ne fit qu'accentuer sa curiosité à l'égard de ce endroit. Elle n'était pas idiote, elle se doutait qu'ici aussi, il y avait des inégalités et des luttes à mener. Alors, si elle pouvait capter quelques brides de discussion allant dans ce sens là, tout pourrait devenir bien intéressant... Ayant troqué ses habituels vêtements carmins pour quelque chose de plus passe-partout, la jeune femme se fondait parfaitement dans la masse grouillantes des locaux. Après tout, un peu de changement ne faisait pas de mal et puis, elle appréciait fortement les pantalons, surtout pour se déplacer. Ainsi, elle avait enfilé un simple jeans bleu foncé, une chemise blanche et des baskets. Elle avait noué ses cheveux en une longue tresse qui lui tombait dans le dos et avait rehaussé le tout d'une veste en simili-cuir noir. Et surtout, aucun de ses pokémons habituels ne l'accompagnait. Ou plutôt, ils étaient tous sagement dans leurs balls, même Hypérion qui avait été incroyablement difficile à convaincre. A la voir comme ça, elle passait parfaitement pour une énième trentenaire lambda se baladant dans les rues.
Ceci dit, elle n'était pas venu ici pour faire du tourisme ou pour écouter les ragots. Elle avait un but bien précis pour se déplacer ici.
Marchant d'un pas vif et sur, elle ne mit pas longtemps à trouver ce qu'elle était venu chercher.
Une porte. Ou plutôt, la porte.
Elle frappa et le battant s'effaça rapidement pour laisser place à un Vox en tablier. Le connaissant, lui et son côté maniaque, il avait du passer son temps à tout astiquer dans les moindres recoins. D'ailleurs, son impression fut vite vérifiée par les premiers mots qu'il prononça.
S'exécutant docilement, la blonde retira ses chaussures, les déposant sur un porte-chaussures métalliques où trônait une paires de mocassins noirs. Puis, elle entra dans l'appartement, gardant sur son épaule son sac à dos nonchalamment.
Embrassant le lieu du regard, curieuse, elle s'étonna quelque peu de voir des touches de couleurs par-ci, par-là. Elle n'avait jamais connu Vox autrement qu'en noir et blanc et elle ne pensait pas qu'il était du genre à aimer la décoration. Ceci dit, les lieux de vie et les gens pouvaient différer par moments.
- Moi aussi je suis contente de te voir ! Joli petit nid en tout cas ! Je peux ?...
Elle avait désigné le canapé d'un geste de la main, préférant demander avant de savoir. On ne savait jamais, des fois qu'il eut envie de passer un petit coup d'aspirateur sur les coussins avant.
Tout en continuant à observer les détails de l'appartement, elle posa ses yeux bleus sur le trentenaire, allant droit au but :
- Que puis-je pour toi ? Je suppose que tu ne m'as pas fait venir juste pour me montrer ton salon.
Elle avait vu l'alcool et le cendrier sur la table basse. Ce serait donc pour des affaires ; rien d'étonnant en soit. Sans doute concernant le prochain passage à l'acte des Victinis. Peut-être aussi pour parler un peu de paradoxes.
Elle verrait bien.
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Dim 15 Oct - 16:02
Parlons affaire
Un nids... Mon regard se porta sur l'appartement alors que je refermais la porte, m'attardant sur les affaires par-ci par-là de Vitaly. Un nid, cela me fait penser à une famille, à des œufs, à des enfants... On en est pas là avec le blond ! De toute façon, c'est un homme aussi, impossible d'enfanter quoi que ce soit et c'est tant mieux vu le monde dans lequel on est. Et puis, des enfants, c'est du bazars et des tâches partout... Ou alors il fallait déjà qu'ils soient grands et évolué pour être déjà propre et sage mais quel était l’intérêt d'en avoir un déjà grand finalement si on ne peut rien lui transmettre comme valeur ? Non, les enfants... C'est mieux chez les autres. Les nids aussi du coup. Là, c'est juste un appartement, rien de plus.
Je hochais simplement la tête pour lui dire qu'elle pouvait s'installer avant de servir moi-même les boissons pour être certains de ne pas en renverser. Ce n'est qu'après que j'enlevais le tablier que je pliais que j'allais pendre en faisant attention qu'il n'y ai aucun plis ni aucune tâche dessus avant.
"Ce n'est qu'un salon comme bien d'autre, je ne verrais pas l’intérêt de te faire faire ce chemin pour ça. Je pensais plutôt pouvoir discuter avec toi en privé de la dernière réunion et de ce qu'il s'y prépare. Je me serais bien déplacer comme à chaque fois par moi même jusqu'à tes terres mais ma présence est requise ici pendant quelques temps."
Le temps que Vitaly se remette de la mort de sa collègue et des plaies que lui infligent les Trismegis à chaque fois qu'ils le déçoivent un peu plus avec leurs paroles et leurs actions. Je viens m'installer sur le fauteuil en face d'elle avant d'étendre une serviette sur mes genoux au cas ou je perde des cendre et d'allumer ma cigarette. Je ne fumais jamais dedans en général, mais mettre Zaya a ma fenêtre était bien trop risqué. Au pire, j'aérerais pendant toute une semaine après et si il fait trop froids, j'inviterais Vitaly a l’hôtel pendant ce temps-là.
"J'aimerais avoir ton avis, de toi à moi, sur ce que tu penses des Victinis actuellement. Personnellement, je dois dire qu'ils me déçoivent ses derniers temps. Loin d'évoluer, j'ai l'impression qu'ils régressent. Si cette action est restreinte ou stopper, peu importe la raison, il ne restera rien de ce groupe... ou de tout ce qui y est lié."
Les Trismegis n'allaient pas faire de cas par cas... Si ils peuvaient décimer la mafia de Zaya en même temps que les Victinis en les mettant l'un comme l'autre dans l'attaque à venir, personne ne s'en offusquera. Parce qu'utiliser des Paradoxes pour créer une attaque qui potentiellement feraient des victimes dans les civils, cela ne passerait pas dans la population. Pas du tout.
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Lun 6 Nov - 12:50
Parlons affaire
Sa présence était requise ?
Hum... La jeune femme se demandait bien ce qui pouvait à ce point retenir cet oiseau là au sol. Peut importe ce que c'était, ça devait être important ou jugé important pour le brun. Si elle était curieuse sur ce pourquoi, Zaya se retint malgré tout de poser des questions. S'il voulait en parler, il en parlerait et si c'était lié à ses affaires professionnelles, la blonde ne voulait pas s'en mêler.
- Il n'y a aucun problème, j'aime bien bouger un peu à vrai dire. Même si c'est pour venir ici...
Ce dernier mot avait été prononcé avec un dégout clair, faisant référence à Bedwyr et non pas à l'appartement de son ami. Elle avait toujours du mal avec ce district, ne s'y sentant pas à l'aise, ce dernier le lui rendant bien.
Quoiqu'il en fut, elle se dirigea vers le canapé, s'y asseyant tout en écoutant l'informateur revenir sur la réunion et surtout, sur les Victinis. Tout en répondant, elle haussa les épaules, nonchalamment :
- Je n'ai pas à porter de jugement sur les membres d'un groupe qui n'est pas le mien. Ils sont ce qu'ils sont et ce qu'ils deviennent, ou deviendront, n'est que la suite logique de la gestion de Lev. Je ne tiens pas à critiquer son travail d'autant plus que je n'ai pas tout les tenants et les aboutissants expliquant pourquoi il agit de telle ou telle façon.
S'emparant d'un des verre que Vox avait remplit, elle en bu une gorgée avant de continuer, fixant tranquillement le liquide, jouant à le faire danser contre les parois.
- Pour être honnête, je me fiche des Victinis.
Je ne suis pas une membre lambda, je suis leur associée. Nous avons une vision commune sur certains aspects, certes. Je me plie à certaines de leurs demandes et ordres, certes. Cependant, que ce groupe dépérisse ou non, je m'en fous. Tant qu'il est là et qu'il m'apporte aide et soutient, ça me va mais s'il venait à disparaitre à cause de tensions internes, alors tant pis. Lev aura mal géré son coup. Je n'aurais qu'à trouver d'autres partenaires.
Son analyse ne laissait transparaitre aucune émotion ; elle n'avait pas à en avoir après tout. Ainsi allait la vie. Si elle appréciait et respectait profondément Lev pour le maitre qu'il avait été, elle faisait cependant une nette différence entre l'homme et son groupe. Elle se considérait comme son associée, bien plus que celle du groupe et c'était pour ça qu'elle se pliait au petit jeu de jouer les membres. Mais en vérité, sa loyauté n'allait à qu'un seul être : Oma-Oma.
Reportant ses yeux bleus sur Vox, la jeune femme reprit la parole :
- Pourquoi leur devenir t'inquiète tant que ça ?
Le connaissant, il devait voir un intérêt dans ce groupe qui devait être bien différent de celui qu'elle percevait. Maintenant, elle voulait savoir ce qu'il voyait.
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Sam 11 Nov - 14:36
Parlons affaire
M'installant avec un verre de pastis pour moi-même, j'écoute ses réponses. Mon regard passe parfois sur elle, parfois sur la couleur anisé de mon breuvage, parfois vers la fenêtre, à la fois tendus et détendus de recevoir chez moi. Enfin chez lui... Chez ...Nous?.... Je ne saurais dire en fait si c'est ça qui me titille l'instinct de survie ou simplement de ne pas me déplacer comme par mes habitudes.
"Je ne dirais pas que je suis inquiet de leur futur. Comme toute chose, il est voué à naitre, fleurir, se flétrir et disparaitre. La seule variable est le temps que ça prends et l'impacte de chaque stade."
Je bois une gorgée avant de poursuivre.
"Même si tu ne te considères que comme associé, tu ne peux pas réfuter le fait que beaucoup te connaissent et que certains te considère comme un membre d'importance vu ton statu de mafieuse. Je pense que, comme moi, tu as du remarqué que le groupe n'est plus ce qu'il était et que si certains tombent, ils vendront tout le monde, même les "associés", pour la moindre remise de peine. Je trouve cela assez contraignant. Comme toi, j'ai rejoins le groupe pour mes propres raisons et cela m’ennuie si celui-ci risque de finir par me porter davantage de préjudice que d'intérêt. Pour être honnête, bien que je le sois théoriquement tout le temps, je suis partagé entre l'idée de m'y investir davantage pour le faire croitre encore ou observer de loin les conséquences de sa chute."
Je tapotais de mon doigts sur le verre avant de rajouter :
"Parlant d'associé, quels son tes critères?"
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Mar 14 Nov - 15:31
Parlons affaire
Continuant à faire jouer le liquide dans son verre, elle prit un temps avant de répondre, écoutant attentivement les arguments de Vox.
- C'est vrai qu'il y en a qui me connaissent, même ne serait-ce que de vue. Pour autant, quand bien même mon statut de... femme d'affaires est un secret de polichinelle dans le milieu, il n'est pas connu du grand public. Il n'y a que 4 Victinis qui sont au courant, toi y comprit. Le chef et les informateurs en somme. Les autres ne savent rien sauf s'il y a des informateurs dont je n'ai pas connaissance... Et quand bien même ils sauraient, il n'y a aucune preuve. Sans preuve, un suspect reste innocent. Et, pour le moment, l'état ne peut pas mettre une innocente derrière les barreaux.
Dire que Zaya était innocente, c'était comme dire d'une succube qu'elle était chaste : un non-sens tellement gros qu'il était ridicule de le mentionner. Cependant, la justice avait encore cours ici bas ainsi, pour le moment, elle ne craignait rien ; elle était bien trop précautionneuse et prudente pour ça.
- Et quand bien même l'île deviendrait trop dangereuse pour moi, j'aurais toujours Oma-Oma pour disparaitre.
Il était de notoriété publique que les omahiens étaient incroyablement soudés les uns avec les autres. Ainsi, si quelqu'un avait un problème, ce problème s'étendait à tout le district et inversement. Cette règle s'appliquait également à la blonde qui était une enfant du terroir. De plus, de part l'aide, la stabilité et la sécurité qu'elle offrait aux habitants avec la Milice, ces derniers l'appréciaient d'autant plus. Elle prenait soin des siens et ils le lui rendaient bien de ce fait, si un jour elle avait le moindre soucis, elle savait avec une certitude inébranlable que sa meilleure cachette serait au sein de son district.
Ceci dit, la jeune femme était étonnée de la réserve qu'émettait son ami. Étonnée de l'entendre hésiter. Ce n'était pas vraiment son genre. Prenant une gorgée, elle lui répondit après quelques secondes de réflexion :
- Je ne pense pas que j'ai des critères à proprement parler... Tout dépend de ce que la personne ou l'organisme peut m'apporter et inversement. Si le deal est intéressant, je prends. Si ce n'est pas le cas, je le laisse pour quelqu'un d'autre.
Ses réponses pouvaient paraitre assez crues, égoïstes et dénuées de sentiments.
C'était le cas : business is business.
Personne ne survivait avec des bons sentiments ou alors, il fallait savoir les camoufler savamment.
- Quoiqu'il en soit, pour en revenir aux Victinis, il est plus intéressant de s'investir auprès de Lev que de ses membres. Ça te permettra d'obtenir des choses pertinentes et de fuir plus aisément si ça sent le roussi... Et puis sinon, tu as toujours l'option de prendre toi-même les rênes du bateau et de le remodeler à ta convenance...
Non pas qu'elle tentait de pousser Vox à usurper la place de Lev mais il fallait être réaliste. C'était clairement une option à prendre en compte si le brun décidait de rester et de s'élever au sein du groupe.
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Sam 18 Nov - 17:43
Parlons affaire
J'esquisse un sourire quand elle parle d'innocence. Sur ce plateau là, on jouait le même jeu elle et moi : pas de preuve, pas de condamnation ~
Je reprends une gorgée de mon verre en écoutant le reste de ses réponses, classant dans ma tête déjà, silencieusement, ce que "ça" pourrait rapporter à Zaya et au contraire ce qui pourrait l'en éloigner avant de rapporter mon regard sur elle à son idée et de la balayer d'un geste de la main :
"Allons, ne dit pas de sottise. Je suis une ombre, un personnage de second plan, un simple figurant. Je n'ai pas ma place à la tête d'un groupe et si je le remodelais à ma façon, cela deviendrait encore plus le chaos. Si jamais je devais élargir ma place dans cette faction, ce serais pour, au maximum, une troisième marche, ...."
Je me gratte la barbichette, pensivement, avant de rajouter.
".... Ou parce que j'ai une idée derrière la tête. Parlant de tête, j'ai cru entendre dire que tu avais croiser Lev dernièrement ? "
Ce n'est pas parce que j'étais plus ou moins "enchaîné" ici physiquement que je n’avais pas les oreilles qui trainés partout. Je pose mon verre sur le petit repose verre en carton afin de ne pas salir la table basse puis me lève et contourne le canapé pour venir lui glisser à l'oreille, comme le rappel d'un secret entre nous :
"Je tiens à la promesse que je t'ai faites. Si durant cette infiltration les choses tournent mal, je pourrais me sacrifier pour ta fuite, mais surement pas pour la leur. Ne l’oubli pas."
Après tout, j'avais prévenu Lexy sur ce genre d'opération. Si mes alertes n'avaient pas été prises en compte, je le prendrais très mal. Vraiment très mal surtout vu tout ce que ça pouvait coûté non seulement à moi et Zaya, mais aussi et surtout à Vitaly. Et on ignore souvent à quel point je peux être mauvais quand je me sens blessé tellement cela arrive rarement.
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Sam 18 Nov - 22:48
Parlons affaire
Zaya laissa un petit sourire amusé étirer ses lèvres avant de lui répondre du tac-au-tac :
- Je sais bien que tu préfères le confort des ombres mais je ne fais qu'offrir des pistes de réflexions... Et puis, on ne sait jamais de quoi l'avenir est fait.
Son regard habituellement de glace s'était mué en un pétillant air amusé, comme celui d'un chat jouant avec une souris. Non pas qu'elle percevait Vox comme une proie, loin de là, mais elle aimait bien le taquiner par moment.
A moins qu'elle ne lui souffle quelques idées qui germeraient bien plus tard ?... Difficile à dire. Difficile à décrypter.
Terminant son verre, elle le posa à son tour sur la table, imitant son hôte avec la petite rondelle de liège. En l'entendant mentionner Lev, elle reprit son air un peu plus sérieux tout en se renfonçant dans le canapé.
- Oui. Je voulais avoir plus d'informations sur les paradoxes vu ce qu'il se prépare et vu qu'il semblait en savoir bien plus que tout les autres Victinis. On a aussi reparlé de notre association et un peu du passé aussi.
A la mention du passé, une étincelle de nostalgie tendre teinta son regard et ses traits. Elle ne pouvait nier qu'elle aimait bien repenser à ces moments là... Pour autant, elle ne céda pas à l'envie d'y replonger. Elle n'avait d'ailleurs pas mentionné son nouveau poste. Elle ne voulait pas que ça se sache pour le moment. D'une part car ça serait bien plus amusant quand il le découvrirait et d'autre part car garder une part de mystère là dessus permettrait de faire venir des dresseurs curieux dans son district.
Après tout, quoi de plus intriguant qu'un nouveau champion dont personne ne savait rien ?
Et qui dit dresseurs, dit dépenses, dit argent et donc travail pour les locaux.
Elle devait au moins bien ça à ses pairs.
L'insulaire ne bougea pas quand elle vit Vox se rapprocher. Elle le laissa faire et, l'entendant parler, son regard devint soudainement terriblement sérieux. D'un geste lent, presque nonchalant, elle leva le bras, enroulant ses doigts autour de sa cravate avant de la tirer vers le bas, brusquement. Puis, avant lenteur, elle porta à son tour ses lèvres à son oreille.
- Si tu te sacrifies, je risque de le prendre très, très mal... N'y pense même pas. On survit ensemble ou on coule ensemble.
Son murmure était sec, cinglant comme un coup de fouet. En vérité, elle était aussi sérieuse qu’inquiète pour le brun. Elle savait parfaitement qu'il était capable de mettre à exécution ses paroles mais elle refusait qu'il meure pour elle. Personne ne devait mourir pour elle et elle ne laisserait personne le faire.
De sa main libre, elle tira un peu plus sur la cravate, forçant l'homme à se pencher plus que de raison vers elle. Elle était en vérité plus en colère qu'elle ne voulait bien l'admettre suite à la mention du suicide potentiel de son ami.
- Sache que je compte bien faire en sorte que tout le monde fuit. Je ne laisserais pas l'organisation poser un doigt sur les Victinis...
N'allez pas croire qu'elle s'en faisait pour ses trois compères de mission.
Elle s'en foutait pas mal.
En revanche, s'ils tombaient aux mains de l'ennemi, là, ça serait sacrément problématique. Pour Oma-Oma. Pour Vox. Pour Lev. Pour elle.
Il était hors de question qu'elle les mette en danger.
Après tout, ils avaient eue sa parole et elle ne revenait jamais sur sa parole.
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Dim 19 Nov - 11:35
Parlons affaire
Je ne cherchais pas à en savoir davantage sur la rencontre entre Lev et Zaya, ce n'était pas vraiment dans mes habitudes de gratter du côté de la mafieuse. Moins j'en savais sur elle, moins je risquais de la faire tomber. Néanmoins c'était toujours intéressant de suivre les mouvement de Lev comme on observe une partie d'échec.
J'eus le réflexe de me tenir au dossier du canapé quand elle tira sur la cravate brusquement. Maigrichon comme je suis, même Zaya pourrait me faire passer par dessus le mobilier. Ces paroles me firent esquisser un sourire : Nous nous étions mal compris. Me détendant, je croisais les bras sur le dossier, lui laissant ma cravate dans ses mains même si je me disais que j'allais surement devoir la changer après. Forcé dessus va forcément la froisser... Quand même, les gens ne se rendent pas compte de tout ce qu'ils salissent, déchirent, froissent.... C'est affolant cette ignorance humaine.
"Sacrifier ma liberté ne me posera pas de problème, mais rassures-toi, je sera bien moins enclin à sacrifier ma vie. J'ai de bonne raison de me battre pour elle."
Une seule raison en fait... Une flamboyante, chaude, pétillante raison...
Je vient glisser ma main sur celle qui tenait ma cravate avec douceur avant de rajouter :
"Ce que je prendrais très, très mal personnellement, c'est que tu risque ta liberté et ta vie a veiller sur ce groupe. Il est très différent de sauver une vie que d'en sauver cinq. Chaque personne de plus, c'est des risques en plus et tu le sais. Si le problème est simplement le risque qu'ils se retrouvent entre les mains des Trismégis... Alors assurons-nous simplement qu'ils ne puissent jamais leurs lâcher le moindre mots."
Je pose mon regard dans ces prunelles, mon visage très proche du sien:
"Je pourrais faire l'effort pour Lexy, à la limite, mais le sacrifice des autres ne me posera aucun remords. Si j'ai un choix à faire, ce sera celui-ci. Toi avant eux."
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Lun 20 Nov - 10:49
A la brigade de haute uthyrgram
"Merci." souffla t il.
"Oui.' confirma-t-il sans baisser le ton de son côté.
"ça te dirais un café quelque part?J'aurai dû finir à pas d'heure ce soir avec encore un dossier aussi futile que compliqué à remplir. Je viendrai demain plus tot pour le faire." proposa t il simplement sans se soucier de demander a un supérieur. ça n'étonnerait absolument personne de le voir se casser avec une très jolie fille. Puis, c'était à peine vingt minute avant la fermeture officielle du poste. Dahlia avait bien géré le timing de sa conférence. Finalement, leurs heures, tous les flics ici ou presque les faisaient très largement.
"Je pense que je connais quelqu'un aussi qu'il t'interessera de rencontrer. Il est a basse uthyrgram, mais je sens que l'Alakazam est pas loin. Il voudra peut etre nous déposer". Il senti aussitôt une réponse mentale de Midivel, l'Alakazam qu'il avait rencontré à l'observatoire. La créature n'était pas tout le temps avec lui, mais se manifestait en générale quand elle était dans le coin.
"Si ça te va, on pourra y être relativement rapidement."
Une fois dehors, le vent le détendit aussitôt.
"Ecoute, je suis désolé j'étais pressé de sortir. Mais, j'ai senti tout à l'heure que tu avais quelque chose à dire de plus qu'une banalité sur si ça allait bien dans ta vie. Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit ou si je peux faire quelque-chose pour toi. N'hésite pas d'accord. Surtout pas." Son instinct était arrivé avec 5 minutes de retard. Mais finalement il avait capté l'hésitation de la jeune fille et s'occuper d'autre chose que de s'enfoncer dans des ombres le soulageait.
Arrivée au pied de l'immeuble
Après le voyage, Vitaly conduisit Dahlia dans une petite rue. Son immeuble était juste là et il y avait des bars à quelques mètres.
"Je passe une 1 min chez moi, je vais poser des affaires." et aussi, il lui semblait que Vox devait être là cette après midi. Il pourrait lui proposer de vive voix de les rejoindre au bar. Vox et les textos, c'était pas trop ça.
Le blond se figea en levant la tête. Les rideaux. Le coursier ne les fermait ainsi pour se protéger du soleil... mais il y en a avait trop peu aujourd'hui. Il les fermait aussi de la sorte au tout début de lorsqu'ils étaient tous les deux dans l'appartement.
Ce n'était pas du tout dans son habitude d'amener qui que ce soit chez eux. Il aurait pu avoir un rendez vous de travail pour bouger ainsi les rideau. Enfin, le brun savait que Vitaly devait travailler tard aujourd'hui mais... ça aurait été le cas, il l'aurait prévenu sans préciser de qu'il s'agissait non? Rien que pour que le flic ne rentre pas plus tôt comme maintenant et risque de compromettre le deal.
Un... "client" aurait trouvé l'adresse de Vox et aurait déboulé à l'improviste? Connaissant les fréquentations du coursier... le blond attrappa une pokéball et s'élança dans les escaliers.
"ça peut etre dangereux." prévint il Dahlia en la voyant réagir. les escalier monté quatres a quatres, il pila sur le palier, s'approcha tout doucement de sa porte d'entrée, l'oreille tendue. Aucun son.
Il ouvrit doucement la porte.
Putain.
Zaya.
Si aisé de la reconnaitre, ça aurait pu être tout, tout sauf elle.
Sa vision s'embrouilla.
Vox était lové sur l'accoudoir du canapé, il ne voyait pas son visage. Juste la chevelure blonde de Zaya de dos, elle tirait sa cravate et l'embrassait.
"V..."
Il ressorti et plaqua son dos au mur, sourd, entrain de s'effondrer de l'intérieur. Le blond essuya ses larmes d'un geste malhabile, à croire qu'il ne savait plus où était ses yeux. Le mouvement de redecoller du mur fut douloureux, comme si sa peau y avait fusionné. "Désolé" murmura t il à Dahlia, qui avait sans doute vu la même chose que lui, avant de repartir vers les escaliers.
"Merci." souffla t il.
"Oui.' confirma-t-il sans baisser le ton de son côté.
"ça te dirais un café quelque part?J'aurai dû finir à pas d'heure ce soir avec encore un dossier aussi futile que compliqué à remplir. Je viendrai demain plus tot pour le faire." proposa t il simplement sans se soucier de demander a un supérieur. ça n'étonnerait absolument personne de le voir se casser avec une très jolie fille. Puis, c'était à peine vingt minute avant la fermeture officielle du poste. Dahlia avait bien géré le timing de sa conférence. Finalement, leurs heures, tous les flics ici ou presque les faisaient très largement.
"Je pense que je connais quelqu'un aussi qu'il t'interessera de rencontrer. Il est a basse uthyrgram, mais je sens que l'Alakazam est pas loin. Il voudra peut etre nous déposer". Il senti aussitôt une réponse mentale de Midivel, l'Alakazam qu'il avait rencontré à l'observatoire. La créature n'était pas tout le temps avec lui, mais se manifestait en générale quand elle était dans le coin.
"Si ça te va, on pourra y être relativement rapidement."
Une fois dehors, le vent le détendit aussitôt.
"Ecoute, je suis désolé j'étais pressé de sortir. Mais, j'ai senti tout à l'heure que tu avais quelque chose à dire de plus qu'une banalité sur si ça allait bien dans ta vie. Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit ou si je peux faire quelque-chose pour toi. N'hésite pas d'accord. Surtout pas." Son instinct était arrivé avec 5 minutes de retard. Mais finalement il avait capté l'hésitation de la jeune fille et s'occuper d'autre chose que de s'enfoncer dans des ombres le soulageait.
***
Arrivée au pied de l'immeuble
Après le voyage, Vitaly conduisit Dahlia dans une petite rue. Son immeuble était juste là et il y avait des bars à quelques mètres.
"Je passe une 1 min chez moi, je vais poser des affaires." et aussi, il lui semblait que Vox devait être là cette après midi. Il pourrait lui proposer de vive voix de les rejoindre au bar. Vox et les textos, c'était pas trop ça.
Le blond se figea en levant la tête. Les rideaux. Le coursier ne les fermait ainsi pour se protéger du soleil... mais il y en a avait trop peu aujourd'hui. Il les fermait aussi de la sorte au tout début de lorsqu'ils étaient tous les deux dans l'appartement.
Ce n'était pas du tout dans son habitude d'amener qui que ce soit chez eux. Il aurait pu avoir un rendez vous de travail pour bouger ainsi les rideau. Enfin, le brun savait que Vitaly devait travailler tard aujourd'hui mais... ça aurait été le cas, il l'aurait prévenu sans préciser de qu'il s'agissait non? Rien que pour que le flic ne rentre pas plus tôt comme maintenant et risque de compromettre le deal.
Un... "client" aurait trouvé l'adresse de Vox et aurait déboulé à l'improviste? Connaissant les fréquentations du coursier... le blond attrappa une pokéball et s'élança dans les escaliers.
"ça peut etre dangereux." prévint il Dahlia en la voyant réagir. les escalier monté quatres a quatres, il pila sur le palier, s'approcha tout doucement de sa porte d'entrée, l'oreille tendue. Aucun son.
Il ouvrit doucement la porte.
Putain.
Zaya.
Si aisé de la reconnaitre, ça aurait pu être tout, tout sauf elle.
Sa vision s'embrouilla.
Vox était lové sur l'accoudoir du canapé, il ne voyait pas son visage. Juste la chevelure blonde de Zaya de dos, elle tirait sa cravate et l'embrassait.
"V..."
Il ressorti et plaqua son dos au mur, sourd, entrain de s'effondrer de l'intérieur. Le blond essuya ses larmes d'un geste malhabile, à croire qu'il ne savait plus où était ses yeux. Le mouvement de redecoller du mur fut douloureux, comme si sa peau y avait fusionné. "Désolé" murmura t il à Dahlia, qui avait sans doute vu la même chose que lui, avant de repartir vers les escaliers.
XP :
3605
Dahlia Anton
Comportementaliste Pokémon
Lun 20 Nov - 22:38
Dahlia Anton
I am maybe a flower, but I have thorn!
Note: FtVitalyZaya et Vox
Parlons affaire(Imprévue)
A la brigade de haute uthyrgram
Des remerciements toujours apprécié, on passe au buffet, le temps de faire la causette d’après conférence. Du moins, ce qu’il était supposé en être. Le décès de son apprentie le touche beaucoup et il m’ouvre la porte à discuté de ce qui semble me tracasser, la raison pour laquelle je n’ai toujours pas rejoint l’organisation. De un, parce mes valeurs ne sont pas les même et de deux, la plus profonde, un problème plus personnelle que je n’ai pourtant pas mentionné. Devant un flic, à l’occurrence, Vitaly, il a su lire entre les lignes de mon malaise.
Sans trop savoir ce qu’il en découlerait j’ai accepté de le suivre prendre un café à l’extérieur. Peut-être que je pourrais lui en parler? Est-ce que je peux faire vraiment faire confiance et me livrer comme ça? Surement qu’il m’indiquera le mieux à faire et quoi éviter pour faire ma plainte et poursuivre mon paternel. Surtout qu’il insiste beaucoup en disant que je ne dois pas hésité s’il peut faire quelque chose pour moi.
-Peut-être… qu’il y a bien quelque chose…
Arrivée au pied de l'immeuble
Vitaly veut monte une minute le temps de déposer ses choses, mais je le suis dans la cage de l’escalier, lui fait pas de mon appréhension à me confier dans un bar ou un café, les murs ont des oreilles.
-Quitte à te dire ce qui me tracasse, je préfère que l’on reste chez toi pour le café. Je serre des poings, toujours un peu nerveuse à révéler la véritable relation entre moi et Antoine Anton. Le dirigeant de la compagnie de haute technologie de la Haute-Uthyrgham, celle qui fournis et profite le plus à l’organisation.
Cependant, je n’aurais peut-être pas le temps de dire quoique ce soit. Le blond à l’air suspicieux. Je ne sais pas trop de quel danger, il parle. Ce n’est pas supposé être chez lui? Par réflexe, je met quand même une main sur l’une de mes pokéball, sait-on jamais.
Vitaly ouvre doucement la porte, je regarde par le côté. J’entrevois un homme et une femme très près l’un de l’autre.
L’homme, je ne le connais pas et la femme… Mes yeux affichent la surprise, Zaya à Bedwyr? Je dois être dans un monde parallèle… Je ne l’aurais jamais cru quitté Oma-Oma pour un ‘’rendez-vous galant’’ selon ses termes!
L’autre surprise, la réaction du blond! Il ressortie aussitôt de l’appartement et s’excuse les larmes aux yeux avant de foncé vers les escaliers. Un coup d’œil incertain vers les deux à l’intérieur avant de finalement suivre le Blond.
-Vitaly! Attend!
Ça aurait été étrange de rester et quand j’eu finalement de le rattraper juste avant qu’il ne sorte de l’immeuble.
-Je crois que c’est plus toi qui en a gros sur le cœur que moi. Tu m’explique?
Loin de moi de fouiner dans la vie des gens, mais avec ce que je viens de voir, j’ai droit à un minimum d’explication.
Début du rp avant de s'incruster
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Invité
Invité
Mer 22 Nov - 13:40
Parlons affaire
La mahinaise laissa échapper un petit soupire nasal de soulagement en l'entendant rectifier son tir.
- Je préfère ça.
Bon, au moins, elle savait de source sure qu'il n'avait pas de velléités suicidaires et rien que ça, ça lui mettait du baume au cœur. Elle se demanda cependant ce qui pouvait bien le motiver autant... Bah ! S'il voulait ne parler, il en parlerait, elle n'avait aucun doute là dessus.
Sentant son contact avec sa main, elle ne bougea pas, le laissant faire docilement. Après tout, elle n'avait rien contre ce genre de geste tendre et puis, ils n'en étaient plus ça prêt. Un léger rire amusé s'échappa d'entre ses lèvres alors qu'elle cessait de tirer sur le morceau de tissu monochromatique se trouvant entre ses doigts.
- C'est gentil de t'inquiéter pour moi. Mais je ne mourrais pas. Ni pour eux, ni pour personne. Ton idée est séduisante...
Retirant avec douceur sa main de la sienne, Zaya leva le bras, allant lui caresser gentiment les cheveux d'un air maternel.
- Tu es un tendre Vox, c'est mignon à voir...
Elle le pensait véritablement et ne disait pas ça ni pour le vexer, ni pour se moquer. Dans leur domaine professionnel, c'était rare ce genre de lien et de façon de faire. Il fallait donc savoir en profiter quand ça arrivait.
Bruits de clef, bruit de porte.
Quelqu'un venait de rentrer.
La surprise se peignit sur les traits de l'insulaire : Vox ne vivait pas seul ?
Vu sa paranoïa naturelle ?
Qui... ?
Et là, elle se rappela leur discussion.
Elle se rappela de son rencard, ce type qui l'avait fait venir involontairement jusqu'à Mahina uniquement pour parler histoire de cœur.
Une étincelle violente et pétillante tinta les yeux bleus de la jeune femme, suivit de concert par un large sourire espiègle, digne d'un enfant facétieux, qui fendit son visage en deux. Va falloir qu'on cause ! C'était ce que criait son visage. Ça sentait le potin à plein nez et elle n'allait surement pas le laisser s'en tirer sans aucune explication !
Un petit bruit sourd, comme si l'on poussait quelqu'un contre un mur puis des pas précipités s'éloignant.
Hein ?
C'était quoi ça ?!
Mue par la curiosité, la blonde se contorsionna pour regarder en direction de l'entrée. Elle n'y vit qu'un nuage de cheveux sombres se retournant et une voix familière lui arriva aux oreilles.
Dahlia ? Comment ça Dahlia ? Qu'est ce qu'elle foutait là ?
Par contre, elle venait de lui donner une information précieuse sur l'auteur des bruits de pas.
Vitaly Osborne.
Encore.
Elle avait donc bien flairer le truc. Ce foutu flic était le rencard de Vox, elle en aurait mis sa main à couper. Et c'était suffisamment sérieux pour qu'ils vivent ensembles de toutes évidences...
Son air d'enfant avait cédé la place à un visage fermé, prémisse des débuts d'une colère certaine. Elle n'était pas en colère contre son ami à proprement parler ; il pouvait gérer sa vie sentimentale comme il l'entendait, tant qu'il était heureux, c'était tout ce qu'elle lui souhaitait.
Cependant, là, c'était différent.
Elle était à Bedwyr, loin des siens et de leur protection et avait face à elle, un flic qu'elle avait passé à tabac. S'il le voulait, il pouvait parfaitement la coffrer pour ce qu'elle lui avait fait, là, maintenant.
S'extirpant du canapé, se levant avec lenteur, elle posa sur l'informateur ses billes froides :
- Explique toi.
Invité
Invité
Mer 22 Nov - 14:24
Parlons affaire
Un tendre... Non, pas vraiment. Je tris simplement ce qui m'est utile ou pas et agit au mieux pour garder ce qui me semble important pour le futur, nuance. Et Zaya l'est. Vitaly aussi.
Je relevais d'instinct le regard vers l'horloge en entendant la porte, me demandant ce qu'il avait pu arriver pour qu'il rentre si tôt sans pour autant en être inquiet. Ici on est chez moi et je sais Zaya assez respectueuse pour éviter un bain de sang sur mon sol si propre. Non, l'inquiétude vient plus tard, aux pas qui précipités qui s'éloignent.... Pourquoi est-il reparti ? Pour nous laisser finir ? Mais pourquoi aussi... Rapidement ?...
Je m'étais redressé avant de me tendre en entendant quelqu'un lui demander d'attendre. Vitaly avait ramené quelqu'un ici ?! Une femme en plus ?! J'en fronçais les sourcils malgré moi avant d'entendre la question de Zaya. Mon regard se posa sur elle et si, normalement, j'aurais surement chercher plutôt a l'apaiser ou la rassurer, là autre chose me semblait bien plus important alors je répondais d'une façon assez sèche :
"Plus tard."
La cravate froissé pendu à mon cou, je me dirigeais vers les escaliers rapidement pour y voir la fuite du blond qui ne semblait pas bien du tout et de... Anton ? La petite Anton ? Une trismegis...
Descendant les marches rapidement pour les rejoindre, passant par dessus les rembarres pour aller plus vite (merci l'agilité qui compense mon manque de force..), je les rejoignis alors qu'ils s'étaient arrêtés devant la porte. Voir le visage humide me choqua sur place.
"Vitaly...?"
Est-ce qu'il... pleurait ? Après la surprise, la colère dans mon regard qui se posa sur la jeune femme que j'attrapais vivement par le col.
"Qu'est-ce que tu lui a fait ?!"
Invité
Invité
Ven 24 Nov - 4:32
Il avait retenu dans un coin de son esprit que Dahlia avait quelque-chose a demander. Mais, ce fait avait été momentanément balayé.
Les yeux luisants, il se retourna vers la jeune fille qui l'avait suivit en bas de l'escalier.
-Je crois que c’est plus toi qui en a gros sur le cœur que moi. Tu m’explique?
- Je ...
Les mots ne suffisaient pas à résumer la situation. Tout était trop faible, trop inexact.
"C'est mon petit ami." finit il par dire. "enfin... c'était je suppose." Il tendit la main vers la porte de l'immeuble. Son mouvement fut empressé par le bruit léger et précipités des pas de Vox dans les escaliers. Il serra les dents en l'entenant l'appeler. Puis... il mit un temps fou a réagir. Un temps si long que le brun eut le temps d'atteindre son but et sauter littéralement à la gorge de Dahlia. Choqué il fondit sur eux pour s'interposer, poussant délicatement la brune de son bras mit en arrière et un peu plus fermement le frêle coursier. A peine.
Il avait le coeur brisé. Il aurait juste voulu se réconforter dans les bras de Vox.
Ceux là même qui tenaient chacun l organe en question cisaillé en deux.
Une moitié car il le trompait
L autre car il pouvait être violent.
L idée de protecteur à la place de violent ne lui traversa pas l'esprit. Car en l occurrence, c était lui qui l avait trahi et Dahlia qui restait le soutenir alors qu au vu de cette scène, elle aurait pu juste partir.
Dahlia juste dans son dos, Vitaly avait étiré son bras sur le coté en attitude de défense, il fixa Vox sans comprendre.
Il eut un flash en l'imaginant avec Zaya...
Ce couple de l'enfer.
Après tout... c'était sa faute à lui, de n'avoir rien vu. Mais qu'est ce que c'était douloureux d'être obligé de cesser de se voiler la réalité. Son amoureux était dangereux.
Le "Qu'est-ce que tu lui a fait ?!" finit par impacter son cerveau.
"Mais, de quoi tu parles?"
L'information le gagna lentement. Vox partait du principe qu'il pleurait déjà avant de rentrer dans l'appartement? Il n'avait pas vu que Vitaly l'avait vu avec Zaya dans le canapé. Il posa les yeux sur sa cravate qui n'etait plus parfaitement positionnée. Un éclat furieux électrisa ses iris.
"Mais c'est toi. Je t'ai vu!" il serra les dents. "Je vous ai vu. Tu aurais pu me dire... que tu préférais les femmes, ou que tu préférais Zaya! Non mais c'est quoi ton problème sérieux! Vu comment tu es jaloux, j'aurai pas pensé que tu me tromperais. C'est pas en moi que tu n'as pas confiance, c'est en toi!!" fulmina t il.
Le couriser préférait quelqu'un d'autre... et c'était Zaya.
Il prétendait tenir a lui, être heureux dans ses bras et il se retrouvait avec une fille qui a voulu sa mort. Pourquoi il tombait sur des tarés. Il esquissa un mouvement, s'appretant a signifier à Dahlia qu'elle pouvait rejoindre la porte de l'immeuble, il la suivrait.
Les yeux luisants, il se retourna vers la jeune fille qui l'avait suivit en bas de l'escalier.
-Je crois que c’est plus toi qui en a gros sur le cœur que moi. Tu m’explique?
- Je ...
Les mots ne suffisaient pas à résumer la situation. Tout était trop faible, trop inexact.
"C'est mon petit ami." finit il par dire. "enfin... c'était je suppose." Il tendit la main vers la porte de l'immeuble. Son mouvement fut empressé par le bruit léger et précipités des pas de Vox dans les escaliers. Il serra les dents en l'entenant l'appeler. Puis... il mit un temps fou a réagir. Un temps si long que le brun eut le temps d'atteindre son but et sauter littéralement à la gorge de Dahlia. Choqué il fondit sur eux pour s'interposer, poussant délicatement la brune de son bras mit en arrière et un peu plus fermement le frêle coursier. A peine.
Il avait le coeur brisé. Il aurait juste voulu se réconforter dans les bras de Vox.
Ceux là même qui tenaient chacun l organe en question cisaillé en deux.
Une moitié car il le trompait
L autre car il pouvait être violent.
L idée de protecteur à la place de violent ne lui traversa pas l'esprit. Car en l occurrence, c était lui qui l avait trahi et Dahlia qui restait le soutenir alors qu au vu de cette scène, elle aurait pu juste partir.
Dahlia juste dans son dos, Vitaly avait étiré son bras sur le coté en attitude de défense, il fixa Vox sans comprendre.
Il eut un flash en l'imaginant avec Zaya...
Ce couple de l'enfer.
Après tout... c'était sa faute à lui, de n'avoir rien vu. Mais qu'est ce que c'était douloureux d'être obligé de cesser de se voiler la réalité. Son amoureux était dangereux.
Le "Qu'est-ce que tu lui a fait ?!" finit par impacter son cerveau.
"Mais, de quoi tu parles?"
L'information le gagna lentement. Vox partait du principe qu'il pleurait déjà avant de rentrer dans l'appartement? Il n'avait pas vu que Vitaly l'avait vu avec Zaya dans le canapé. Il posa les yeux sur sa cravate qui n'etait plus parfaitement positionnée. Un éclat furieux électrisa ses iris.
"Mais c'est toi. Je t'ai vu!" il serra les dents. "Je vous ai vu. Tu aurais pu me dire... que tu préférais les femmes, ou que tu préférais Zaya! Non mais c'est quoi ton problème sérieux! Vu comment tu es jaloux, j'aurai pas pensé que tu me tromperais. C'est pas en moi que tu n'as pas confiance, c'est en toi!!" fulmina t il.
Le couriser préférait quelqu'un d'autre... et c'était Zaya.
Il prétendait tenir a lui, être heureux dans ses bras et il se retrouvait avec une fille qui a voulu sa mort. Pourquoi il tombait sur des tarés. Il esquissa un mouvement, s'appretant a signifier à Dahlia qu'elle pouvait rejoindre la porte de l'immeuble, il la suivrait.
XP :
3605
Dahlia Anton
Comportementaliste Pokémon
Sam 25 Nov - 2:11
Dahlia Anton
I am maybe a flower, but I have thorn!
Note: FtVitalyZaya et Vox
Parlons affaire(Imprévue)
Je rattrape Vitaly en bas des escaliers, il a les yeux humides, il a pleuré et il pleure encore. Ça me fait étrange de voir un homme pleurer… Je me suis si souvent fait dire que pleurer c’est pour les faibles, mon père me le disait, ma mère de même et je crois bien que mon frère Ilan dit la même chose à ses fils. Moi-même, je ne pleure pas ou presque… Alors c’est qu’il doit vraiment avoir mal. Pas une blessure physique, mais bien psychique.
Sa première tentative de dire quelque chose est un échec, difficile de mettre des mots sur ce genre de blessure. J’ai encore un peu de mal à mettre des mots sur les miennes. Finalement, une réponse qui ne s’est pas trop fait attendre non plus. Juste attend que je puisse afficher un air surpris, je ne l’imaginais pas ce de bord là, surtout avec les quelques petit ragots au poste. Juste attend avant que des pas se fassent entendre et que je me laisse surprendre par «l’ex» copain de Vitaly et de son geste contre moi.
-Mais c’est quoi ton problème!? Rétorquais-je en empoignant son poignet, malgré le peu de force que j’aie tout en gardant mon calme. Je ne comprenais absolument pas de quoi il voulait parler. Il y a clairement un malentendu et ça m’en prend plus quand même pour m’énerver. Je ne suis pas mon Léviator colérique! Qu’est-ce que j’aurais bien pu faire à Vitaly!? C’est lui qui l’a fait pleurer en le trompant! C’est d’ailleurs ce que le blond lui reproche, en s’interposant entre le lui et moi.
Il lui reproche assez fort pour que tout le bloc l’entende, le son porte tellement bien dans les portiques de logements. Le pire lieu pour discuter de truc privé et donc encore moins crier. L’intonation de sa voix change aussi lorsqu’il mentionne Zaya, à croire que c’est encore plus blessant que cela soit avec elle que n’importe quelle autre femme. Il doit y avoir un truc encore plus personnel derrière. Personnellement, ça ne change rien pour moi, Zaya fait bien ce qu’elle veut, c’est juste un peu triste que ça soit tombé sur Vitaly que je commence à bien apprécier.
Je fini par apposer une main pleine d’empathie sur l’épaule de Vitaly. Ça fait toujours mal de se faire trahir. C’est bien pour ça que je ne cherche pas de relation sérieuse, incapable de faire confiance à se point. C’est toujours rempli de complication.
-Allons-nous en, mais avant, est-ce que tu a des trucs à récupérer avant? Un autre endroit où aller?
Je lui offrirais le soutient dont il a besoin avant, une oreille pour écouter ses plaintes et une épaule pour pleurer, mais rien de plus.
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Invité
Invité
Jeu 7 Déc - 12:11
Parlons affaire
Zaya ne put retenir un haussement de sourcil sous la réponse sèche de Vox. Ce n'était pas dans ses habitudes de faire ainsi et c'était assez étonnant qu'il lui réponde de cette façon : signe indubitable qu'il était actuellement préoccupé voir même, carrément stressé. La jeune femme ne s'en formalisa pas et le laissa aller à la suite de Vitaly et Dahlia. Après une demi-seconde de réflexion, la mafieuse suivit à son tour, n'ayant pas spécialement envie de rester dans cet appartement froid et étant bien trop curieuse quand à ce qui pouvait ainsi tarauder son ami.
Marchant d'un pas tranquille dans les couloirs, la mahinaise se rendit compte que le petit trio s'était arrêté en bas d'un escalier et semblait parler. S'adossant au mur le plus proche des marches, elle n'eut même pas à tendre l'oreille pour attraper la conversation au vol ; ils faisaient suffisamment de bruit pour que tout le monde en profite. Sortant de sa poche un petit miroir de maquillage, elle l'orienta pour pouvoir observer par dessus son épaule les trois compères, restant ainsi parfaitement cachée derrière son mur. Son instinct lui disait que se joindre à la discussion maintenant n'était pas franchement une bonne idée. Observant Dahlia renvoyer chier Vox avec un petit sourire amusé aux lèvres, Zaya reporta son attention sur Vitaly qui, pleurant comme un enfant, reprochait à Vox son infidélité. Elle mit un temps avant de comprendre le quiproquo. L'angle du canapé. La proximité.
Ha merde.
C'était con en effet.
Ceci dit, tout ça n'était qu'un malheureux concours de circonstances et de mauvais angle de vue. Après tout, elle n'était pas venu pour fleurter et n'avait aucune intention de terminer dans un lit avec l'informateur. Elle avait d'autres affaires plus importantes que ça à traiter. Et puis, c'était assez naturel pour elle d'être proche physiquement des gens avec qui elle se sentait bien. Il n'y avait rien de sous-jacent, c'était juste sa façon d'être : elle était bien plus tactile et expressive avec les siens que son image publique pouvait le laisser penser.
Quoiqu'il en fut, pour le moment, la jeune femme resta à l'ombre de sa cachette, observant avec attention la suite des évènements, attendant de voir si c'était pertinent qu'elle intervienne ou non.
Invité
Invité
Jeu 7 Déc - 13:18
Parlons affaire
Si autant je connais le besoin de Vitaly de jouer les gentils héros, je prends assez mal qu'il s'interpose entre nous, protégeant ainsi celle qui l'a blésser et que mon regard de glace ne quitte pas. Mon problème, comme elle avait pu le mentionner, c'était elle, elle qui avait fait pleurer Vitaly !
Mon regard ne remonta dans celui de Vitaly qu'à ces mots... que je ne comprenais pas. Moi ? Vu ? Mais de quoi il parle ? Au fil de ses phrase, je pu former le puzzle de ses pensées mais une pièce me semblait manquante : Qu'est-ce qui lui a fait croire ça ? Juste parce que j'avais inviter Zaya pour le travail à la maison ?... C'est vrai que Vitaly n'avais jamais invité qui que se soit chez nous à ma connaissance... Peut être qu'il estime l'invitation comme quelque chose d'intime ? Est-ce que invité est donc trompé pour lui? Je ne le pensais pas si.... Sensible en ce qui concernait notre demeure.
Mon regard qui s'était un peu radoucit en comprenant la chose suivit son geste donné à l'autre avant de se refroidir à cette main poser sur son épaule. De quoi elle se mêle celle-là ? Je la fusille du regard en priant intérieurement pour que ça puisse lui donner une crise cardiaque avant de reposer mes prunelles sur Vitaly et répondre :
"Aucune de mes parties sexuelles, intimes ou sensuelles n'ont été croisé d'autres parties de ce genre chez qui que se soit d'autre depuis ton appel de ce soir là et que tu puisse penser le contraire est des plus blessant. Néanmoins si j'avais su que ramener du travail à l'appartenant serait vu comme une tromperie par toi, j'aurais fait en sorte que se soit plutôt moi qui me déplace même si c'est dernier temps, j'avais plutôt l'impression que tu avais besoin de ma présence."
Mon regard se repose sur Dahlia. Peut-être était-ce un autre point sur lequel je m'étais trompé. Peut-être n'avait-il pas besoin de moi... Peut-etre qu'il avait déjà elle pour tenir son deuil de son amie et protégée... Peut-être... Que ce n'était pas la première fois qu'il la ramenait elle et qu'il pensait que je n'était pas là?....
Je sers les dents avant de demander à mon tour.
"Pourquoi elle est là?"
Parce que si pour lui notre chez nous est si important et qu'elle l'a suivit ici... Alors est-ce que cela ne veut-il pas dire que de son point de vue, il me trompe délibérément?...
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