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Lun 16 Oct - 23:34
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
La situation catastrophique des Banlieues avait rapidement dérapé et débordé sur la Basse-Uthyrgham. Plutôt nombreux étaient les Pokémons Paradoxes qui commençaient à arriver depuis la Banlieue. Les Pokémons Paradoxes que Lev avait lâché pour simuler une attaque en avait attiré d’autres beaucoup moins sympathiques et enclins à rester sages et obéissants. Par ailleurs, pour ceux qui étaient supposés l’être et le rester, toute cette agitation les avait grandement perturbés et rendus… Presque aussi peu sympathiques que le groupe de Roue-de-Fer qui s’étaient invités dans la ville.
Que faisait donc l’Organisation ? Pourquoi n’intervenaient-ils pas pour le moment ? C’est sans doute la question que se posent de très nombreux civils, recroquevillés de peur chez eux, à l’abri… en tout cas pour l’instant. Car si les Roue-de-Fer s’attaquaient à tout ce qui se trouve sur leur paysage, il n’était pas exclu que des bâtiments finissent par être détruits.
Policiers, dresseurs invétérés et civils, tout le monde tente tant bien que mal de survivre et d’aider son prochain en combattant ces intrus aux intentions malveillantes.
Des petits incendies ont été déclarés à certains endroits à cause d’un Rampe-Ailes, des victimes sont à secourir, coincées quelque part, probablement blessées, derrière des décombres provoqués par un Epine-de-Fer… Bref, pas le temps de flâner et de pleurnicher ! Attention aux Roue-de-Fer qui affluent en grand nombre et risquent de renverser quelqu’un !
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Salomon Strueux
Fleuriste
Mar 17 Oct - 22:55
Les Portes du
Temps.
Temps.
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
J’étais chez Sūrya, aujourd’hui. Presque comme tous les soirs, oui, en effet~ J’étais de meilleure humeur, ces derniers temps. Ma vie semblait… étonnamment belle. Le vent avait tourné. J’étais dans une relation romantique saine (oui oui, c’est possible, même pour un Salomon Strueux), et aussi… chose dont je n’avais pas encore parlé à Sūrya, c’était que j’avais enfin retrouvé ma mère. Cela s’était mieux passé que prévu, même si… J’avais découvert que j’avais un petit-frère de huit ans. Demi-frère, du coup. Et qui me détestait. Il ne voulait pas partager sa Maman. Or, c’était la mienne en premier, désolé, sale gosse ! Faut partager~
Cette idylle avait cependant été brisée, cet après-midi. Mon bonheur ! Jamais on allait me le laisser. J’observais le grabuge par la fenêtre et devins pâle. Il allait falloir qu’on agisse. Je voulais rester caché dans le lit et attendre que ça se passe. Que l’Organisation bouge son cul, c’est pas à nous de gérer ça ! Mais Sūrya était Sūrya. Il avait un genre de syndrome du héros, peut-être. En tout cas, je crois que je l’admirais pour ça. Il était loin d’être un lâche peureux qui prenait la fuite comme moi. C’était pas plus mal. Il me tirait vers le haut.
Je m’étais rhabillé convenablement (oui, en effet, je n’étais pas trop habillé, à la base, on se demande pourquoi…) et avais libéré Peyotl dès que nous fûmes sortis. J’étais tendu. Mais bien décidé à garder un œil sur le policier, de peur qu’il soit en danger ne serait-ce qu’un court instant et que le bonheur qui commençait à naître dans ma vie ne me soit dérobé.
“Tu veux pas appeler des collègues, qu’ils servent à quelque chose, pour une fois ?” Oui, je parlais mal. “Vraiment, ça craint, on peut pas être partout, ça va pas le faire, on va tous y passer, m-merde…” Mon Cacturne me piqua dans les côtes, sûrement pour me réveiller de mon angoisse naissante. “Enfoiré… Va plutôt attaquer le moche plus loin, il s’embrouille avec un panneau, il fait peur aux filles !”
Peyotl était parti se battre contre un Roue-de-Fer, tout seul, qui faisait une fixette sur un panneau, justement, non loin de deux jeunes femmes qui étaient terrorisées, en hauteur sur des poubelles et n’osant pas trop bouger à cause de la bestiole mécanique.
“Tross va faire un truc, j’espère ? Ils sont forcément préparés à ce genre d’incident, les Militaires. On paye pas des impôts pour rien.” J’arrêtai mon regard sur un jeune homme de mon âge un peu plus loin. Un mec avec un Psykokwak. Puis à un autre endroit, un type avec une canne, d’environ quarante ans. Je ne savais pas trop si je devais leur faire signe pour qu’ils se rapprochent de nous. Bon, autant tenter : “Je leur propose de venir dans notre Team de cool kids ?” Et finalement, je leur fis de grands signes. C’est tout de suite plus rassurant d’avoir un Champion d’Arène à ses côtés, quand c’est l’Apocalypse.
Peyotl attaque un Roue-de-Fer en pleine embrouille avec un panneau.
En stock.
Cette idylle avait cependant été brisée, cet après-midi. Mon bonheur ! Jamais on allait me le laisser. J’observais le grabuge par la fenêtre et devins pâle. Il allait falloir qu’on agisse. Je voulais rester caché dans le lit et attendre que ça se passe. Que l’Organisation bouge son cul, c’est pas à nous de gérer ça ! Mais Sūrya était Sūrya. Il avait un genre de syndrome du héros, peut-être. En tout cas, je crois que je l’admirais pour ça. Il était loin d’être un lâche peureux qui prenait la fuite comme moi. C’était pas plus mal. Il me tirait vers le haut.
Je m’étais rhabillé convenablement (oui, en effet, je n’étais pas trop habillé, à la base, on se demande pourquoi…) et avais libéré Peyotl dès que nous fûmes sortis. J’étais tendu. Mais bien décidé à garder un œil sur le policier, de peur qu’il soit en danger ne serait-ce qu’un court instant et que le bonheur qui commençait à naître dans ma vie ne me soit dérobé.
“Tu veux pas appeler des collègues, qu’ils servent à quelque chose, pour une fois ?” Oui, je parlais mal. “Vraiment, ça craint, on peut pas être partout, ça va pas le faire, on va tous y passer, m-merde…” Mon Cacturne me piqua dans les côtes, sûrement pour me réveiller de mon angoisse naissante. “Enfoiré… Va plutôt attaquer le moche plus loin, il s’embrouille avec un panneau, il fait peur aux filles !”
Peyotl était parti se battre contre un Roue-de-Fer, tout seul, qui faisait une fixette sur un panneau, justement, non loin de deux jeunes femmes qui étaient terrorisées, en hauteur sur des poubelles et n’osant pas trop bouger à cause de la bestiole mécanique.
“Tross va faire un truc, j’espère ? Ils sont forcément préparés à ce genre d’incident, les Militaires. On paye pas des impôts pour rien.” J’arrêtai mon regard sur un jeune homme de mon âge un peu plus loin. Un mec avec un Psykokwak. Puis à un autre endroit, un type avec une canne, d’environ quarante ans. Je ne savais pas trop si je devais leur faire signe pour qu’ils se rapprochent de nous. Bon, autant tenter : “Je leur propose de venir dans notre Team de cool kids ?” Et finalement, je leur fis de grands signes. C’est tout de suite plus rassurant d’avoir un Champion d’Arène à ses côtés, quand c’est l’Apocalypse.
Résumé :
Peyotl attaque un Roue-de-Fer en pleine embrouille avec un panneau.
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Jeu 19 Oct - 23:27
[ Event 2 : Les portes du temps ]
Le plan de Lev avait dérapé.
Tout se passait pourtant comme prévu ; Lafcadio, comme les quelques Victinis qui s’étaient portés volontaires à la réunion pour assister dans la banlieue d’Uthyrgham, observait de loin l’ancien maître se battre contre ses propres Paradoxes dans un simulacre d’attaque sur la capitale. Chaque action avait été clairement réfléchie. Les passants n’y voyaient que du feu, et les réseaux sociaux se chargeraient de faire tourner de belles images du héros du jour. Même si l’objectif principal de toute cette mascarade se trouvait ailleurs, derrière les murs en béton armé des quartiers militaires, le stratagème de Lexy représenterait un sacré coup de pub pour le Groupe. Puisque tout se déroulait aussi bien, Lafcadio, en appui contre un muret et à l’abri des regards, en profitait pour apprendre des tactiques de Lev en combat. Les occasions de le faire étaient devenues si rares.
Mais ça, c’était jusqu’à ce que des Paradoxes sauvages s’invitent à la fête.
Seul, leur leader ne pourrait pas tout gérer. Lafcadio avait été envoyé en Basse-Uthyrgham pour minimiser les dégâts le plus possible, mais face à ces espèces de Donphans électroniques – des Roues-d’Acier ou quelque chose du genre, peu importe, quelqu’un était bien trop grassement payé pour sortir des noms pareils – son Germéclat serait inutile. Ni les cailloux, ni l’acide ne feraient la moindre rayure sur le parechoc de ces monstres. Mais les distraire pendant que son dresseur éloignait des civils ou faire léviter des pierres pour étouffer un début d’incendie, ça, il en était capable.
Après avoir sorti un trio de jeunes bloqués entre un angle de mur et une large voiture couchée sur son flanc, frôlée d’un peu trop près par un Paradoxe lancé dans sa course, et leur avoir indiqué un lieu plus sûr, Lafcadio tourne au coin de la rue. Un Cacturne semble vouloir régler son compte à un Roue-machin focalisé sur des panneaux de signalisation ; contrairement à tous les autres pokémons sauvages dans le coin, il ne fuit pas – Lafcadio cherche du regard un potentiel dresseur avant d’apercevoir un gars aux cheveux gris, quelques dizaines de mètres plus loin, qui lui fait signe de s’approcher. Il interpelle un autre jeune à la chevelure argentée lui aussi – sûrement le truc à la mode en ce moment, allez savoir – et il a l’air accompagné d’un troisième homme. Lafcadio les regarde quelques secondes. Le Cacturne doit appartenir à l’un d’entre eux. Peut-être quelqu’un qui sait se battre, même.
Le pouce et l’index joints entre ses lèvres, Lafcadio jette un œil par-dessus son épaule et siffle ; l’instant d’après, son Germéclat délaisse un tas de roche sur le bitume pour venir flotter à ses côtés. Le marchand réajuste sa lanière de sac à dos d’une main, l’autre en appui sur sa canne, et rejoint le petit groupe d’un pas assuré. Ce n’est qu’en se rapprochant qu’il reconnait enfin le troisième type, celui aux cheveux de jais et au regard bleu océan. Lafcadio hausse les sourcils – tu parles d’une coïncidence… – mais se garde de le saluer personnellement ; entre la situation actuelle et les circonstances de leur rencontre, prétendre ne pas se connaître lui semble plus judicieux. Pour le moment.
« Rien de cassé ? Si vous avez pas de pokémons, vous feriez mieux de déguerpir. » "Les choses vont pas s’améliorer" – Lafcadio se retient à la dernière seconde. Inutile d’en dire trop. « Par contre, si vous en avez en état de se battre… Y a l’air d’avoir du grabuge dans la rue d’à côté. »
Tout se passait pourtant comme prévu ; Lafcadio, comme les quelques Victinis qui s’étaient portés volontaires à la réunion pour assister dans la banlieue d’Uthyrgham, observait de loin l’ancien maître se battre contre ses propres Paradoxes dans un simulacre d’attaque sur la capitale. Chaque action avait été clairement réfléchie. Les passants n’y voyaient que du feu, et les réseaux sociaux se chargeraient de faire tourner de belles images du héros du jour. Même si l’objectif principal de toute cette mascarade se trouvait ailleurs, derrière les murs en béton armé des quartiers militaires, le stratagème de Lexy représenterait un sacré coup de pub pour le Groupe. Puisque tout se déroulait aussi bien, Lafcadio, en appui contre un muret et à l’abri des regards, en profitait pour apprendre des tactiques de Lev en combat. Les occasions de le faire étaient devenues si rares.
Mais ça, c’était jusqu’à ce que des Paradoxes sauvages s’invitent à la fête.
Seul, leur leader ne pourrait pas tout gérer. Lafcadio avait été envoyé en Basse-Uthyrgham pour minimiser les dégâts le plus possible, mais face à ces espèces de Donphans électroniques – des Roues-d’Acier ou quelque chose du genre, peu importe, quelqu’un était bien trop grassement payé pour sortir des noms pareils – son Germéclat serait inutile. Ni les cailloux, ni l’acide ne feraient la moindre rayure sur le parechoc de ces monstres. Mais les distraire pendant que son dresseur éloignait des civils ou faire léviter des pierres pour étouffer un début d’incendie, ça, il en était capable.
Après avoir sorti un trio de jeunes bloqués entre un angle de mur et une large voiture couchée sur son flanc, frôlée d’un peu trop près par un Paradoxe lancé dans sa course, et leur avoir indiqué un lieu plus sûr, Lafcadio tourne au coin de la rue. Un Cacturne semble vouloir régler son compte à un Roue-machin focalisé sur des panneaux de signalisation ; contrairement à tous les autres pokémons sauvages dans le coin, il ne fuit pas – Lafcadio cherche du regard un potentiel dresseur avant d’apercevoir un gars aux cheveux gris, quelques dizaines de mètres plus loin, qui lui fait signe de s’approcher. Il interpelle un autre jeune à la chevelure argentée lui aussi – sûrement le truc à la mode en ce moment, allez savoir – et il a l’air accompagné d’un troisième homme. Lafcadio les regarde quelques secondes. Le Cacturne doit appartenir à l’un d’entre eux. Peut-être quelqu’un qui sait se battre, même.
Le pouce et l’index joints entre ses lèvres, Lafcadio jette un œil par-dessus son épaule et siffle ; l’instant d’après, son Germéclat délaisse un tas de roche sur le bitume pour venir flotter à ses côtés. Le marchand réajuste sa lanière de sac à dos d’une main, l’autre en appui sur sa canne, et rejoint le petit groupe d’un pas assuré. Ce n’est qu’en se rapprochant qu’il reconnait enfin le troisième type, celui aux cheveux de jais et au regard bleu océan. Lafcadio hausse les sourcils – tu parles d’une coïncidence… – mais se garde de le saluer personnellement ; entre la situation actuelle et les circonstances de leur rencontre, prétendre ne pas se connaître lui semble plus judicieux. Pour le moment.
« Rien de cassé ? Si vous avez pas de pokémons, vous feriez mieux de déguerpir. » "Les choses vont pas s’améliorer" – Lafcadio se retient à la dernière seconde. Inutile d’en dire trop. « Par contre, si vous en avez en état de se battre… Y a l’air d’avoir du grabuge dans la rue d’à côté. »
ft. Sūrya, Salomon, Wolfy
Bedwyr
Bedwyr
Invité
Invité
Dim 22 Oct - 10:03
L'argenté, telephone entre les mains prévenait Hermes de son retour. le prof avait beau ne pas du tout le lui laisser paraitre, il se sentait mal de faire des allez retour chez lui comme ça. Il avait rapporté des courses et des baies pour ses pokémons, il aimait bien les regarder faire des vrilles incroyables dans l'appartement pour les attrapper. Puis, il avait utilisé une partie de sa pension pour acheter un oeuf chance. Le jeune homme ne savait pas à quoi ça correspondait, mais c'était apparement le must du must.
"Kwak!
- quoi?"
Il y avait des gens qui parlaient a leur pokémons comme si c'était des humains. Lui, il comprenait que dalle. Néanmoins il leva les yeux puis une jambe pour se faire froler de justesse par un gros pneu en pierre. C ETAIT QUOI CE MONDE. Heureusement, personne n'avait l'air de trouver ça normal en fait vu les cris qui retentirent jusqu'à lui. Cela attira son attention, lui faisant dresser l'oreille sans réagir plus que cela. C'était quoi ce bazar?
Par contre d'autres arrivaient, il fallait qu'il... se cache? se mettent en hauteur? Il commença a courir, semant litteralement Kwak, demi tour pour se pencher et le laisser voleter jusqu'a son épaule puis reprise du sprint. KWAK!!
Gueula le canard en tendant une aile vers la gauche. Transpirant, le jeune braqua a gauche et fila tout droit jusqu'a d'autres personnes, se projetta contre un mur pour réésquiver une roue louche "Kwak;, Kwak, Kwak!" Ok... C'est que Kwak avait flairé... Surya Mirza. Un homme a ses côtés lui fit signe de s'approcher, aller, encore un effort et il se retrouva près des trois hommes et deux filles en hauteur sur des poubelles.
«Salut!!" dit il avant de se mettre 3 quart dos a eux pour surveiller lui aussi de son côté. Puis il entendit
"Rien de cassé ? Si vous avez pas de pokémons, vous feriez mieux de déguerpir.
- Huhu, pertinent. Dès que je peux je m'arrache oui.» dit il en en voyant 3 arriver. Ils avaient pas vraiment l'air de viser les gens? Si? Pas encore? Wolfy resta sinon prudement pas loin de Surya, il était largement en état de se battre lui et le mec qui lui avait fait signe visiblement également. Kwak voleta au sol. Bon, visiblement, lui, il avait pas envie de se faire poursuivre au travers les rues par une hordes de roues d'attaque en fuyant a dos d'humain.
"Kwak!
- quoi?"
Il y avait des gens qui parlaient a leur pokémons comme si c'était des humains. Lui, il comprenait que dalle. Néanmoins il leva les yeux puis une jambe pour se faire froler de justesse par un gros pneu en pierre. C ETAIT QUOI CE MONDE. Heureusement, personne n'avait l'air de trouver ça normal en fait vu les cris qui retentirent jusqu'à lui. Cela attira son attention, lui faisant dresser l'oreille sans réagir plus que cela. C'était quoi ce bazar?
Par contre d'autres arrivaient, il fallait qu'il... se cache? se mettent en hauteur? Il commença a courir, semant litteralement Kwak, demi tour pour se pencher et le laisser voleter jusqu'a son épaule puis reprise du sprint. KWAK!!
Gueula le canard en tendant une aile vers la gauche. Transpirant, le jeune braqua a gauche et fila tout droit jusqu'a d'autres personnes, se projetta contre un mur pour réésquiver une roue louche "Kwak;, Kwak, Kwak!" Ok... C'est que Kwak avait flairé... Surya Mirza. Un homme a ses côtés lui fit signe de s'approcher, aller, encore un effort et il se retrouva près des trois hommes et deux filles en hauteur sur des poubelles.
«Salut!!" dit il avant de se mettre 3 quart dos a eux pour surveiller lui aussi de son côté. Puis il entendit
"Rien de cassé ? Si vous avez pas de pokémons, vous feriez mieux de déguerpir.
- Huhu, pertinent. Dès que je peux je m'arrache oui.» dit il en en voyant 3 arriver. Ils avaient pas vraiment l'air de viser les gens? Si? Pas encore? Wolfy resta sinon prudement pas loin de Surya, il était largement en état de se battre lui et le mec qui lui avait fait signe visiblement également. Kwak voleta au sol. Bon, visiblement, lui, il avait pas envie de se faire poursuivre au travers les rues par une hordes de roues d'attaque en fuyant a dos d'humain.
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Sūrya Mirza
Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Mar 24 Oct - 22:54
event 2
Surya profitait d’un peu de calme – d’un peu de répit, depuis le premier incident lié au Paradoxe. Doucement, il commençait à faire son deuil : de son ami, mais aussi … de sa foi en l’organisation. Il avait peur des émotions qu’il était en train de développer : du doute, de la remise en question. C’était désagréable, mais nécessaire. Et puis, il n’avait pas prévu de changer de camp : juste d’en apprendre plus, et de mettre la main sur son passé, ses souvenirs qu’il n’arrivait pas à relier entre eux.
Puis, il y avait Salomon : si les relations romantiques n’avaient jamais vraiment été sa tasse de thé, il s’était finalement adapté assez vite à ce quotidien. A l’intérieur de lui, il se sentait peut-être un peu plus apaisé : même si cette envie de réponse subsistait, accompagnée d’une flamme de rébellion désagréable.
L’après-midi avait été calme – jusqu’à ce que du bruit attire son attention. Les sens en éveil, il reboutonna rapidement sa chemise sombre. « On doit y aller. » Voix clair, neutre, mais Salomon n’allait pas pouvoir le retenir : restez à l’abri, peut-être, mais pas empêcher le policier de prendre des risques. Pressé, le policier n’avait pris que quelques instants pour récupérer ses partenaires. Le regard grave, il avait dévalé les marches de son immeuble, à la recherche des ennemis.
« … Je vais essayer de les contacter. » Tapotant rapidement sur sa montre, il envoya un message à son bureau de police. « Ils doivent déjà être au courant. L’organisation va finir par agir. » Il en était sûr et certains : après tout, les Trismegis n’allaient pas abandonner Basse-Uthyrgham.
Même si la situation extérieure était plus que terrifiante. Une goutte de sueur roula sur ses tempes. « Il y en a beaucoup. » Beaucoup trop.
Salomon invita d’autre gens à se joindre à eux – Surya n’y fit pas vraiment attention, libérant déjà son Milobellus. Au moins, la violence et l’instabilité du serpent allait pouvoir être utile, non ?
Et… « Wolfy ? » Le champion écarquilla un peu les yeux, reconnaissant la crinière argentée de l’amnésique. Il avait presque l’impression d’avoir le devoir de protéger le jeune homme. « Tu devrais partir. C’est trop dangereux pour toi. » Sa voix restait pourtant neutre. Il jeta un coup d’œil au Psykokwak. Oui, il allait plus les gêner qu’autre chose. Mais… partir où ? Il ne savait pas dans quel état était le reste de la ville.
« Anneau Hydro. » Obéissant, le serpent se drapa d’une couche d’eau protectrice. « Hydroqueue. » De la main, il montra le Paradoxe le plus proche. Bien que maladroit sur terre, Ecume s’approcha pour attaquait le type acier d’une queue entourée d’eau – violement, avec brutalité.
« Wolfy, reste derrière moi. » Ordre, conseils ? Aucune idée, mais de toute façon, le plus jeune était sans doute mal placé pour refuser.
Puis, il y avait Salomon : si les relations romantiques n’avaient jamais vraiment été sa tasse de thé, il s’était finalement adapté assez vite à ce quotidien. A l’intérieur de lui, il se sentait peut-être un peu plus apaisé : même si cette envie de réponse subsistait, accompagnée d’une flamme de rébellion désagréable.
L’après-midi avait été calme – jusqu’à ce que du bruit attire son attention. Les sens en éveil, il reboutonna rapidement sa chemise sombre. « On doit y aller. » Voix clair, neutre, mais Salomon n’allait pas pouvoir le retenir : restez à l’abri, peut-être, mais pas empêcher le policier de prendre des risques. Pressé, le policier n’avait pris que quelques instants pour récupérer ses partenaires. Le regard grave, il avait dévalé les marches de son immeuble, à la recherche des ennemis.
« … Je vais essayer de les contacter. » Tapotant rapidement sur sa montre, il envoya un message à son bureau de police. « Ils doivent déjà être au courant. L’organisation va finir par agir. » Il en était sûr et certains : après tout, les Trismegis n’allaient pas abandonner Basse-Uthyrgham.
Même si la situation extérieure était plus que terrifiante. Une goutte de sueur roula sur ses tempes. « Il y en a beaucoup. » Beaucoup trop.
Salomon invita d’autre gens à se joindre à eux – Surya n’y fit pas vraiment attention, libérant déjà son Milobellus. Au moins, la violence et l’instabilité du serpent allait pouvoir être utile, non ?
Et… « Wolfy ? » Le champion écarquilla un peu les yeux, reconnaissant la crinière argentée de l’amnésique. Il avait presque l’impression d’avoir le devoir de protéger le jeune homme. « Tu devrais partir. C’est trop dangereux pour toi. » Sa voix restait pourtant neutre. Il jeta un coup d’œil au Psykokwak. Oui, il allait plus les gêner qu’autre chose. Mais… partir où ? Il ne savait pas dans quel état était le reste de la ville.
« Anneau Hydro. » Obéissant, le serpent se drapa d’une couche d’eau protectrice. « Hydroqueue. » De la main, il montra le Paradoxe le plus proche. Bien que maladroit sur terre, Ecume s’approcha pour attaquait le type acier d’une queue entourée d’eau – violement, avec brutalité.
« Wolfy, reste derrière moi. » Ordre, conseils ? Aucune idée, mais de toute façon, le plus jeune était sans doute mal placé pour refuser.
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nenuphar
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Mer 25 Oct - 22:54
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
Rien ne semble s’arranger. Malgré l'apparition d’un attroupement de dresseurs hors-pair (bon, certains, moins que d’autres), les Roues-de-Fer affluaient toujours vers la Basse-Uthyrgham pour causer moults dégâts.
Vous entendez des cris.
Les plus persistants sont ceux d’une jeune mère de famille en proie aux flammes, certainement à cause d’un Rampe-Ailes, dans son appartement, et qui hésite à sauter par sa fenêtre avec son nourrisson. La chute pourrait lui briser quelques os, et pourtant, elle préfère sans doute prendre ce risque plutôt que de brûler sur place… Quitte à servir d’amortisseur pour son enfant.
Il y a également toujours ce groupe d’adolescents coincés derrière des décombres où rôdent un Epine-de-Fer perturbé par toute cette agitation. Certains pleurent, d’autres crient… C’est la panique. Qui sait dans quel état ils sont…?
Pendant tout ce temps… Si les policiers répondent à l’appel de l’Inspecteur Mirza, l’Organisation ne donne aucun signe de vie, pour l’instant. Elle qui est habituellement si réactive, pourquoi ne débarquait-elle pas avec ses quelques militaires encore présents ? Le temps paraissait si long !
Le Roue-de-Fer qui s’était vénère à cause d’un panneau de signalisation se concentre maintenant sur le Cacturne mais surtout… sur votre groupe, grognant et se préparant à charger dans votre direction. Visiblement, il a envie de s’embrouiller avec vous, maintenant.
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Salomon Strueux
Fleuriste
Mer 25 Oct - 23:28
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Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
L’Organisation va finir par agir, hein ? Qu’elle bouge son cul un peu plus vite, si possible, parce que ça commence à être vraiment la panique un peu partout, et également dans ma tête névrosée. L’adrénaline avait fini par me faire tenir debout, mais je tremblais. Je faisais aveuglément confiance à Peyotl qui se débrouillait jusque-là très bien, et de manière autonome.
J’avais invité d’autres combattants, à priori. Le plus âgé d’entre nous avait fait ses petits commentaires auxquels je répondis du tac-au-tac : “On a pas trop le choix de rester combattre et d’aider les civils. L’Orga est pas foutue de gérer des situations d’urgence rapidement, apparemment.”, laissais-je échapper, sarcastique.
Sūrya connaissait le plus jeune ? Il semblait très protecteur. C’est sûr qu’un Psykokwak, ça doit pas faire des miracles, à un faible niveau… Mais bon. Y'a quelques mois encore, je possédais juste une Olivini de faible niveau, en combat. Maintenant que je n'étais plus dans cette situation, il fallait que je me bouge, même si j'aurais préféré rester au lit dans les bras d'une certaine personne.
“Faites gaffe, le pneu du futur nous a repéré ! Peyotl, encaisse-le !” Oui, je lui ordonnais de se jeter dessus pour l’empêcher de nous foncer dessus, mais ça n’avait pas trop fonctionné, puisque le cactus était accroché à lui de manière un peu cartoonesque. Il arrivait à légèrement dévier sa trajectoire, mais il allait finir par revenir à la charge. “Putain, c’est pas vrai…”
Je l’avais vue. Cette femme à la fenêtre avec son enfant, qui était sur le point de sauter.
Non !
Je ne voulais pas voir ça. Comment pouvais-je agir ? Je me sentais impuissant. Je devais faire quoi, là, au juste ? Sans trop réfléchir, je me mis à courir en sa direction. Pour quoi faire ? La ratrapper avec mes petits bras ? Avec la chute, elle allait peser lourd, on allait être blessés tous les deux. M-merde…! Je courais, mais je n’avais aucune idée de quoi faire !
J’esquivai quelques obstacles plus ou moins éparpillé sur la route, le cœur battant beaucoup trop vite, et l’angoisse commençant à faire naître quelques larmes aux coins de mes yeux.
Je sais. L'illumination m'avait transcendé.
J’étais cambrioleur, avant, non ? J’étais doué pour grimper partout avec agilité. Je ne le faisais plus vraiment depuis que je vivais à Uthyrgham, dans une légalité presque exemplaire, et pourtant… Avec un automatisme assez étonnant pour ceux qui ne m’avaient jamais connu dans mon sombre passé de monte-en-l’air, je me mis à escalader le bâtiment jusqu'au troisième étage où elle était. J’allais choper le gosse et aider cette femme à descendre ensuite. Heureusement pour moi, elle était pas très épaisse, j'allais pouvoir la soutenir pour ne pas qu'elle tombe.
Elle semblait reprendre espoir. J’avais enfin le nourrisson dans un bras. C’était… sacrément encombrant, mais je ne pouvais pas tomber. Je devais sauver ces vies. Si j'étais de nature égoïste et nonchalante, tout ce qui touchait à la famille, ça me touchait trop pour rester passif.
Salomon qui a visiblement obtenu du courage par miracle se sert de ses compétences de cambrioleur pour escalader un bâtiment et choper le bébé. Il tentera de remonter chercher la Maman plus tard... S'il a pas un contretemps.
Peyotl dévie la trajectoire du Roue-de-Fer qui tente de nous foncer dessus.
En stock.
J’avais invité d’autres combattants, à priori. Le plus âgé d’entre nous avait fait ses petits commentaires auxquels je répondis du tac-au-tac : “On a pas trop le choix de rester combattre et d’aider les civils. L’Orga est pas foutue de gérer des situations d’urgence rapidement, apparemment.”, laissais-je échapper, sarcastique.
Sūrya connaissait le plus jeune ? Il semblait très protecteur. C’est sûr qu’un Psykokwak, ça doit pas faire des miracles, à un faible niveau… Mais bon. Y'a quelques mois encore, je possédais juste une Olivini de faible niveau, en combat. Maintenant que je n'étais plus dans cette situation, il fallait que je me bouge, même si j'aurais préféré rester au lit dans les bras d'une certaine personne.
“Faites gaffe, le pneu du futur nous a repéré ! Peyotl, encaisse-le !” Oui, je lui ordonnais de se jeter dessus pour l’empêcher de nous foncer dessus, mais ça n’avait pas trop fonctionné, puisque le cactus était accroché à lui de manière un peu cartoonesque. Il arrivait à légèrement dévier sa trajectoire, mais il allait finir par revenir à la charge. “Putain, c’est pas vrai…”
Je l’avais vue. Cette femme à la fenêtre avec son enfant, qui était sur le point de sauter.
Non !
Je ne voulais pas voir ça. Comment pouvais-je agir ? Je me sentais impuissant. Je devais faire quoi, là, au juste ? Sans trop réfléchir, je me mis à courir en sa direction. Pour quoi faire ? La ratrapper avec mes petits bras ? Avec la chute, elle allait peser lourd, on allait être blessés tous les deux. M-merde…! Je courais, mais je n’avais aucune idée de quoi faire !
J’esquivai quelques obstacles plus ou moins éparpillé sur la route, le cœur battant beaucoup trop vite, et l’angoisse commençant à faire naître quelques larmes aux coins de mes yeux.
Je sais. L'illumination m'avait transcendé.
J’étais cambrioleur, avant, non ? J’étais doué pour grimper partout avec agilité. Je ne le faisais plus vraiment depuis que je vivais à Uthyrgham, dans une légalité presque exemplaire, et pourtant… Avec un automatisme assez étonnant pour ceux qui ne m’avaient jamais connu dans mon sombre passé de monte-en-l’air, je me mis à escalader le bâtiment jusqu'au troisième étage où elle était. J’allais choper le gosse et aider cette femme à descendre ensuite. Heureusement pour moi, elle était pas très épaisse, j'allais pouvoir la soutenir pour ne pas qu'elle tombe.
Elle semblait reprendre espoir. J’avais enfin le nourrisson dans un bras. C’était… sacrément encombrant, mais je ne pouvais pas tomber. Je devais sauver ces vies. Si j'étais de nature égoïste et nonchalante, tout ce qui touchait à la famille, ça me touchait trop pour rester passif.
Résumé :
Salomon qui a visiblement obtenu du courage par miracle se sert de ses compétences de cambrioleur pour escalader un bâtiment et choper le bébé. Il tentera de remonter chercher la Maman plus tard... S'il a pas un contretemps.
Peyotl dévie la trajectoire du Roue-de-Fer qui tente de nous foncer dessus.
En stock.
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Dim 29 Oct - 23:27
[ Event 2 : Les portes du temps ]
Par chance, les autres membres du groupe n’étaient pas sortis dans la rue les mains vides et ne manquaient pas de réflexes. Lafcadio pourrait se séparer d’eux sans grand remord en cas de besoin. Parce que les problèmes, eux, se multipliaient à vitesse grand V – alors rester collés les uns aux autres, ça serait une perte de temps.
Le grand type aux cheveux gris, celui qui leur avait fait signe à tous, grogne après l’absence de réaction de Trismegis. Lafcadio en rajoute une couche en marmonnant dans sa barbe. « Faut pas compter sur eux pour le moment. » Aux yeux des civils, la situation doit être incompréhensible, bien sûr, mais si l’Organisation ne pointe pas le bout de son nez, c’est qu’elle est toujours retenue ailleurs – et que le plan des Victinis n’a pas complètement foiré.
Le petit Cacturne avait dévié de justesse le missile qui fonçait sur eux, mais le Roue-de-Fer auquel il était désormais attaché commençait à devenir un sérieux problème. Impossible de s’occuper du reste avec un bolide menaçant de les écraser d’une minute à l’autre. Lafcadio observe sa trajectoire, les sens en alerte ; après avoir fait une boucle, le Paradoxe va sûrement revenir à l’assaut, plus enragé cette fois – ils peuvent sûrement l’attaquer de front, mais le temps presse pour les autres civils en danger. Si son Germéclat ne peut espérer infliger le moindre dégât au monstre, le quadra est plutôt confiant en sa capacité à tirer profit du terrain.
« Laissez-moi m’occuper du Donphan. »
Le ton plus sec qu’il ne l’avait prévu, sans attendre de réponse, il fait signe à son pokémon de le suivre et s’éloigne du groupe. Tout en marchant, il garde les yeux focalisés sur le Roue-de-Fer plusieurs dizaines de mètres au loin ; l’effort soudain sur les muscles de sa jambe gauche le fait grimacer. Lafcadio s’arrête quelque part dans l’axe supposé du Paradoxe, un peu avant la zone où il s’acharnait sur le panneau signalétique, déserte après que les deux jeunes femmes en équilibre sur les poubelles aient sauté sur l’occasion pour s’enfuir. Il adresse à son Germéclat un petit geste de la main rapide sans se retourner – paume tournée vers le sol, pouce et auriculaire tendus, les autres doigts repliés – et le pokémon se fige sur place alors que son dresseur continue jusqu’au panneau.
Il peut voir le Roue-de-Fer opérer un demi-tour au loin, enfin, pour remonter la rue à toute allure. Dans la périphérie de son champ de vision, il aperçoit aussi le gars aux cheveux gris escalader la façade d’un bâtiment d’où s’échappe un épais nuage de fumée ; le dresseur du Cacturne. Le type est trop loin et trop occupé pour que Lafcadio lui crie de rappeler son pokémon – à cette distance, impossible de voir si la petite bête est toujours accrochée à sa voiture de course d’ailleurs – Lafcadio serre les dents. Pourvu que la bestiole ait un minimum de réflexes.
Il laisse sa canne tomber au sol et pousse de toutes ses forces un des larges conteneurs en métal sur lesquels s’étaient réfugiées les jeunes femmes tout à l’heure. Le conteneur s’écroule avec fracas sur le bitume, déversant une partie de son ventre nauséabond aux alentours, couvercle retourné. Si le Paradoxe avait pour projet de s’élancer ailleurs que là où Lafcadio veut l’attirer, la cacophonie du métal contre le sol suffit à lui faire changer de cible. L’alignement est presque parfait. Maintenant, reste à éviter les erreurs de calcul – une dizaine de mètres avant que le Roue-de-Fer ne dépasse son Germéclat, Lafcadio crie à pleins poumons.
« Pouvoir Antique, au sol ! »
Comme un automate, le pokémon fait immédiatement léviter les morceaux de roches autour de lui et les envoie s’écraser contre la route quelques secondes avant le passage du Paradoxe. Etourdi par l’impact des éclats et la poussière, ce dernier perd le contrôle de sa course – et se retrouve propulsé par sa propre vitesse tout droit dans le conteneur resté ouvert devant lui. Lafcadio évite de se faire faucher au dernier instant, trébuchant contre le bitume. Emportés par l’accélération, le conteneur et le Paradoxe pris à l’intérieur glissent jusqu’à entrer en collision avec la façade du bâtiment vide juste derrière. Les débris de mur qui se fissure se chargent du reste.
Lorsque Lafcadio tourne la tête vers la scène, le faux-Donphan ne donne aucun signe de vie sous le béton et le métal, sûrement trop sonné par ce qui vient de lui arriver. Le quadra tente de se relever ; la douleur se propage instantanément dans son genou gauche et le cloue au sol, un soupir aux lèvres. Lazuli, son Germéclat, pousse de la tête la canne de son dresseur abandonnée quelques minutes plus tôt jusqu’à ce qu’elle soit à sa portée.
Heureusement que Lev ne leur a pas ordonné de limiter les dégâts matériels.
----------
HRP : Lafcadio tend un piège au Roue-de-Fer qui s'en prenait au groupe. Germéclat utilise Pouvoir Antique au sol pour le déstabiliser et le Roue-de-Fer est propulsé contre un mur dans un conteneur à ordures.
Le grand type aux cheveux gris, celui qui leur avait fait signe à tous, grogne après l’absence de réaction de Trismegis. Lafcadio en rajoute une couche en marmonnant dans sa barbe. « Faut pas compter sur eux pour le moment. » Aux yeux des civils, la situation doit être incompréhensible, bien sûr, mais si l’Organisation ne pointe pas le bout de son nez, c’est qu’elle est toujours retenue ailleurs – et que le plan des Victinis n’a pas complètement foiré.
Le petit Cacturne avait dévié de justesse le missile qui fonçait sur eux, mais le Roue-de-Fer auquel il était désormais attaché commençait à devenir un sérieux problème. Impossible de s’occuper du reste avec un bolide menaçant de les écraser d’une minute à l’autre. Lafcadio observe sa trajectoire, les sens en alerte ; après avoir fait une boucle, le Paradoxe va sûrement revenir à l’assaut, plus enragé cette fois – ils peuvent sûrement l’attaquer de front, mais le temps presse pour les autres civils en danger. Si son Germéclat ne peut espérer infliger le moindre dégât au monstre, le quadra est plutôt confiant en sa capacité à tirer profit du terrain.
« Laissez-moi m’occuper du Donphan. »
Le ton plus sec qu’il ne l’avait prévu, sans attendre de réponse, il fait signe à son pokémon de le suivre et s’éloigne du groupe. Tout en marchant, il garde les yeux focalisés sur le Roue-de-Fer plusieurs dizaines de mètres au loin ; l’effort soudain sur les muscles de sa jambe gauche le fait grimacer. Lafcadio s’arrête quelque part dans l’axe supposé du Paradoxe, un peu avant la zone où il s’acharnait sur le panneau signalétique, déserte après que les deux jeunes femmes en équilibre sur les poubelles aient sauté sur l’occasion pour s’enfuir. Il adresse à son Germéclat un petit geste de la main rapide sans se retourner – paume tournée vers le sol, pouce et auriculaire tendus, les autres doigts repliés – et le pokémon se fige sur place alors que son dresseur continue jusqu’au panneau.
Il peut voir le Roue-de-Fer opérer un demi-tour au loin, enfin, pour remonter la rue à toute allure. Dans la périphérie de son champ de vision, il aperçoit aussi le gars aux cheveux gris escalader la façade d’un bâtiment d’où s’échappe un épais nuage de fumée ; le dresseur du Cacturne. Le type est trop loin et trop occupé pour que Lafcadio lui crie de rappeler son pokémon – à cette distance, impossible de voir si la petite bête est toujours accrochée à sa voiture de course d’ailleurs – Lafcadio serre les dents. Pourvu que la bestiole ait un minimum de réflexes.
Il laisse sa canne tomber au sol et pousse de toutes ses forces un des larges conteneurs en métal sur lesquels s’étaient réfugiées les jeunes femmes tout à l’heure. Le conteneur s’écroule avec fracas sur le bitume, déversant une partie de son ventre nauséabond aux alentours, couvercle retourné. Si le Paradoxe avait pour projet de s’élancer ailleurs que là où Lafcadio veut l’attirer, la cacophonie du métal contre le sol suffit à lui faire changer de cible. L’alignement est presque parfait. Maintenant, reste à éviter les erreurs de calcul – une dizaine de mètres avant que le Roue-de-Fer ne dépasse son Germéclat, Lafcadio crie à pleins poumons.
« Pouvoir Antique, au sol ! »
Comme un automate, le pokémon fait immédiatement léviter les morceaux de roches autour de lui et les envoie s’écraser contre la route quelques secondes avant le passage du Paradoxe. Etourdi par l’impact des éclats et la poussière, ce dernier perd le contrôle de sa course – et se retrouve propulsé par sa propre vitesse tout droit dans le conteneur resté ouvert devant lui. Lafcadio évite de se faire faucher au dernier instant, trébuchant contre le bitume. Emportés par l’accélération, le conteneur et le Paradoxe pris à l’intérieur glissent jusqu’à entrer en collision avec la façade du bâtiment vide juste derrière. Les débris de mur qui se fissure se chargent du reste.
Lorsque Lafcadio tourne la tête vers la scène, le faux-Donphan ne donne aucun signe de vie sous le béton et le métal, sûrement trop sonné par ce qui vient de lui arriver. Le quadra tente de se relever ; la douleur se propage instantanément dans son genou gauche et le cloue au sol, un soupir aux lèvres. Lazuli, son Germéclat, pousse de la tête la canne de son dresseur abandonnée quelques minutes plus tôt jusqu’à ce qu’elle soit à sa portée.
Heureusement que Lev ne leur a pas ordonné de limiter les dégâts matériels.
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HRP : Lafcadio tend un piège au Roue-de-Fer qui s'en prenait au groupe. Germéclat utilise Pouvoir Antique au sol pour le déstabiliser et le Roue-de-Fer est propulsé contre un mur dans un conteneur à ordures.
ft. Sūrya, Salomon, Wolfy
Bedwyr
Bedwyr
Invité
Invité
Mer 1 Nov - 11:53
Les portes du temps ft goupe Feu Follet et Trismegis
Il a une moue décontenancée quand Surya lui demande de partir. Il y avait des monstres... partout. Il se sentait plus en sécurité derrière lui et le mec qui l'avait fait venir.
L'attention du jeune homme le fit pivoter d'un coup vers un hurlement de panique plus aceré que les autres.
SAUTEZ PAS!!
Hurla-t-il en voyant sur une jeune femme s'approcher de la fenetre. Il tendit machinalement les bras mais n'était pas certain de ce qu'il ferait si elle sautait avec le bébé. Il n'allumait même pas que le bébé risquait de se faire écraser. Les yeux écarquillés il attendit qu'elle bouge. Mais... un énnnorme pokémon d'horreur vert apparut dans son champ de vision : un lézard, bipède avec des dents.. mais des dents... Il comprenait aisément pourquoi l'organisation disait "les pokémons c'est ultra dangereux."
"AH!! MAIS C EST QUOI CETTE MASSE VERTE" cria t il brièvement d'un son bref et sourd dr terreur. Cela fit écho a ceux de gosses terrifiés. Oh mais...?!!
Le monde allait beaucoup trop vite pour que Wolfy calcule. Le corps de félin du Kalaharien atterirt sur le mur de l'immeuble de là où menaçait de sauter la femme et qu'il escalada. Surya et le type a la canne protégeaient leur groupe a eux. Mais... les gosses? Il souffla profondément avant avant de se concentrer et tenter de déterminer où ils étaient cachés.
Ayant avisé la baricade de fortune, il tenta d'agir à son tour.
"Kwak!! faut que tu l'éloigne. Dit il en designant l'horrible créature géante
"Reste bien caché par contre surtout. Il désigna ensuite une zone à l'opposée de la position du groupe et des adolescents. La rejoindre aurait été sucidaire pour un humain. Mais le tout petit canard devrait pouvoir y arriver en courant voletant. "cache toi part ici. Surtout qu'il te voit pas."
".... euh. Il était grand le truc, d'ici a ce qu'une attaque psy le perturbe seulement? De plus Kwak apparement faisait de bons jets d'eau. Il avait vu son plumage se perler d'eau. Et le pokémon jaune semblait se gorger totalement d'eau. Visiblement, il voulait faire comme celui de Surya. OK!!
Il sursauta et se plaqua au mur en entendant une grosse roue leur arriver dessus! Il eut un regard reconnaissant au type a la canne mais ne parla pas plus. Il ne devait déconcentrer personne et lui, rester avec Kwak.
Restant planqué relativement au milieu du groupe, il regarda son pokémon arriver 'à la zone indiquée et se cacher derrière une poubelle. Il croisa les doigts pour que le lézard géant ne le voit pas, par au dessus.
"VAS Y" le pokémon jaune balança son vibraqua en direction du titan vert.
"Ok, va plus loin, faut l'éloigner planque toi!! réattaque le puis revient!!"
Kwak décolla péniblement et disparut sous un balcon. Son pokémon disparut de sa vue mais il vit une nouvelle gerbe d'eau partir d'une vingtaine de mètre plus loin. Si jamais le monstre vert décidait de suivre de là où elle venait, cela l'élpoignerait pas mal des gamins en panique et d'eux même.
HRP Wolfy essaye de détourner l'attention de l'epine de fer du groupe d'ado et de leur groupe. Il lui demande de l'éloigner en se planquant pour lui envoyer des vibraqua. le CANARD utilise Vibraqua x 2 pui 80 - 20% de chance de confusion
XP :
1580
Sūrya Mirza
Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Sam 4 Nov - 23:33
event 2
Surya ne réagit pas aux critiques sur l’Organisation – parce que lui aussi, il trouvait le temps trop long. Des secours devraient vite arrivés, non ? Mais en attendant, en tant que champion, il devait défendre les civils. Ce n’était pas la première fois qu’il gérait une situation d’urgence, après tout. Il savait garder son calme.
Les gens s’activaient, autour de lui. Il observa, presque perdu, Salomon escaladait un bâtiment – il ne savait pas qu’il avait ce genre de compétence, mais ce n’était pas le moment pour une telle conversation.
Son cœur battait déjà un peu plus vite. Un souffle, avant qu’il ne pose son regard vers son Milobellus.
« Va l’aider. Il va bien falloir qu’il redescende. » Le serpent d’eau planta son regard dans celui de son dresseur, comme s’il cherchait à le défier. Puis, après quelques secondes, Ondin écouta enfin son dresseur, venant se planter contre la façade et se relevant au maximum. Surya se permit un petit soupir, avant de lâcher ce bâtiment du regard. Il devait leur faire confiance.
« Wolfy, fait attenti—» Le garçon n’avait visiblement pas écouté, s’étant déjà ruer vers le groupe d’adolescent pour visiblement jouer au héros.
Et même si Surya ne le connaissait pas depuis très longtemps, il voulait éviter d’ajouter une tombe de plus au cimetière. Le policier s’élançant vers le groupe d’adolescent, bien décidé à assister l’amnésique. « Ondin, protège-le. » Le Pingoléon fut libéré à proximité du Psykokwak, alors que Surya était encore à plusieurs mètre de l’affrontement.
Il passa devant une ruelle. Il se permit un regard vers cette dernière. Il y avait un corps. Son cœur se stoppa, un instant. Une goutte de sueur roula sur sa tempe.
Non, ce n’était pas la première fois qu’il voyait un cadavre. Un Pokémon était étendu, non loin – un Mateloutre, recouvert d’une poutre. La créature était encore en vie.
Surya lança un regard vers le groupe d’adolescent et Wolfy – puis vers le Mateloutre. Plusieurs fois, ses yeux clairs firent l’aller-retour.
Et puis finalement, il pénétra dans la petite ruelle, confiant l’affrontement à son Pingoleon. Ondin aidait le Psykokwak, fusionnant ses Vibraqua avec des attaques Saumure. Oui, Surya pouvait lui faire confiance.
Il ne pu s’empêcher de regarder le corps – sur son bracelet, il remarqua un petit V. L’emblème des Victinis. Il déglutit. Qu’est-ce qu’il faisait là, à Bedwyr ? Est-ce qu’il y avait une réunion du groupe ? Est-ce que cette attaque avait été programmée ? Est-ce que c’était une façon … d’abattre des gens de la résistance ?
…
Non, il ne devait pas penser à ça. Ce n’était pas le moment. Le Pokémon eau lui lança un regard faible. Il devait préserver les vies qui ne s’était pas encore éteinte.
Se penchant au-dessus de la loutre, de ses deux bras, il tira la poutre. Ce qui était, même pour un policier, très fastidieux. Enfin, le Pokémon fut libéré. Encore faible, apeuré, mais…. Il semblait vouloir se battre.
Surya le pris dans ses bras, glissant entre ses pattes une l’unique baie Sitrus qu’il avait sur lui. Puis, il lança de nouveau un regard vers ce qui semblait être son dresseur. Vers le cadavre. Avant d’enfin quitter la ruelle.
Ça ne servait plus à rien, maintenant.
Alors, il retourna au côté de Wolfy : « Désolé du contre-temps. », avant de poser le Mateloutre par terre. « Va te cacher. » Ces quelques mots, ils étaient adressés au petit rescapé. Et Surya se sentait encore nauséeux de la vue d’un corps frais – il voulait au moins que le Pokémon s’en sorte.
Bref, enfin, il se reconcentra sur l’argenté ; « Tu es sûr que ton Psykokwak va tenir le coup ? » Le canard faisait bien tache, aux côtés de l’imposant Pingoleon.
Surya envoie son Milobellus aider Salomon (+ le dlc femme et enfant) à redescendre.
Il envoie son Pingoleon aider Wolfy. En passant devant une ruelle, il tombe nez-à-nez (pas littéralement) avec un cadavre et un Mateloutre coincé sous une poutre. Il libère le Pokémon, le secoure et va auprès de Wolfy.
Son Pingoleon aide le Psykokwak en utilisant l’attaque Saumure à plusieurs reprise.
Les gens s’activaient, autour de lui. Il observa, presque perdu, Salomon escaladait un bâtiment – il ne savait pas qu’il avait ce genre de compétence, mais ce n’était pas le moment pour une telle conversation.
Son cœur battait déjà un peu plus vite. Un souffle, avant qu’il ne pose son regard vers son Milobellus.
« Va l’aider. Il va bien falloir qu’il redescende. » Le serpent d’eau planta son regard dans celui de son dresseur, comme s’il cherchait à le défier. Puis, après quelques secondes, Ondin écouta enfin son dresseur, venant se planter contre la façade et se relevant au maximum. Surya se permit un petit soupir, avant de lâcher ce bâtiment du regard. Il devait leur faire confiance.
« Wolfy, fait attenti—» Le garçon n’avait visiblement pas écouté, s’étant déjà ruer vers le groupe d’adolescent pour visiblement jouer au héros.
Et même si Surya ne le connaissait pas depuis très longtemps, il voulait éviter d’ajouter une tombe de plus au cimetière. Le policier s’élançant vers le groupe d’adolescent, bien décidé à assister l’amnésique. « Ondin, protège-le. » Le Pingoléon fut libéré à proximité du Psykokwak, alors que Surya était encore à plusieurs mètre de l’affrontement.
Il passa devant une ruelle. Il se permit un regard vers cette dernière. Il y avait un corps. Son cœur se stoppa, un instant. Une goutte de sueur roula sur sa tempe.
Non, ce n’était pas la première fois qu’il voyait un cadavre. Un Pokémon était étendu, non loin – un Mateloutre, recouvert d’une poutre. La créature était encore en vie.
Surya lança un regard vers le groupe d’adolescent et Wolfy – puis vers le Mateloutre. Plusieurs fois, ses yeux clairs firent l’aller-retour.
Et puis finalement, il pénétra dans la petite ruelle, confiant l’affrontement à son Pingoleon. Ondin aidait le Psykokwak, fusionnant ses Vibraqua avec des attaques Saumure. Oui, Surya pouvait lui faire confiance.
Il ne pu s’empêcher de regarder le corps – sur son bracelet, il remarqua un petit V. L’emblème des Victinis. Il déglutit. Qu’est-ce qu’il faisait là, à Bedwyr ? Est-ce qu’il y avait une réunion du groupe ? Est-ce que cette attaque avait été programmée ? Est-ce que c’était une façon … d’abattre des gens de la résistance ?
…
Non, il ne devait pas penser à ça. Ce n’était pas le moment. Le Pokémon eau lui lança un regard faible. Il devait préserver les vies qui ne s’était pas encore éteinte.
Se penchant au-dessus de la loutre, de ses deux bras, il tira la poutre. Ce qui était, même pour un policier, très fastidieux. Enfin, le Pokémon fut libéré. Encore faible, apeuré, mais…. Il semblait vouloir se battre.
Surya le pris dans ses bras, glissant entre ses pattes une l’unique baie Sitrus qu’il avait sur lui. Puis, il lança de nouveau un regard vers ce qui semblait être son dresseur. Vers le cadavre. Avant d’enfin quitter la ruelle.
Ça ne servait plus à rien, maintenant.
Alors, il retourna au côté de Wolfy : « Désolé du contre-temps. », avant de poser le Mateloutre par terre. « Va te cacher. » Ces quelques mots, ils étaient adressés au petit rescapé. Et Surya se sentait encore nauséeux de la vue d’un corps frais – il voulait au moins que le Pokémon s’en sorte.
Bref, enfin, il se reconcentra sur l’argenté ; « Tu es sûr que ton Psykokwak va tenir le coup ? » Le canard faisait bien tache, aux côtés de l’imposant Pingoleon.
Résumé
Surya envoie son Milobellus aider Salomon (+ le dlc femme et enfant) à redescendre.
Il envoie son Pingoleon aider Wolfy. En passant devant une ruelle, il tombe nez-à-nez (pas littéralement) avec un cadavre et un Mateloutre coincé sous une poutre. Il libère le Pokémon, le secoure et va auprès de Wolfy.
Son Pingoleon aide le Psykokwak en utilisant l’attaque Saumure à plusieurs reprise.
HRP blablablablabla
nenuphar
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Aléas
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PNJ
Mar 7 Nov - 8:35
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
Du côté de la mère de famille et de son nourrisson… Ce dernier avait été sauvé in extremis par un escaladeur improvisé et un serpent marin qui avait aidé à éviter toute chute possible. Pas très rassurant, mais les deux descendeurs allaient bien.
Assez rapidement, le pneu-éléphantesque (Roue-de-Fer) avait été contenu dans un conteneur à ordures. Ce turbo-débilos, ayant tout pile la bonne taille pour son contenant, était désormais incapable de bouger, poussant des cris sinistres et aigus qui pourraient être considérés comme des insultes envers le quarantenaire.
Maintenant que les ordures étaient jetées… l’Epine-de-Fer avait commencé à vous remarquer, Wolfy et Sūrya. Si la créature n’était initialement pas prévue pour terroriser les civils, elle voulait en découdre. …Mais visiblement, le fait de se faire asperger d’eau le rendit plus mou que combattif. Pas vraiment K.O., ni vraiment en état de combattre, le Pokémon préféra fuir en pleurnichant. …Où Lev était-il allé trouver ce grand flippé ???
Alors que personne ne s’y attendait… Les pompiers commençaient à débarquer et à intervenir auprès de la jeune maman, la rendant saine et sauve, bien qu’en état de choc.
Une jeune policière (sans doute perdue) était également là, parmi les pompiers. Elle avait remarqué l’Inspecteur et s’était empressée de lui adresser la parole, visiblement au courant de choses assez loin de la bonne nouvelle.
“Rien de cassé par ici ? Enfin… à part… littéralement toute la ville-basse.” elle était un peu maladroite, mais quoi de plus normal sous le choc de la situation. D’autant plus que… “Vous êtes au courant ? La Haute-Uthyrgham a coupé ses accès. Ils… Ils ne veulent pas intervenir et ont préféré protéger son dernier rempart. C’est une catastrophe ! Il n’y a que nous. La police est déployée en urgence un peu partout, mais nous sommes en sous-effectifs ! C’est à peine compréhensible… Pourquoi l’armée n’intervient-elle pas ?!”
Elle avait fini par craquer et laisser sa colère éclater. Elle, une policière qui avait foi en l’Organisation Trismegis.
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Salomon Strueux
Fleuriste
Mar 7 Nov - 23:59
Les Portes du
Temps.
Temps.
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
Je mentirais si je disais que j’étais complètement à l’aise avec le serpent marin de Sūrya. Je le connaissais, maintenant, mais j’étais toujours un grand flippé des gros Pokémons. Les miens dépassaient à peine la taille d’un adolescent pour les plus gros, c’est dire ! J’avais à peine foutu un pied au sol avec le nourrisson qui pleurait dans les bras, que les pompiers venaient d’arriver. Super. J’allais pouvoir éviter d’escalader à nouveau, parce que mine de rien, même si j’étais doué pour ça, le risque zéro n’existait pas. Se briser la nuque n’était pas trop mon projet du jour !
Les pompiers voulaient m'ausculter, maintenant ? Je soupirais puis je levai le pouce en l’air pour signifier que je me sentais parfaitement bien. Enfin, sur le plan physique, hein. Le moral, bof, envie de caner, comme une fin d’après-midi où la ville était en train de se faire détruire. Le classique coup de mou de l’Apocalypse, on va dire !
“Occupez-vous de la daronne en prio’, je me gère.”
En même temps, vu tout ce que j’avais fumé dans ma vie, c’était pas un peu de fumée qui allait m’achever. Bref.
J’entendis quelques bribes de la conversation entre Sūrya et une policière assez jeune et paniquée qui… finalement dévoila quelque chose de gros. J’avais très envie de cramer les Quartiers Militaires, d’un coup, mais je me contentai de grogner sans filtre : “Tiens, tiens, tiens… Surprenant ! Moi qui pensais que la Haute en avait quelque chose à foutre, de nous, pauvres et misérables plébéiens !”
Ne souhaitant pas déranger plus que ça les deux flics, je m’éloignai un peu pour me cramer une clope. J’étais tendu, et c’était encore une des rares merdes que je pouvais m’enfiler. Putain, je vous jure. Vivement qu'un type un peu foufou fasse un petit coucou à Tross au couteau, qu'on en finisse. ...Ouais, bon. J'étais un peu extrême. Mais qu'elle démissionne !
Alors que mon cerveau bouillonnait d’angoisses ainsi que d’envie de fuir et d’oublier tous mes tracas, j’entendis des miaulements aigus venant d’une plaque d'égout.
Chat.
J’avais un faible pour ces créatures à moustaches, alors je m’étais empressé de me diriger vers la source du bruit. Une sorte de petite boule grise avait été cachée là. Il devait avoir deux ou trois mois, pas plus. Il y avait de grandes chances qu'on l’ait placé là, caché, pour qu’il survive. Où était sa maman ? J’avais le cœur fendu rien que d’y penser. Mais sinon, à part ça… C’était un Miaouss ? Il était gris, comme ceux de Bedwyr. Mh… Nan. il avait pas du tout la même gueule qu’un Miaouss. Quoique, bébé comme ça, difficile de savoir.
C'est décidé, c’est mon chat, maintenant. Il était un peu craspouille, mais je le pris dans mes bras pour le rassurer. Je n’avais rien à bouffer pour lui, alors il allait devoir attendre le retour à la maison. …Si elle existe toujours. Oh merde, ma maison. Je commençais à stresser. J’allais peut-être être un des malchanceux à ne plus avoir de toit. Je jetai un rapide coup d’oeil aux infos sur mon holomontre, mais pour l’instant, mon quartier ne semblait pas avoir tant de dégâts que ça… Mais ne parlons pas trop vite !
Un peu moins râleur, je revins au niveau des autres, toujours avec dans mes bras le bébé Miaouss… Chacripan… Attendez, il avait des feuilles dans la fourrure ? C’était peut-être l’espèce dont Dahlia m’avait parlé y’a… déjà bien un an et demi. Poussacha, voilà ! J'étais chanceux, mais il avait une couleur bizarre. Je ne m'inquiétais pas trop, peut-être que c'était normal, pour les chatons.
“On fait quoi, du coup ? Si la police est en sous-nombre, peut-être demander de l’aide aux Victinis sur place, non ? Si vous en connaissez. J’sais bien qu’on les aime pas trop par ici, mais je pose l’idée là.”
En tout cas, j’allais devoir mettre les mains à la pâte. La soirée allait être longue et douloureuse. Remplie de haine pour l’énorme île-flottante, aussi. D’ailleurs, personne n’avait l’air de trouver ça chelou qu’elle flotte, mais bon, je devrais éviter d’avoir des pensées conspirationnistes, j’étais déjà assez rendu zinzin par les événements.
Salomon est en colère contre le gouvernement, la vie, la sociéter (faute orthographique volontaire). Alba démission, toussa.
Parti calmer sa névrose, il tombe sur un bébéChannabis Poussacha et décide l'adopter.
Ensuite il revient avec la bouboule de poils dans les bras, proposant aux flics de contacter les Victinis pour s'allier avec et sauver la ville. Sus, un peu mais tkt frère.
Au combat.
En stock.
Les pompiers voulaient m'ausculter, maintenant ? Je soupirais puis je levai le pouce en l’air pour signifier que je me sentais parfaitement bien. Enfin, sur le plan physique, hein. Le moral, bof, envie de caner, comme une fin d’après-midi où la ville était en train de se faire détruire. Le classique coup de mou de l’Apocalypse, on va dire !
“Occupez-vous de la daronne en prio’, je me gère.”
En même temps, vu tout ce que j’avais fumé dans ma vie, c’était pas un peu de fumée qui allait m’achever. Bref.
J’entendis quelques bribes de la conversation entre Sūrya et une policière assez jeune et paniquée qui… finalement dévoila quelque chose de gros. J’avais très envie de cramer les Quartiers Militaires, d’un coup, mais je me contentai de grogner sans filtre : “Tiens, tiens, tiens… Surprenant ! Moi qui pensais que la Haute en avait quelque chose à foutre, de nous, pauvres et misérables plébéiens !”
Ne souhaitant pas déranger plus que ça les deux flics, je m’éloignai un peu pour me cramer une clope. J’étais tendu, et c’était encore une des rares merdes que je pouvais m’enfiler. Putain, je vous jure. Vivement qu'un type un peu foufou fasse un petit coucou à Tross au couteau, qu'on en finisse. ...Ouais, bon. J'étais un peu extrême. Mais qu'elle démissionne !
Alors que mon cerveau bouillonnait d’angoisses ainsi que d’envie de fuir et d’oublier tous mes tracas, j’entendis des miaulements aigus venant d’une plaque d'égout.
Chat.
J’avais un faible pour ces créatures à moustaches, alors je m’étais empressé de me diriger vers la source du bruit. Une sorte de petite boule grise avait été cachée là. Il devait avoir deux ou trois mois, pas plus. Il y avait de grandes chances qu'on l’ait placé là, caché, pour qu’il survive. Où était sa maman ? J’avais le cœur fendu rien que d’y penser. Mais sinon, à part ça… C’était un Miaouss ? Il était gris, comme ceux de Bedwyr. Mh… Nan. il avait pas du tout la même gueule qu’un Miaouss. Quoique, bébé comme ça, difficile de savoir.
C'est décidé, c’est mon chat, maintenant. Il était un peu craspouille, mais je le pris dans mes bras pour le rassurer. Je n’avais rien à bouffer pour lui, alors il allait devoir attendre le retour à la maison. …Si elle existe toujours. Oh merde, ma maison. Je commençais à stresser. J’allais peut-être être un des malchanceux à ne plus avoir de toit. Je jetai un rapide coup d’oeil aux infos sur mon holomontre, mais pour l’instant, mon quartier ne semblait pas avoir tant de dégâts que ça… Mais ne parlons pas trop vite !
Un peu moins râleur, je revins au niveau des autres, toujours avec dans mes bras le bébé Miaouss… Chacripan… Attendez, il avait des feuilles dans la fourrure ? C’était peut-être l’espèce dont Dahlia m’avait parlé y’a… déjà bien un an et demi. Poussacha, voilà ! J'étais chanceux, mais il avait une couleur bizarre. Je ne m'inquiétais pas trop, peut-être que c'était normal, pour les chatons.
“On fait quoi, du coup ? Si la police est en sous-nombre, peut-être demander de l’aide aux Victinis sur place, non ? Si vous en connaissez. J’sais bien qu’on les aime pas trop par ici, mais je pose l’idée là.”
En tout cas, j’allais devoir mettre les mains à la pâte. La soirée allait être longue et douloureuse. Remplie de haine pour l’énorme île-flottante, aussi. D’ailleurs, personne n’avait l’air de trouver ça chelou qu’elle flotte, mais bon, je devrais éviter d’avoir des pensées conspirationnistes, j’étais déjà assez rendu zinzin par les événements.
Résumé :
Salomon est en colère contre le gouvernement, la vie, la sociéter (faute orthographique volontaire). Alba démission, toussa.
Parti calmer sa névrose, il tombe sur un bébé
Ensuite il revient avec la bouboule de poils dans les bras, proposant aux flics de contacter les Victinis pour s'allier avec et sauver la ville. Sus, un peu mais tkt frère.
Au combat.
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Sam 11 Nov - 18:19
[ Event 2 : Les portes du temps ]
Au bout de quelques essais, Lafcadio finit par se relever, en appui sur sa canne. Il s’accorde un instant de répit pour observer la situation ; la tension et l’adrénaline qui crispaient ses épaules se dissipent un peu à la vue des pompiers au loin. Ils vont pouvoir prendre le relais. Lev a beau leur avoir demandé d’aider ceux dans le besoin, à lui et aux autres membres au courant de l’opération, rien ne vaut mieux que l’intervention des pros.
Dans son conteneur, le Donphan-Chelou gronde et se débat, en vain. Malgré la satisfaction d’avoir réussi son coup, le quadra ressent une certaine gêne à l’idée d’avoir enfermé une bestiole dans un piège dont elle ne pourra pas ressortir seule. Une sorte de culpabilité, même. Il jette un coup d’œil, silencieux, à son Germéclat ; comme toujours, le pokémon lui renvoie un regard indéchiffrable. Lorsque Lafcadio s’approche du conteneur, enjambant et évitant les débris avec facilité, il est presque collé à la manche du manteau de son dresseur.
Le Roue-de-Fer rugit dans sa prison ; à cette distance, l’écho métallique assourdissant étouffe presque tous les autres bruits dans les oreilles de Lafcadio – même le son des pompiers au travail un peu plus loin. Il donne deux-trois petits coups de canne dans le conteneur à ordures, doucement, pour attirer l’attention du monstre sans l’enrager davantage. « Désolé de t’avoir mis là-dedans. Mais bon, tu m’as pas trop laissé le choix non plus... » Hors de question qu’il ressorte maintenant et prenne les secours pour cible. Le quadra sort de la poche de son trench de quoi noter l’adresse du bâtiment devant lequel a glissé le conteneur ; vu la situation, difficile de faire confiance à sa mémoire défaillante. « On reviendra te chercher, si t’es toujours là tout à l’heure. » On ? Il ignore franchement si, dans tout ce chaos, il aura l’occasion d’en informer qui que ce soit d’autre – il risque même plutôt de devoir se débrouiller tout seul, avec son pas-Donphan en conserve – mais dans l’immédiat, il a juste besoin de soulager sa conscience ; et la bête grogne un peu moins quand il part rejoindre le reste du groupe.
Humains, pokémons, ils sont plus nombreux désormais, et Lafcadio attrape en vol suffisamment de bribes d’information pour déduire les paroles de la jeune policière en panique. Évidemment que Trismegis empêcherait l’accès au cœur de la ville ; ils auraient trop à y perdre, là-haut. L’annonce est presque un soulagement, de son point de vue : tout ce monde qui s’affaire à protéger la Haute-Uthyrgham, c’est un danger en moins pour le reste de l’opération des Victinis.
Les Victinis, d’ailleurs, le type aux cheveux gris-verts de tout à l’heure – une espèce de matou poussiéreux dans les bras, maintenant – suggère de leur demander de l’aide. Lafcadio tourne son regard vers les pompiers en plein travail un peu plus loin.
« C’est pas une mauvaise idée, mais encore faut-il qu’ils soient assez nombreux pour pouvoir faire quelque chose. »
Dans son conteneur, le Donphan-Chelou gronde et se débat, en vain. Malgré la satisfaction d’avoir réussi son coup, le quadra ressent une certaine gêne à l’idée d’avoir enfermé une bestiole dans un piège dont elle ne pourra pas ressortir seule. Une sorte de culpabilité, même. Il jette un coup d’œil, silencieux, à son Germéclat ; comme toujours, le pokémon lui renvoie un regard indéchiffrable. Lorsque Lafcadio s’approche du conteneur, enjambant et évitant les débris avec facilité, il est presque collé à la manche du manteau de son dresseur.
Le Roue-de-Fer rugit dans sa prison ; à cette distance, l’écho métallique assourdissant étouffe presque tous les autres bruits dans les oreilles de Lafcadio – même le son des pompiers au travail un peu plus loin. Il donne deux-trois petits coups de canne dans le conteneur à ordures, doucement, pour attirer l’attention du monstre sans l’enrager davantage. « Désolé de t’avoir mis là-dedans. Mais bon, tu m’as pas trop laissé le choix non plus... » Hors de question qu’il ressorte maintenant et prenne les secours pour cible. Le quadra sort de la poche de son trench de quoi noter l’adresse du bâtiment devant lequel a glissé le conteneur ; vu la situation, difficile de faire confiance à sa mémoire défaillante. « On reviendra te chercher, si t’es toujours là tout à l’heure. » On ? Il ignore franchement si, dans tout ce chaos, il aura l’occasion d’en informer qui que ce soit d’autre – il risque même plutôt de devoir se débrouiller tout seul, avec son pas-Donphan en conserve – mais dans l’immédiat, il a juste besoin de soulager sa conscience ; et la bête grogne un peu moins quand il part rejoindre le reste du groupe.
Humains, pokémons, ils sont plus nombreux désormais, et Lafcadio attrape en vol suffisamment de bribes d’information pour déduire les paroles de la jeune policière en panique. Évidemment que Trismegis empêcherait l’accès au cœur de la ville ; ils auraient trop à y perdre, là-haut. L’annonce est presque un soulagement, de son point de vue : tout ce monde qui s’affaire à protéger la Haute-Uthyrgham, c’est un danger en moins pour le reste de l’opération des Victinis.
Les Victinis, d’ailleurs, le type aux cheveux gris-verts de tout à l’heure – une espèce de matou poussiéreux dans les bras, maintenant – suggère de leur demander de l’aide. Lafcadio tourne son regard vers les pompiers en plein travail un peu plus loin.
« C’est pas une mauvaise idée, mais encore faut-il qu’ils soient assez nombreux pour pouvoir faire quelque chose. »
ft. Sūrya, Salomon, Wolfy
Bedwyr
Bedwyr
Invité
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Lun 13 Nov - 16:23
Wolfy August a écrit:Les portes du temps ft goupe Feu Follet et Trismegis
Surya était venu le protéger. Il le gratifia d'un regard reconnaissant.
« Tu es sûr que ton Psykokwak va tenir le coup ?
-... je pense pas. ce sont des monstres en face. » Des créatures bien plus énormes que lui alors que son pokémon lui arrivait à peine aux genoux.
Il parti ensuite se cacher. Puis quand ils le purent, rejoignit les autres.
Un voile blanc dans son angle de vision lui fit tourner la tête à hauteur d'une ruelle. Un homme y etait allongé, écrasé et l'immobilité parfaite de la mort avait alourdi sa silhouette. Passé une seconde, deux secondes à le regarder ; il ne s'engagea pas dans la ruelle et parti rejoindre les autres. Les pompiers étaient là et UN seul flic.
"Comment ça c'est fermé."
Il leva la tête vers Surya. "Ou est ton équipe? Qu'est ce qu'ils foutent." questionna t il sans agacement palpable dans la voix.
Il écouta ensuite le jeune homme qui avec Surya au départ. il pouvait appeller les victinis?
"Je crois que ça va être nécessaire. Si je ne m'abuse, ils ont des pokémons eux." pafois il oubliait l'essentiel de comment fonctionnait le quotidien. Il y avait des trucs qu'il devait apprendre par coeur pour s'en souvenir. Lui il avait eut le droit a un pokémon car... un membre de l'organisation lui avait donné? Les Victinis en avaient aussi. Les autres rarement. Le pourquoi ne lui rentrait pas en tête. Son regard alternant entre l'argenté aux yeux verts et le type à la canne.
"oui... s'ils sont en sous nombre, on va les mettre en danger." précisa t il sur le ton de la conversation.
"Mais ils doivent bien être quelque part eux." vu que visiblement, l'armée était absente et ne comptait pas venir.
HRP /
XP :
1580
Sūrya Mirza
Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Jeu 16 Nov - 21:55
event 2
Surya avait choisi de faire confiance à Salomon et à Ecume – même si son serpent aquatique avait toujours des tendances impulsive, imprévisible, mais ça… autant ne pas le dire au fleuriste.
Et puis, le policier avait d’autre chose à se soucier. Wolfy, au moins, n’était pas déconnecté de la réalité au point de penser que son petit canard allait servir à quelque chose. D’ailleurs, bien que Surya lui ai dit de partir, le Mateloutre récupéré précédemment semblait vouloir les aider… Léger soupir de la part du brun, mais il ne comptait pas empêcher le type eau de se battre.
Finalement, la situation autour du petit groupe s’était retrouvé plus stable après quelques instants. Reprenant un air stoïque, Surya s’approcha de sa collègue. « Tout va bien. » Par contre, ça ne semblait pas aller aussi bien pour elle : en l’attente d’une réponse, le champion la fixa, ce qui devait être particulièrement… stressant.
Puis, son air se fit plus sombre. L’armée n’allait pas venir, alors ? Est-ce que ses doutes étaient finalement réalité ? Est-ce que c’était prévu depuis le début ?
Milles interrogations naissaient en lui. Milles doutes envers cette Organisation qu’il avait toujours placé sur un piédestal, à laquelle il avait dédiée sa vie.
Il se mordit la lèvre. « … On va se débrouiller sans eux. » Des explications, ils en auraient plus tard : en tout cas, le policier l’espérait très fort. Il lança un regard assez froid vers Salomon, lui faisant comprendre que ce n’était pas le moment d’en rajouter une couche.
Voyant Salomon faire, il sortit une cigarette de son paquet pour se trouver une source de détente. Il en avait bein besoin. Wolfy repris ensuite la parole en sa direction. Soupirant doucement, d’un geste, le champion rappella son Milobellus à ses côtés.
Les Victinis… il lança un regard plus suspicieux qu’il ne le voulait envers Salomon. Est-ce qu’il faisait parti de ce groupe ? Désormais, il avait de fort doute. Mais ce n’était pas le moment de laisser une interrogation de plus occuper son esprit.
« … Je suppose qu’on ne va pas avoir le choix. L’un d’entre vous à t-il des connaissances Victinis ? Je suppose qu’ils ne seront pas très ouverts à la parole, si un policier s’approche d’eux. » Oui, et puis, il ne voulait peut-être pas forcément s’entretenir avec, d’ailleurs…
« Je vais m’éloigner un peu pour faire le tour des environs. Et tenter de trouver des rescapés. » Avec lui, il garda son Pingéleon, et le Mateloutre qui n’avait décidémment pas envie de le lâcher…
« Je laisse mon Milobellus avec vous, au cas-où. » Puis, pas comme si le serpent était très agile pour se déplacer au sol.
Et puis, le policier avait d’autre chose à se soucier. Wolfy, au moins, n’était pas déconnecté de la réalité au point de penser que son petit canard allait servir à quelque chose. D’ailleurs, bien que Surya lui ai dit de partir, le Mateloutre récupéré précédemment semblait vouloir les aider… Léger soupir de la part du brun, mais il ne comptait pas empêcher le type eau de se battre.
Finalement, la situation autour du petit groupe s’était retrouvé plus stable après quelques instants. Reprenant un air stoïque, Surya s’approcha de sa collègue. « Tout va bien. » Par contre, ça ne semblait pas aller aussi bien pour elle : en l’attente d’une réponse, le champion la fixa, ce qui devait être particulièrement… stressant.
Puis, son air se fit plus sombre. L’armée n’allait pas venir, alors ? Est-ce que ses doutes étaient finalement réalité ? Est-ce que c’était prévu depuis le début ?
Milles interrogations naissaient en lui. Milles doutes envers cette Organisation qu’il avait toujours placé sur un piédestal, à laquelle il avait dédiée sa vie.
Il se mordit la lèvre. « … On va se débrouiller sans eux. » Des explications, ils en auraient plus tard : en tout cas, le policier l’espérait très fort. Il lança un regard assez froid vers Salomon, lui faisant comprendre que ce n’était pas le moment d’en rajouter une couche.
Voyant Salomon faire, il sortit une cigarette de son paquet pour se trouver une source de détente. Il en avait bein besoin. Wolfy repris ensuite la parole en sa direction. Soupirant doucement, d’un geste, le champion rappella son Milobellus à ses côtés.
Les Victinis… il lança un regard plus suspicieux qu’il ne le voulait envers Salomon. Est-ce qu’il faisait parti de ce groupe ? Désormais, il avait de fort doute. Mais ce n’était pas le moment de laisser une interrogation de plus occuper son esprit.
« … Je suppose qu’on ne va pas avoir le choix. L’un d’entre vous à t-il des connaissances Victinis ? Je suppose qu’ils ne seront pas très ouverts à la parole, si un policier s’approche d’eux. » Oui, et puis, il ne voulait peut-être pas forcément s’entretenir avec, d’ailleurs…
« Je vais m’éloigner un peu pour faire le tour des environs. Et tenter de trouver des rescapés. » Avec lui, il garda son Pingéleon, et le Mateloutre qui n’avait décidémment pas envie de le lâcher…
« Je laisse mon Milobellus avec vous, au cas-où. » Puis, pas comme si le serpent était très agile pour se déplacer au sol.
HRP blablablablabla
nenuphar
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Aléas
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Ven 17 Nov - 9:52
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
La situation est apaisée dans la Basse-Uthyrgham, grâce à vos efforts combinés à ceux de puissants dresseurs dans la Banlieue aux côtés de Lev. Pour autant, il est possible que des personnes blessées à proximité nécessitent votre aide ! Les pompiers, la police, ainsi que les sauveteurs sont par contre débordés par la situation et peinent à évacuer les blessés. Après tout, l’Hôpital est sur la Haute-Uthyrgham, et les cliniques de la ville basse ne pourront pas accueillir tout le monde…
La policière reprit son calme, bien que largement débordée par la situation, alors qu’elle n’était qu’une novice. Elle avait pourtant décidé de prendre une initiative.
“Je vais établir une infirmerie éphémère et accueillir les blessés du quartier. J’ai réussi à contacter une médecin et un infirmier, ils devraient débarquer très rapidement. Bon courage à vous ! “
Elle quitta le groupe pour rejoindre les pompiers sur place et y établir son campement médical de bric et de broc. Elle faisait aussi de son mieux pour faire en sorte que la police et les services d’urgence soient déployés un peu partout.
Il ne semble plus vraiment y avoir de Pokémons Paradoxes dans le coin, pour l’instant. Il n’est cependant pas exclus que d’autres surviennent, s’ils réussissent à s’échapper des radars de Lev Adé, dans la Banlieue.
Par contre, gardez un œil sur la poubelle contenant le Roue-de-Fer, elle semble très agitée depuis cinq minutes...
(Comme pour le Groupe Neutre de la Banlieue, soyez libres de prendre des initiatives ! Si vous avez un doute, n'hésitez pas à en discuter !)
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1870
Salomon Strueux
Fleuriste
Ven 17 Nov - 9:59
Les Portes du
Temps.
Temps.
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
Je répondis en premier lieu au quadragénaire du groupe : “Faudrait trouver le moyen de contacter un Victini qui puisse faire passer un message à tout un réseau. Je connais un type ou deux qui ont un large réseau, mais bien évidemment, ils sont hors-ligne !”
Bingo était hors ligne. Lilium aussi. Puis le type chelou qui m’avait envoyé un SMS dès que j’avais rejoint le groupe, idem. Ils étaient en réunion importante, les autres Victini, ou quoi ? Et je n’étais évidemment jamais au courant de ce qu’il se passait. Pas que je m’y intéresse beaucoup, en même temps.
Ce n’était pas vraiment le moment pour un petit coming-out surprise du genre : “Chéri, je suis un Victini, en fait.” Vraiment pas le moment. Après, je comprendrais qu’il ait des doutes, vu comme j’avais posé l’idée d’instinct sans aucune hésitation. Mais je n’allais pas me trahir pour autant.
“Les seuls que je connais sont pas forcément à Bedwyr, ça va être compliqué. Aussi, techniquement, c’est pas illégal d’être en désaccord avec une femme politique qui vient littéralement de nous fermer la ville haute à la gueule. J’serais Victini, une alliance provisoire me paraîtrait pas déconnante. Même si je déteste la maréchaussée~” Petite pique pour détendre l'atmosphère. Sūrya avait l’habitude, de toute façon.
J’étais toujours à scruter les réseaux sociaux, sait-on jamais que mon quartier explose. Visiblement la situation commençait à s’apaiser de ce côté-là. Lev Adé y était ? Ah, bon. Je savais pas qu’il traînait à Bedwyr, celui-là. Si ça se trouve, une mini révolution était en cours, aujourd’hui, et je n’étais pas au courant. En espérant que le Groupe ne soit pas responsable du troupeau de Roue-de-Fer, sinon je quitte direct.
“Le Lev a l’air de gérer la situation dans la Banlieue avec… Oh, y’a une de mes potes là-bas. Pas vue depuis une bonne année, je vais croiser les doigts qu’elle clamse pas, ça serait con.”
J'allais lui envoyer un SMS dès que ce bordel serait fini. Dahlia, une des rares personnes à qui je m’étais ouvert sur un moment de faiblesse. C’était un peu la honte, quand même, mais on va dire que les problèmes familiaux, ça rapproche.
“Ouais, t'inquiète, on surveille ton poisson et ton petit-frère.”, plaisantais-je encore en faisant allusion au regard protecteur que Sūrya avait eu sur Wolfy.
Et une fois que les deux policiers furent assez loin, je me permis de reprendre la parole, un peu plus sérieusement, en lançant un regard un peu hésitant au plus jeune du groupe. Autant, ça crevait presque les yeux que le type à la canne n’était pas un grand fan du gouvernement, mais pour l’autre ? Bon, autant se lancer quand même.
“Profitons de cet instant loin des forces de l’ordre, donc… Si l’un de vous est un Victini, c’est le moment où jamais de lancer l’alerte. Je dirais rien à la police, promis juré~”
J’avais surtout lancé ça au principal intéressé. De mon côté, j’écumais les groupes de discussion d’AhoView. J’avais même fini par poster quelque chose en désespoir de cause, depuis mon compte anonyme : “TRISMEGIS ABANDONNE LA VILLE-BASSE D’UTHYRGHAM PRISE D’ASSAUT PAR LES PARADOXES ! Elle ne viendra pas sauver la ville. Besoin de RENFORTS ! Présence de DRESSEURS et du GROUPE VICTINI fortement sollicitée !!!”
“J’ai lancé une alerte, à l’instant. Même si la situation est stabilisée, à priori, y’a toujours des gens à secourir, même si on est pas payés pour ça. Pas trop le moment d’être un rat, j’ai envie de dire…”
Au combat.
En stock.
Bingo était hors ligne. Lilium aussi. Puis le type chelou qui m’avait envoyé un SMS dès que j’avais rejoint le groupe, idem. Ils étaient en réunion importante, les autres Victini, ou quoi ? Et je n’étais évidemment jamais au courant de ce qu’il se passait. Pas que je m’y intéresse beaucoup, en même temps.
Ce n’était pas vraiment le moment pour un petit coming-out surprise du genre : “Chéri, je suis un Victini, en fait.” Vraiment pas le moment. Après, je comprendrais qu’il ait des doutes, vu comme j’avais posé l’idée d’instinct sans aucune hésitation. Mais je n’allais pas me trahir pour autant.
“Les seuls que je connais sont pas forcément à Bedwyr, ça va être compliqué. Aussi, techniquement, c’est pas illégal d’être en désaccord avec une femme politique qui vient littéralement de nous fermer la ville haute à la gueule. J’serais Victini, une alliance provisoire me paraîtrait pas déconnante. Même si je déteste la maréchaussée~” Petite pique pour détendre l'atmosphère. Sūrya avait l’habitude, de toute façon.
J’étais toujours à scruter les réseaux sociaux, sait-on jamais que mon quartier explose. Visiblement la situation commençait à s’apaiser de ce côté-là. Lev Adé y était ? Ah, bon. Je savais pas qu’il traînait à Bedwyr, celui-là. Si ça se trouve, une mini révolution était en cours, aujourd’hui, et je n’étais pas au courant. En espérant que le Groupe ne soit pas responsable du troupeau de Roue-de-Fer, sinon je quitte direct.
“Le Lev a l’air de gérer la situation dans la Banlieue avec… Oh, y’a une de mes potes là-bas. Pas vue depuis une bonne année, je vais croiser les doigts qu’elle clamse pas, ça serait con.”
J'allais lui envoyer un SMS dès que ce bordel serait fini. Dahlia, une des rares personnes à qui je m’étais ouvert sur un moment de faiblesse. C’était un peu la honte, quand même, mais on va dire que les problèmes familiaux, ça rapproche.
“Ouais, t'inquiète, on surveille ton poisson et ton petit-frère.”, plaisantais-je encore en faisant allusion au regard protecteur que Sūrya avait eu sur Wolfy.
Et une fois que les deux policiers furent assez loin, je me permis de reprendre la parole, un peu plus sérieusement, en lançant un regard un peu hésitant au plus jeune du groupe. Autant, ça crevait presque les yeux que le type à la canne n’était pas un grand fan du gouvernement, mais pour l’autre ? Bon, autant se lancer quand même.
“Profitons de cet instant loin des forces de l’ordre, donc… Si l’un de vous est un Victini, c’est le moment où jamais de lancer l’alerte. Je dirais rien à la police, promis juré~”
J’avais surtout lancé ça au principal intéressé. De mon côté, j’écumais les groupes de discussion d’AhoView. J’avais même fini par poster quelque chose en désespoir de cause, depuis mon compte anonyme : “TRISMEGIS ABANDONNE LA VILLE-BASSE D’UTHYRGHAM PRISE D’ASSAUT PAR LES PARADOXES ! Elle ne viendra pas sauver la ville. Besoin de RENFORTS ! Présence de DRESSEURS et du GROUPE VICTINI fortement sollicitée !!!”
“J’ai lancé une alerte, à l’instant. Même si la situation est stabilisée, à priori, y’a toujours des gens à secourir, même si on est pas payés pour ça. Pas trop le moment d’être un rat, j’ai envie de dire…”
Résumé :
Au combat.
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Ce membre a raté 3 lancers sur le même Pokémon. Pas de bol.
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Lun 20 Nov - 23:52
[ Event 2 : Les portes du temps ]
Machinalement, il acquiesce en réponse au commentaire du jeune dresseur de Psykokwak. En sous-nombre, oui, c’est bien ce qu’ils sont. Une partie des Victinis assez débrouillards pour s’en sortir dans un tel bazar est prise par l’opération ; et les autres de Bedwyr, ils sont sûrement déjà dans la rue à l’heure qu’il est. Lafcadio grimace.
Une fois que le policier s’est détaché du reste du groupe, le type qui grimpe aux murs – le plus extraverti des quatre, et de loin – ne perd pas une minute pour afficher sa couleur. Il leur tend même la perche tout en pianotant à la recherche d’infos supplémentaires. Lafcadio jette un rapide coup d’œil au plus jeune d’entre eux, puis au pokémon reptilien qui les observe froidement, avant de se décider à répondre au camarade Victini, un petit rictus au coin des lèvres. Peu importe l’interlocuteur, il n’a jamais caché son appartenance, après tout.
« Hmm. Effectivement, c’est pas illégal d’être en désaccord avec une certaine personne. Pas encore, en tout cas. » Il sort de la poche intérieure de son trench un smartphone, ces vieux trucs qui étaient à la mode avant que les montres connectées ne deviennent la norme, et commence à tapoter l’écran. « C’est bien d’avoir lancé un appel à l’aide, mais te fais pas trop d'espoirs. Je peux pas faire grand-chose de mieux non plus, d'ailleurs... Ce sera déjà pas mal si un ou deux membres se déplacent jusqu'ici. »
Sur un groupe de discussion, certains des volontaires à la réunion pour assister Lev échangent depuis cinq minutes. Haute-Uthyrgham fermée, Paradoxes plus ou moins sous contrôle, pas de nouvelles du reste de l’opération… Rien d’utile. Lafcadio répond par un simple idem avant d’échanger le smartphone pour la plaquette d’anti-douleurs qu’il garde en permanence à portée de main.
« C’est en effet pas le moment de s’abaisser au niveau de Trismegis. Si l’Adé est toujours en banlieue, autant se concentrer sur ce qu’on peut faire ici. » Il avale trois minuscules cachets d’un coup, pomme d’adam proéminente en l’absence d’eau pour déglutir. Foutu genou. Sa main libre serre un peu plus fort la poignée de sa canne.
« On devrait se partager la zone pour ramener les blessés à la flic. Plus efficace que de rester tous ensemble. »
Une fois que le policier s’est détaché du reste du groupe, le type qui grimpe aux murs – le plus extraverti des quatre, et de loin – ne perd pas une minute pour afficher sa couleur. Il leur tend même la perche tout en pianotant à la recherche d’infos supplémentaires. Lafcadio jette un rapide coup d’œil au plus jeune d’entre eux, puis au pokémon reptilien qui les observe froidement, avant de se décider à répondre au camarade Victini, un petit rictus au coin des lèvres. Peu importe l’interlocuteur, il n’a jamais caché son appartenance, après tout.
« Hmm. Effectivement, c’est pas illégal d’être en désaccord avec une certaine personne. Pas encore, en tout cas. » Il sort de la poche intérieure de son trench un smartphone, ces vieux trucs qui étaient à la mode avant que les montres connectées ne deviennent la norme, et commence à tapoter l’écran. « C’est bien d’avoir lancé un appel à l’aide, mais te fais pas trop d'espoirs. Je peux pas faire grand-chose de mieux non plus, d'ailleurs... Ce sera déjà pas mal si un ou deux membres se déplacent jusqu'ici. »
Sur un groupe de discussion, certains des volontaires à la réunion pour assister Lev échangent depuis cinq minutes. Haute-Uthyrgham fermée, Paradoxes plus ou moins sous contrôle, pas de nouvelles du reste de l’opération… Rien d’utile. Lafcadio répond par un simple idem avant d’échanger le smartphone pour la plaquette d’anti-douleurs qu’il garde en permanence à portée de main.
« C’est en effet pas le moment de s’abaisser au niveau de Trismegis. Si l’Adé est toujours en banlieue, autant se concentrer sur ce qu’on peut faire ici. » Il avale trois minuscules cachets d’un coup, pomme d’adam proéminente en l’absence d’eau pour déglutir. Foutu genou. Sa main libre serre un peu plus fort la poignée de sa canne.
« On devrait se partager la zone pour ramener les blessés à la flic. Plus efficace que de rester tous ensemble. »
ft. Sūrya, Salomon, Wolfy
Bedwyr
Bedwyr
Invité
Invité
Ven 24 Nov - 19:53
[quote="Wolfy August"][quote="Wolfy August"]
L'argenté suivi attentivement bien que silencieusement les conversations. Lui il appellait en boucle son voisin du dessous. Un flic blond de haute uthyrgram. Vu le mec louche avec qui il vivait. Ce ne devait pas être un flic très très pointilleux des règles. Mais il ne répondait pas. Pas plus que les autres policiers, ni l'armée, ni les connaissances Victinis. Personne ne répondait visiblement.
Il regarda Surya, un peu interloqué en le voyant s'éloigner. Ok donc la tension entre un groupe supposé relativement légal et la police était telle que... les victinis les laisseraient crever s'il y a un flic dans le lot?
ça semblait pas très légal au final comme activité.
"OULAA!!" dit il en voyant la poubelle commencer à sautiller sur place. "Entrave le!! Dès qu'il fait un truc." ordonna t il en reculant, désignant vivement à plusieurs reprises la poubelle de la main.
Il écouta ensuite le plan pour aider à sauver les blessers.
"Ouais." autant c'etait plus efficace pour retrouver des gens... Mais c'était plus efficace pour mourir aussi. Il posa les yeux sur la canne du type. Ce n'était pas lui qui allait cavaler dans la rue.
"Je veux bien refaire un tour. Kwak sent quand les gens souffrent. Enfin... normalement. Vous me filez votre numéro de téléphone? Je vais mettre des balises gps et vous envoyer les coordonnees par message" Il jeta un coup d'oeil au type gris aux yeux verts que l'avait invité de base à venir, l'invitant silencieusement a quadriller la zone avec lui. Avec ces espèces de monstres là, il n'avait pas vraiment envie de se retrouver seul avec son canard.
Bon... quand il fallait y aller, fallait y aller.
"Vas y, cherche les détresse psychiques, je te suis." il partit au pas de course avec son canard. Il repassa devant la ruelle où il y avait le mec mort. Et si... et si il y avait d'autres personnes autour? Ou d'autres batiments effondrés? Sans doute la faute du lézard de fer géant.
Il rentra dans la ruelle en longeant les murs.
Il regarda en haut, en bas, à gauche, a droite. Il souffla profondément. Aller, il fila le long du batiment. Visiblement, la queue du monstre avait fait s'effondrer une partie de la façade.
"KWAK" le garçon se colla au mur. Plus il se mit a quatres pattes, essayant d'etre le plus discret possible, il avança dans les décombres de l'immeuble. "Tu es sûr qu'il y a quelqu'un?" Ok! Petit texto aux alliés et Il commença a retirer précautionneusement des bouts des betons.
HRP Psykokwak utilise entrave x2 sur le roue de fer
Les portes du temps ft goupe Feu Follet et Trismegis
L'argenté suivi attentivement bien que silencieusement les conversations. Lui il appellait en boucle son voisin du dessous. Un flic blond de haute uthyrgram. Vu le mec louche avec qui il vivait. Ce ne devait pas être un flic très très pointilleux des règles. Mais il ne répondait pas. Pas plus que les autres policiers, ni l'armée, ni les connaissances Victinis. Personne ne répondait visiblement.
Il regarda Surya, un peu interloqué en le voyant s'éloigner. Ok donc la tension entre un groupe supposé relativement légal et la police était telle que... les victinis les laisseraient crever s'il y a un flic dans le lot?
ça semblait pas très légal au final comme activité.
"OULAA!!" dit il en voyant la poubelle commencer à sautiller sur place. "Entrave le!! Dès qu'il fait un truc." ordonna t il en reculant, désignant vivement à plusieurs reprises la poubelle de la main.
Il écouta ensuite le plan pour aider à sauver les blessers.
"Ouais." autant c'etait plus efficace pour retrouver des gens... Mais c'était plus efficace pour mourir aussi. Il posa les yeux sur la canne du type. Ce n'était pas lui qui allait cavaler dans la rue.
"Je veux bien refaire un tour. Kwak sent quand les gens souffrent. Enfin... normalement. Vous me filez votre numéro de téléphone? Je vais mettre des balises gps et vous envoyer les coordonnees par message" Il jeta un coup d'oeil au type gris aux yeux verts que l'avait invité de base à venir, l'invitant silencieusement a quadriller la zone avec lui. Avec ces espèces de monstres là, il n'avait pas vraiment envie de se retrouver seul avec son canard.
Bon... quand il fallait y aller, fallait y aller.
"Vas y, cherche les détresse psychiques, je te suis." il partit au pas de course avec son canard. Il repassa devant la ruelle où il y avait le mec mort. Et si... et si il y avait d'autres personnes autour? Ou d'autres batiments effondrés? Sans doute la faute du lézard de fer géant.
Il rentra dans la ruelle en longeant les murs.
Il regarda en haut, en bas, à gauche, a droite. Il souffla profondément. Aller, il fila le long du batiment. Visiblement, la queue du monstre avait fait s'effondrer une partie de la façade.
"KWAK" le garçon se colla au mur. Plus il se mit a quatres pattes, essayant d'etre le plus discret possible, il avança dans les décombres de l'immeuble. "Tu es sûr qu'il y a quelqu'un?" Ok! Petit texto aux alliés et Il commença a retirer précautionneusement des bouts des betons.
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Sūrya Mirza
Champion de Bedwyr | Inspecteur de Police
Lun 4 Déc - 2:31
event 2
Surya fut rassuré de voir que, au moins, la policière avait rapidement repris un semblant de calme. Alors, il répondait d’un simple hochement de tête. Il n’avait pas le temps de faire la conversation – pas comme s’il y tenait vraiment, de toute façon.
Néanmoins, il ne pouvait s’empêcher d’être suspicieux envers Salomon : oui, même si encore une fois, ce n’était pas le moment, ils allaient devoir avoir une petite conversation.
« …Et vous êtes sûrs qu’ils vont vraiment pouvoir nous aider ? » S’il n’était plus vraiment totalement fan de l’Organisation, ce n’était pas pour autant qu’il faisait confiance au Victini. Bref, de tout façon, il s’était finalement éloigné, laissant son Milobellus veillait sur le rôle – et ignorant, par la même occasion, le commentaire du fleuriste.
En passant, il lança un regard vers le Paradoxe enfermé dans une poubelle : il leur faisait confiance pour au moins gérer ça. Puis, le policier partit de son côté, quadrillant les lieux.
Tout était si… détruit. La ville avait été ravagée. La basse-ville, plus précisément. Néanmoins, rien ne semblait vraiment déranger l’ordre de nouveau. Toujours sur ses gardes, il regardait tout de même sa montre, un soupir franchissant ses lèvres. La tournure des événements lui laissait un goût amer. Il allait devoir chercher des réponses, car il savait que l’organisation ne lui donnerait pas.
Après quelques minutes de rondes, il revint vers le groupe. Il restait cependant plutôt distant, n’ajoutant que quelques mots à l’attention des autres. « Je n’ai pas trouvé d’autre Paradoxe. »
Puis, il regarda à droite, puis à gauche. « Wolfy n’est pas avec vous ? » Est-ce qu’ils l’avaient laisser filer aussi simplement ? Comme si un simple Psykokwak allait vraiment le protéger.
Soupirant, une fois de plus, le policier s’avança vers la ruelle, y entendant du bruit. Il avait un peu trop l’impression d’être baby-sitter, parfois.
« Wolfy ? Tu es là ? Tu as trouvé quelque chose ? »
Néanmoins, il ne pouvait s’empêcher d’être suspicieux envers Salomon : oui, même si encore une fois, ce n’était pas le moment, ils allaient devoir avoir une petite conversation.
« …Et vous êtes sûrs qu’ils vont vraiment pouvoir nous aider ? » S’il n’était plus vraiment totalement fan de l’Organisation, ce n’était pas pour autant qu’il faisait confiance au Victini. Bref, de tout façon, il s’était finalement éloigné, laissant son Milobellus veillait sur le rôle – et ignorant, par la même occasion, le commentaire du fleuriste.
En passant, il lança un regard vers le Paradoxe enfermé dans une poubelle : il leur faisait confiance pour au moins gérer ça. Puis, le policier partit de son côté, quadrillant les lieux.
Tout était si… détruit. La ville avait été ravagée. La basse-ville, plus précisément. Néanmoins, rien ne semblait vraiment déranger l’ordre de nouveau. Toujours sur ses gardes, il regardait tout de même sa montre, un soupir franchissant ses lèvres. La tournure des événements lui laissait un goût amer. Il allait devoir chercher des réponses, car il savait que l’organisation ne lui donnerait pas.
Après quelques minutes de rondes, il revint vers le groupe. Il restait cependant plutôt distant, n’ajoutant que quelques mots à l’attention des autres. « Je n’ai pas trouvé d’autre Paradoxe. »
Puis, il regarda à droite, puis à gauche. « Wolfy n’est pas avec vous ? » Est-ce qu’ils l’avaient laisser filer aussi simplement ? Comme si un simple Psykokwak allait vraiment le protéger.
Soupirant, une fois de plus, le policier s’avança vers la ruelle, y entendant du bruit. Il avait un peu trop l’impression d’être baby-sitter, parfois.
« Wolfy ? Tu es là ? Tu as trouvé quelque chose ? »
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nenuphar
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Mar 5 Déc - 17:59
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
La situation s’est nettement calmée dans la Basse-Uthyrgham, où les Paradoxes semblent tous sous contrôle ou presque. Vous apprenez via les réseaux sociaux - si vous avez le nez dedans - qu’il en est de même dans les Banlieues, même si les dégâts matériels et humains sont considérables.
Depuis les haut-parleurs de la ville encore fonctionnels, une intervention en direct très rapide d’un porte-parole d’Alba Tross annonce avec froideur - et sans réellement d’émotion, comme s’il n’avait pas conscience des réels dégâts causés dans la ville-basse - que les communications reviendront d’ici deux heures, avec des renforts pour les blessés.
Du côté de Wolfy et de son Psykokwak, il y a effectivement une personne d’une petite vingtaine d’années qui se trouve sous les décombres et qui pleure et peine à respirer. Grâce aux efforts du jeune homme, cette personne parvient à retrouver un peu d’air et à s’extirper peu à peu des décombres. Elle a quelques côtes fêlées et blessures, mais parvient à bouger. Elle est parfaitement consciente, mais en état de choc
Quant au côté de la poubelle très agitée dans laquelle pestait une Roue-de-Fer très en colère… Le couvercle venait tout juste de sauter. Oups ?
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Salomon Strueux
Fleuriste
Mar 5 Déc - 18:38
Les Portes du
Temps.
Temps.
Event 2- Groupe Neutre 2 | Basse-Uthyrgham
Le policier semblait assez suspicieux, lorsque j’avais évoqué l’aide des Victinis. Je me sentais obligé de répondre un truc, même si ça me rendait un peu suspect. Au pire, fallait bien qu’il apprenne un jour que je m’étais associé avec le Groupe. C’était pas un mal, tant que je touchais pas à l’illégal.
“Bah, ça dépend. Certains sont plus fiables que d’autres. On a surtout besoin de bras, et comme c’est des bénévoles…” Un peu nul comme excuse pour penser en premier aux Victinis plutôt qu’aux médecins secouristes. “Au pire ils pourront toujours balancer des bombes sur les méchants Paradoxes, pour les plus extrêmes. Comme ça, ça fera le ménage.”
Pas très drôle, mais j’aimais bien provoquer, comme toujours. Bref, il était parti, après tout ça. De quoi délier un peu mieux ma langue et était déjà très déliée habituellement.
Le quarantenaire ne portrait pas non plus Tross dans son cœur, tiens donc~ Normal, d’autant plus que j’avais carrément cramé qu’il faisait partie du Groupe. J’observais avec compassion son smartphone. J’avais également un vieux smartphone jusqu’à très récemment, par manque de moyen d’acheter une holomontre. C’était sans doute différent pour lui. Peut-être qu’il était juste attaché aux anciens gadgets, mais je trouvais ça assez rigolo pour le noter.
“C’est un peu un appel désespéré, mais si ça peut en ramener quelques-uns qui traînent non loin de la ville, on va pas cracher dessus. Même si c’est surtout la Banlieue qui s’en est pris plein la gueule. Comme d’hab’, quoi.”
Je jetai toujours des coups d'œil, des fois que des Paradoxes surprises émergent de n’importe où. Genre des plaques d'égouts, des décombres, ou de n’importe où d’improbable. J’étais un peu moins rassuré depuis que Sūrya était parti, mais j’avais son Milobellus, ce qui était pas dégueu. Un poisson de garde, c’était pas commun, ça…
“Je reste ici, je sens que la boîte de conserve est très malveillante, vue comme la poubelle gigote.” Une excuse pour pas bouger mes fesses, surtout. “J’aiderai la flic, aussi, si elle a besoin ! Je suis sûr que je ferai un excellent soignant.”
Si ça sonnait faux dans mes propres oreilles, c’était normal, parce que j'avais très peur de faire n’importe quoi, si je touchais une plaie. Je me rappelais de mon bandage à base de chaussettes de la première attaque de Paradoxe et… Voilà, quoi. Les moyens du bord.
“Ouais, je te donne mon num’, hésite pas si besoin, j’enverrai un de mes Pokémons ! Et quand ça sera fini, tu m'expliqueras ta relation avec Sūrya, je suis très curieux~”, avais-je répondu au plus jeune en lui citant mon numéro juste ensuite. C'était peut-être son petit-frère adoptif ou un cousin, ou je ne sais quoi. Pas biologique, mais les liens du sang, des fois, on s'en fout. Si son “Kwak” sentait les détresses psychiques, il devait certainement être attiré par ma propre condition, mais ce n'était pas le moment de plaisanter.
Le couvercle de la poubelle venait de sauter. Merde. Le pneu éléphantesque allait encore nous les briser, et j’avais clairement envie de fumer ma clope dans le plus grand des calmes. Profitant du fait que le Donphan du tur-fu galère à s’extirper du contenant, j’avançai d’un pas saoulé avec mon Cacturne vers l’ennemi. Et lorsque je fus assez proche, le bestiau grogna d’un son insupportable auquel je répondis un très classe : “Rah, ta gueule, toi !” en lui lançant une pierre dans la gueule. Puis… Peyotl se chargea du reste pour une capacité combat, le laissant définitivement K.O., puisqu’il était déjà bien endommagé au préalable.
Refermant la poubelle en remplaçant le lourd couvercle - en galérant - je me retournai et aperçus que Sūrya était de retour. Il avait dû voir la scène, ce qui n'était pas très glorieux, mais… Tant pis~
“Alors, euh… Il est parti chercher des gens à sauver, mais on a ses coordonnées, t’inquiète. On gère. On est des super nounous.”, répondis-je en faisant un V avec mes doigts, peut-être légèrement pris d’un sentiment de culpabilité, même si Wolfy avait l’air d’avoir le même âge que moi, Sūrya avait l’air de le considérer comme un adolescent incapable de se démerder. Bizarre, cette histoire. “Il vient de nous envoyer un SMS commun, tu peux aller le chercher, si ça t’inquiète. Il est adulte, tu devrais pas t'en faire, y’a plus aucune menace.”
Vendetta dans le Roue-de-Fer.
En stock.
“Bah, ça dépend. Certains sont plus fiables que d’autres. On a surtout besoin de bras, et comme c’est des bénévoles…” Un peu nul comme excuse pour penser en premier aux Victinis plutôt qu’aux médecins secouristes. “Au pire ils pourront toujours balancer des bombes sur les méchants Paradoxes, pour les plus extrêmes. Comme ça, ça fera le ménage.”
Pas très drôle, mais j’aimais bien provoquer, comme toujours. Bref, il était parti, après tout ça. De quoi délier un peu mieux ma langue et était déjà très déliée habituellement.
Le quarantenaire ne portrait pas non plus Tross dans son cœur, tiens donc~ Normal, d’autant plus que j’avais carrément cramé qu’il faisait partie du Groupe. J’observais avec compassion son smartphone. J’avais également un vieux smartphone jusqu’à très récemment, par manque de moyen d’acheter une holomontre. C’était sans doute différent pour lui. Peut-être qu’il était juste attaché aux anciens gadgets, mais je trouvais ça assez rigolo pour le noter.
“C’est un peu un appel désespéré, mais si ça peut en ramener quelques-uns qui traînent non loin de la ville, on va pas cracher dessus. Même si c’est surtout la Banlieue qui s’en est pris plein la gueule. Comme d’hab’, quoi.”
Je jetai toujours des coups d'œil, des fois que des Paradoxes surprises émergent de n’importe où. Genre des plaques d'égouts, des décombres, ou de n’importe où d’improbable. J’étais un peu moins rassuré depuis que Sūrya était parti, mais j’avais son Milobellus, ce qui était pas dégueu. Un poisson de garde, c’était pas commun, ça…
“Je reste ici, je sens que la boîte de conserve est très malveillante, vue comme la poubelle gigote.” Une excuse pour pas bouger mes fesses, surtout. “J’aiderai la flic, aussi, si elle a besoin ! Je suis sûr que je ferai un excellent soignant.”
Si ça sonnait faux dans mes propres oreilles, c’était normal, parce que j'avais très peur de faire n’importe quoi, si je touchais une plaie. Je me rappelais de mon bandage à base de chaussettes de la première attaque de Paradoxe et… Voilà, quoi. Les moyens du bord.
“Ouais, je te donne mon num’, hésite pas si besoin, j’enverrai un de mes Pokémons ! Et quand ça sera fini, tu m'expliqueras ta relation avec Sūrya, je suis très curieux~”, avais-je répondu au plus jeune en lui citant mon numéro juste ensuite. C'était peut-être son petit-frère adoptif ou un cousin, ou je ne sais quoi. Pas biologique, mais les liens du sang, des fois, on s'en fout. Si son “Kwak” sentait les détresses psychiques, il devait certainement être attiré par ma propre condition, mais ce n'était pas le moment de plaisanter.
Le couvercle de la poubelle venait de sauter. Merde. Le pneu éléphantesque allait encore nous les briser, et j’avais clairement envie de fumer ma clope dans le plus grand des calmes. Profitant du fait que le Donphan du tur-fu galère à s’extirper du contenant, j’avançai d’un pas saoulé avec mon Cacturne vers l’ennemi. Et lorsque je fus assez proche, le bestiau grogna d’un son insupportable auquel je répondis un très classe : “Rah, ta gueule, toi !” en lui lançant une pierre dans la gueule. Puis… Peyotl se chargea du reste pour une capacité combat, le laissant définitivement K.O., puisqu’il était déjà bien endommagé au préalable.
Refermant la poubelle en remplaçant le lourd couvercle - en galérant - je me retournai et aperçus que Sūrya était de retour. Il avait dû voir la scène, ce qui n'était pas très glorieux, mais… Tant pis~
“Alors, euh… Il est parti chercher des gens à sauver, mais on a ses coordonnées, t’inquiète. On gère. On est des super nounous.”, répondis-je en faisant un V avec mes doigts, peut-être légèrement pris d’un sentiment de culpabilité, même si Wolfy avait l’air d’avoir le même âge que moi, Sūrya avait l’air de le considérer comme un adolescent incapable de se démerder. Bizarre, cette histoire. “Il vient de nous envoyer un SMS commun, tu peux aller le chercher, si ça t’inquiète. Il est adulte, tu devrais pas t'en faire, y’a plus aucune menace.”
Résumé :
Vendetta dans le Roue-de-Fer.
En stock.
Staff
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Reconverti
Ce membre a déjà changé de groupe
Connaisseur
Ce membre a 6 mois d'ancienneté
Collectionneur
Ce membre a réussi 3 captures !
The Very Best
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Charité
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Ven 8 Déc - 17:19
[ Event 2 : Les portes du temps ]
Le confrère Victini semble s’accrocher à l’espoir que d’autres membres du groupe vont les rejoindre. Cette fois, Lafcadio préfère garder son pessimisme pour lui-même, et se contente de lever un sourcil dubitatif l’instant d’après ; s’improviser soignant ? Ça pourrait être drôle à voir, si la situation n’était pas aussi grave. L’autre jeune répond plus sérieusement – mais il n’a pas l’air rassuré à l’idée de partir seul. Le quadra ressort son smartphone pendant que les deux autres s’échangent leurs numéros.
Une notification est apparue en haut de l’écran.
« Je pense que tu risques plus grand-chose maintenant. Mais v’là le mien aussi, on sait jamais. » Vu la fréquence à laquelle Lafcadio répond aux appels téléphoniques, crier en cas de problème serait sûrement plus efficace pour le faire se déplacer.
Enfin, ça aussi, il se garde de le dire.
L’annonce froide et impersonnelle du porte-parole le fait à peine réagir. Le type aux cheveux gris-vert a raison : Trismegis en a rien à foutre, de tout ce qui est en dessous de leur petit paradis flottant. Il avait déjà ressenti cette espèce de dédain lorsqu’il vivait dans la banlieue, bien sûr – mais aujourd’hui, c’est bien plus qu’une simple impression. C’est un fait. Une vérité absolue, indéniable, née à l’instant où la population d’Uthyrgham s’est vu refuser l’accès à sa cité hospitalière. Lafcadio espère de tout cœur que le reste de l’opération s’est déroulé comme prévu, évidemment, mais même dans le cas contraire, il a sous les yeux la certitude que les habitants de Bedwyr n’oublieront pas de sitôt le choix de Trismegis.
Alors qu’il commence enfin à la lire, cette fameuse notification – il y en a plusieurs maintenant, d’ailleurs, et elles viennent toutes du groupe de discussion Victini – un fracas métallique le fait sursauter.
Le Roue-de-Fer s’est libéré de son piège.
C’était pas sensé lâcher aussi vite.
La bestiole est encore plus enragée et elle risque de s’en prendre aux secours qui opèrent près d’ici. Lafcadio rappelle au pied son Germéclat d’un petit mouvement de la main, le regard balayant les structures autour d’eux à la recherche de quelque chose, n’importe quoi, pour renvoyer le monstre dans sa boîte – sauf que le jeune Victini a pris les devants et neutralise la bête en ronchonnant, comme si de rien n’était. Comme si c’était normal et pas du tout inconscient de s’approcher, un petit caillou à la main, de deux cents kilos d’acier furax prêts à vous rouler dessus.
Au moins, le Roue-de-Fer ne risque plus de les emmerder. Bouche bée, Lafcadio soupire avant de retourner à son smartphone.
Sur le chat improvisé, les autres membres du groupe restés sur place pour l’opération réagissent les uns après les autres à l’annonce qui a résonné dans les haut-parleurs. En remontant un peu la discussion, il tombe sur des messages de Lev auxquels il est le seul à ne pas avoir encore répondu ; ses doigts se pressent sur l’écran.
ras ici aussi. un autre victini vient de s’occuper du dernier paradoxe sauvage. je bouge.
Le policier revient entre temps et repart presque dans la foulée ; le dresseur du Psykokwak a effectivement envoyé un signal GPS comme il l’avait promis. Lafcadio doit se remettre en route lui aussi – certains membres du chat ont proposé de se regrouper en banlieue, et il ne veut pas arriver avec trop de retard. Inutile de trainer ici. Il sort de sa poche une pokéball à l’aspect quasi-neuf, visiblement bien entretenue, dans laquelle il rappelle le Germéclat avant de se tourner vers l’autre Victini.
« Bon. Je vais de ce côté du coup. Si je croise des blessés, je vous les envoie. » Il joint le geste à la parole en indiquant du pouce la direction opposée à celle prise par les deux autres tout à l’heure. « …On se recroisera sûrement. »
Lafcadio ajuste une des sangles de son sac à dos, et part sans demander son reste.
Une notification est apparue en haut de l’écran.
« Je pense que tu risques plus grand-chose maintenant. Mais v’là le mien aussi, on sait jamais. » Vu la fréquence à laquelle Lafcadio répond aux appels téléphoniques, crier en cas de problème serait sûrement plus efficace pour le faire se déplacer.
Enfin, ça aussi, il se garde de le dire.
L’annonce froide et impersonnelle du porte-parole le fait à peine réagir. Le type aux cheveux gris-vert a raison : Trismegis en a rien à foutre, de tout ce qui est en dessous de leur petit paradis flottant. Il avait déjà ressenti cette espèce de dédain lorsqu’il vivait dans la banlieue, bien sûr – mais aujourd’hui, c’est bien plus qu’une simple impression. C’est un fait. Une vérité absolue, indéniable, née à l’instant où la population d’Uthyrgham s’est vu refuser l’accès à sa cité hospitalière. Lafcadio espère de tout cœur que le reste de l’opération s’est déroulé comme prévu, évidemment, mais même dans le cas contraire, il a sous les yeux la certitude que les habitants de Bedwyr n’oublieront pas de sitôt le choix de Trismegis.
Alors qu’il commence enfin à la lire, cette fameuse notification – il y en a plusieurs maintenant, d’ailleurs, et elles viennent toutes du groupe de discussion Victini – un fracas métallique le fait sursauter.
Le Roue-de-Fer s’est libéré de son piège.
C’était pas sensé lâcher aussi vite.
La bestiole est encore plus enragée et elle risque de s’en prendre aux secours qui opèrent près d’ici. Lafcadio rappelle au pied son Germéclat d’un petit mouvement de la main, le regard balayant les structures autour d’eux à la recherche de quelque chose, n’importe quoi, pour renvoyer le monstre dans sa boîte – sauf que le jeune Victini a pris les devants et neutralise la bête en ronchonnant, comme si de rien n’était. Comme si c’était normal et pas du tout inconscient de s’approcher, un petit caillou à la main, de deux cents kilos d’acier furax prêts à vous rouler dessus.
Au moins, le Roue-de-Fer ne risque plus de les emmerder. Bouche bée, Lafcadio soupire avant de retourner à son smartphone.
Sur le chat improvisé, les autres membres du groupe restés sur place pour l’opération réagissent les uns après les autres à l’annonce qui a résonné dans les haut-parleurs. En remontant un peu la discussion, il tombe sur des messages de Lev auxquels il est le seul à ne pas avoir encore répondu ; ses doigts se pressent sur l’écran.
ras ici aussi. un autre victini vient de s’occuper du dernier paradoxe sauvage. je bouge.
Le policier revient entre temps et repart presque dans la foulée ; le dresseur du Psykokwak a effectivement envoyé un signal GPS comme il l’avait promis. Lafcadio doit se remettre en route lui aussi – certains membres du chat ont proposé de se regrouper en banlieue, et il ne veut pas arriver avec trop de retard. Inutile de trainer ici. Il sort de sa poche une pokéball à l’aspect quasi-neuf, visiblement bien entretenue, dans laquelle il rappelle le Germéclat avant de se tourner vers l’autre Victini.
« Bon. Je vais de ce côté du coup. Si je croise des blessés, je vous les envoie. » Il joint le geste à la parole en indiquant du pouce la direction opposée à celle prise par les deux autres tout à l’heure. « …On se recroisera sûrement. »
Lafcadio ajuste une des sangles de son sac à dos, et part sans demander son reste.
ft. Sūrya, Salomon, Wolfy
Bedwyr
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Invité
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Jeu 14 Déc - 9:43
"Euh... si tu veux" avait répondu le jeune homme à Salomon sans trop savoir quoi dire. Mais bon, il voulait bien répondre à tout ce qu'il voulait. Peut être que lui, il aurait des informations.
"Merci!" avait il simplement dit au quadragénaire en prenant précautionneusement le numéro.
"Hey hey hey, t'inquiète." Dit il en s'accroupissant. Ne sachant pas trop quoi faire, il essaya de pousser les décombres de béton. Kwak était beaucoup trop petit pour aider alors, il montait la garde.
L'argenté envoya un sms à l'ami de Surya et à l'homme à la canne, espérant qu'ils viendraient l'aider vite.
Il entendit avec soulagement que le policier avait refais leur itinéraire initial et l'avait retrouvé.
"Oui Surya je suis là!!" appella t il néanmoins sans crier trop fort, redoutant d'attirer de nouveaux paradoxes. "Il y a un blessé!!"
"Merci!" avait il simplement dit au quadragénaire en prenant précautionneusement le numéro.
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Wolfy s'agenouilla vivement en repérant finalement le tout jeune homme qui s"était fait écraser."Hey hey hey, t'inquiète." Dit il en s'accroupissant. Ne sachant pas trop quoi faire, il essaya de pousser les décombres de béton. Kwak était beaucoup trop petit pour aider alors, il montait la garde.
L'argenté envoya un sms à l'ami de Surya et à l'homme à la canne, espérant qu'ils viendraient l'aider vite.
Il entendit avec soulagement que le policier avait refais leur itinéraire initial et l'avait retrouvé.
"Oui Surya je suis là!!" appella t il néanmoins sans crier trop fort, redoutant d'attirer de nouveaux paradoxes. "Il y a un blessé!!"
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