Meteor – Modéré : Echec

Ton message passe – mais ne semble pas forcément lu. En tout cas, l’inspecteur ne viens pas. Ou pas encore.
Et la boucherie, elle n’apparaît pas si bien que ça sur les photos. Mais ça doit suffire, non ? Parce qu’il y a quelque chose de bizarre, ici – en tout cas, c’est ce que tu penses.
Ton expertise ne te donne aucune information sur le mur – c’est un mur porteur ? Tu ne le sais même pas.

Ren – Difficile : Réussite

Elle t’écoute, avec attention, parler de tes Pokémons. Son point de vue sur ses derniers semble déjà un peu changer. Mais qu’est-ce qui peut bien faire qu’ils sont si méchants, à ses yeux ? Quelle ténèbres se cachent dans son petit cœur innocent ? Tu ne peux pas encore le savoir, tu ne peux qu’effleurer ses soucis.

« Ah bon ? Ils peuvent chasser la tristesse ?! » Elle se lève, d’un coup tout excitée – elle veux que tu les caches, ses soucis ; que tu lui montre les bonnes choses dont ces créatures sont capables. Surexcitée, elle hoche la tête. « Oui, oui !! Je veux bien voir ! »

Elle te suit, te faisant visiblement confiance. « Vos Pokémons … ils ont l’air gentil… ils ont l’air de pas faire de mal aux gens … »
Et comme une bombe, elle te lance un regard. Elle tire sur tes vêtements, t’indiquant qu’il faut un peu te baisser, puis, te souffle quelques mots à l’oreille, alors que personne ne la regarde, comme si elle n’existe pas.
« Parfois, y a des Pokémons qui nous font du mal. C’était pareil pour … mon ami. Alors, je… je veux dire… j’espère que les votre feront pas pareil, mais … vous devez le dire à personne, d’accord ? »

Elle s’écarte un peu, et son regard est désormais fuyant : parce qu’elle ne doit pas. Personne ne doit laisser échapper ce genre d’informations.  « Des fois … ça me fait peur, de rester ici, j’aimerai … rejoindre mon ami…mais … s’il vous plait, gardez ça pour vous ! Vous êtes gentil, après tout … mais moi, ça va … moi, ça va toujours … mais pendant que vous travaillez, je veux bien regarder vos Pokémons ! » Ses pensées se perdent dans un torrent de mot, d’idée, aucune idée d’où elle va. Pourtant, ses informations sont précieuses, alors … qu’est-ce que tu vas en faire ? Continuer de l’écouter, ou rejoindre les autres ? Qu’est-ce qui est le plus important, à tes yeux ? Le directeur n’est pas bien loin – et ses oreilles, aussi.

D’ici, tu peux déjà bien écouter la conversation entre lui, et le policier.

Hermes – Difficile :Réussite

Le directeur te laisse filer, ne répondant que d’un haussement d’épaule. Il ne s’intéresse pas vraiment à toi, plutôt concentré sur le policier – et ce n’est peut-être pas plus mal, d’ailleurs.

Alors, tu retournes avec Meteor, observant la pièce aux teintes si inquiétante.
Les tiroirs sont vides, pour la plupart : mais certains contiennent d’ancienne affaires. Quelques photos d’enfant, quelques dessins, certains, inquiétant … il semble que la pièce n’a pas encore été vidée. Elle est là, pleine de violence, contrastant avec l’aspect si clair, sans impureté du reste de l’établissement.

Et sous un matelas, un petit carnet est caché ; il est comme une preuve, une pièce à convictions. Le journal intime d’une petite fille. En le feuilletant rapidement, tu comprends qu’il appartient à Violette, une petite fille ayant fréquentée l’établissement.

Et tu comprends qu’elle était malade ; Que parfois, elle avait des flashs. Qu’elle hurlait dès qu’elle voyait une seringue. Tu comprends qu’elle n’est pas vraiment partie dans une nouvelle famille. Que cette petite fille, elle a déjà probablement quittée ce monde. Qu’elle subissait bien trop de soin, qu’elle avait peur, bien trop peur, et qu’elle n’a pas quitté l’établissement vivante.
Tu comprends, en tout cas, tu peux en conclure que c’est comme ça que finisse la plupart des enfants : abimés, fatigués. Malade. Apeurés. Et tout cela n’annonce rien de bon.

Lyra – Difficile : réussite critique

Summer retient quelque mots, pendant un court laps de temps. Elle a peur, oui, mais elle semble déjà t’être attachée à toi, alors, elle te souffle quelques paroles.
« Faites… attention. Il … il faut se méfier des gens, ici. » Elle essuie quelques larmes, perlant aux coins de ses joues, puis te regarde partir. Elle a peur – autant pour toi, que pour elle, que pour le reste des enfants de l’orphelinat.

Le directeur ne te retient pas – en fait, il n’a pas l’air d’en avoir le temps, coincé entre l’inspecteur de police et sa pochette de document. Alors, tu t’enfonces dans l’infirmerie, tu y pénètre sans soucis, comme si tu es chez toi.

Lou Bliée est là ; ses yeux s’écarquillent. Elle est surprise. Après tout, qu’est-ce que tu fout-là ?
Son visage se mue en une expression de gêne, cachée sous un sourire. « Madame … Steelheart, c’est ça ? Je ne vous ai pas entendu rentrer. » Sur une chaise, l’enfant de tout à l’heure est assise, le regard dans le vide. Dans les mains de l’infirmière, une seringue, qu’elle range déjà, cache presque, dans un compartiment destiné à cet effet. Dans les étagères encore ouvertes, trône de nombreux médicament – et tu ne reconnais aucun nom. Ce n’est certainement pas du Doliprane.

L’enfant, elle, ne bouge pas. Son corps tremble un peu. Lou se lève d’un coup, pour se mettre entre toi, et elle, mais surtout, entre toi et l’autre enfant, couché plus loin. « Vous … avez une raison de venir ? » Elle ne semble pas trop savoir comment réagir. Alors, elle tire un rideau ; mais tu le vois quand même.
Ce petit garçon, plein de bandages. Ce petit garçon, dormant, mais bougeant tellement. Ce petit garçon, visiblement pas en bonne santé. Qu’est-ce qu’il se passait donc, ici ?
Lou le sait – Lou sait que tu l’as vu. Elle ne peut plus vraiment faire semblant.
Sa main se porte à sa ceinture – pourquoi faire ? – et son regard se fait plus dur. Presque menaçant.

« Ecoutez … oublier ça, non ? On a … Qu’est-ce qui vous irez, pour partir d’ici ? On peut tout vous offrir. Vraiment. Alors … vous n’avez qu’à oublier. C’est simple, non ? » Elle glisse une main dans sa poche ; qu’est-ce qu’elle y cache ?
Elle veut que tu mentes, que tu caches la vérité, que tu mettes tes propres besoin aux dessus de ceux de ces enfants, que tu rentres dans son jeu, et que tout continue, comme avant.

Sen – Moyen : Réussite

La petite fille tremble, mais peut-être un peu moins. Quelques mots se bousculent à l’entrée de ses lèvres. « Vous … vous pouvez faire… quelque chose ? » Elle a besoin d’être aidée, d’être sauvée – est-ce que tu peux vraiment faire ça ?
Elle n’en dit pas plus. D’un hochement de tête, te remercie, et puis file, voulant sans doute rejoindre sa chambre, ou au moins ses amis. En tout cas, elle veut être loin des autres adultes, même si elle te tolère déjà un minimum.

Puis, tu rejoins les autres, dans la petite chambre. Comme Hermes, tu tombes sur quelque chose.
Sous le matelas, c’est un t-shirt roulé en boule qui attires ton attention. Rien de bien spécial, pourtant, tu tires dessus, et … une boîte tombe au sol. Une petite boîte, contenant quelques médicaments. Pourquoi est-ce qu’ils étaient cachés ? Si tu jettes au journal intime déniché par Hermes, tu peux vite comprendre que c’est sans doute des traitements que Violette a refusé d’avaler. Qu’elle a fait semblant de consommer, pour ensuite les cacher.

Quelques lettres sont inscrites sur les pilules. Des benzodiazépines à haute doses. Rien qui n’a à faire dans la chambre d’enfant.

Surya / Message général

Le lieutenant vérifie les papiers, l’administratif de l’établissement, accompagné du directeur. Et lorsqu’il voit Lyra passé, il trouve une excuse pour garder le directeur près de lui. Tout innocemment, il essaie de vous faciliter l’enquête – même s’il n’est pas forcément le plus doué avec les mots.

Son regard se baisse sur son holomontre, aux messages de Meteor. Ses yeux tombent sur les photos, dans le drive ; les photos, bien trop rouges. Ses prunelles ne laissent rien transparaître, malgré son cœur qui manque presque un battement.
Puis, ils retournent vers le directeur.

« Excusez-moi. Reprenons, si vous le voulez bien. »
Quelque chose n’est pas normal, il le sait ; il doit mettre le doigt dessus. Mais pour cela, il veut se la jouer fine. S’il en a l’occasion, en tout cas.
« J’aimerai accéder aux dernières transactions de l’orphelinat. Ainsi qu’aux dossiers de chaque enfant. Après tout, une petite fille a perdue la vie, dernièrement. Malgré cette… tragédie, nous devons enquêter. » Une excuse – même si cette histoire est horrible, c’est une excuse.

Et le directeur semble un peu gêné. Il fouille dans sa pochette. « Sans problèmes, mais … je crois que c’est ma collègue qui possède les documents concernant les enfants… je pourrais lui demander quand elle sera de retour, évidemment ! »
Le champion reste pensif, avant de reprendre, quelques instants plus tard. « Bien évidemment. » Il continue de feuilleter le dossier, silencieusement, sous le regard presque gêné du directeur, passant du champion, à l’éleveur.

Puis, un cri déchire le calme de l’orphelinat. Un cri de terreur pure.

Sen, Hermes, et Meteor : voilà que dans l’encadrement de la porte, vous apercevez la petite fille, s’étant ouvert le genou. Elle ventile, elle pleure, puis sa voix l’étouffe presque, lorsqu’elle reprend la parole. « Vous … vous devez pas … voir ça ! M’sieur Avuh, il a dit… que vous devez pas ! » Elle sanglote, tombe presque par terre. Pose une main sur sa bouche – voir tout ça, lui donne presque la nausée.

Attiré par le bruit, Surya s’élance rapidement, et se poste, là, tout prêt de la petite fille. Il observe la scène : c’est encore pire que les photos. Photographies un peu floues, mal prise ; là, il sent presque l’odeur métallique du sang lui bruler le nez.
Derrière lui, le directeur refait finalement son apparition. Il regarde rapidement son holomontre : aucun doute sur le fait que l’infirmière l’a contactée.

« Je suis désolé qu’on en arrive là, mais … est-ce que vous ne savez pas suivre les règles, aux seins de l’organisation ? » Son regard glisse sur les traces de sangs, aux murs, sur le carnet dans les mains d’Hermes, sur la petite fille.
Elle gémit. « Non … ! Vous … Je veux pas que vous fassiez mal ! » Elle vient se cacher derrière Sen.
Le directeur, lui, soupire, comme si ce n’est qu’un petit élément perturbateur dans sa journée.
« Vous pouvez oublier ça, non ? Votre prix sera le nôtre. »

Le regard du lieutenant, pourtant, reste tout aussi froid. Impitoyable. « Qu’est-ce que vous leur avez fait ? Je doute qu’en matière de protection de l’enfance, on trouve un compromis. »

Encore un soupir dans la bouche de l’homme. « Je suppose que nous n’avons pas le choix. » Il appuie quelques fois sur son Holomontre, et la pièce se voile ; les stores se ferment, et sans aucun doute que l’entrée de l’établissement s’est aussi verrouillée. Une sonnerie se fait ressentir dans l’établissement, désormais dans une certaine obscurité. Les enfants n’ont pas l’air de sortir de leurs chambres – comme s’ils y sont habitués.

Un Hypnomade apparaît, presque de nulle part. Et surtout, une arme, entre les bras du directeur. Surya lance un regard vers l’intérieur de la pièce – vers Meteor. Leurs regards se croisent, et il hoche la tête.
Ici, ils ont l’avantage du nombre – mais l’inspecteur refuse de laisser Lyra seule.
« Occupez-vous de lui, je vous fais confiance ! » Après tout, Meteor est forcément armé.
Il s’écarte, et de justesse, évite une balle – un peu de sang coule de son bras, il serre les dents, mais pourtant, parviens à s’échapper.

Plus loin, il croise Ren, et il lui présente rapidement la situation, de la façon la plus claire possible : « On est en danger, il faut aider Lyra. » Et l’embarque, sans trop lui demander son avis. Enfin, le Policier entre dans l’infirmerie.
Et là, l’infirmière écarquille les yeux, avant de se placer devant les deux enfants. « Ce… serait dommage de faire des victimes. »
C’est une menace. Et comme son collègue, elle sort une arme, et deux Pokémons ; un Mushana et un Neitram se placent devant vous.

Contre Edgar
Meteor (réussite) – Hermes (échec) – Sen (échec)

Meteor, tes mots atteignent ta cible : oui, le directeur te lance un regard sans émotions ; il n’est pas spécialement angoissé, effrayé ou que-sait-je d’autre. Il prend du temps à te répondre. Même lorsque ton arme se pointe sur lui, il ne semble pas plus dérangé que ça – à part le petit filet de sueur qui coule sur son front.

« Pourtant … ils sont essentiels. Au bout déroulement de la vie sur l’île. Ce sont des sacrifices essentiels. Pourquoi vouloir interrompre le cours naturel des choses ? Vous n’apprenez pas ça, dans la Ville haute ? L’importance de certains sacrifices ? »
Il parle, encore et encore ; et ce n’est pas par pure courtoisie. L’homme lance des regards discrets à ses Pokémons. Il ne veut certainement pas faire ami-ami.

Il lance un regard vers toi, Hermes. Mais ne répond pas – pourtant, sa confiance en soi peut t’inquiéter. Peut-être qu’il a plusieurs armes, plusieurs recharges : peut-être qu’il possède d’autre chose, pire encore.
Enfin, il s’adresse au médecin du groupe. « Je suppose. Tu peux passer. Toi seulement. » Est-ce que vraiment une fleur, qu’il te fait ?

La tension est palpable – il ne bouge pas. Et lorsque le blond se déplace, d’un regard entendu, le maître des lieux donne ses prochains ordres à ses Pokémons. L’Hypnomade étreint le médecin, laissant la petite fille retombée au sol, dans un cri. Elle recule, dans le couloir, trop faible pour se relever, pour affronter ces horreurs.

Edgar, lui, se prépare à tirer ; et c’est le professeur qui cible. Malheureusement pour lui, un bruit de coup de feu se fait entendre, et une forte douleur saisis sa jambe. Meteor, c’était ton moment de gloire – tu as pu tirer, avant qu’il ne vole la vie d’un de tes camarades.
Un grognement étire ses lèvres. Il boite, mais n’est certainement pas prêt à capituler.
« J’ai votre médecin. Et la fille. Abandonner si vous voulez … les retrouver en un seul morceau. »
« Hypnomade ! » Le Pokémon ressert son étreinte sur le blond – et d’un autre bras, émet une première attaque. Ball’Ombre vient s’abattre sur la Forgelina.
Maintenant … il va falloir faire mieux que ça, non ?

Contre Lou
Ren (échec) – Lyra (réussite) – Surya (échec)

L’infirmière vous regarde, son arme entre les mains … et ses otages à proximité.
Lorsque tu prends la parole, Lyra, Surya ne te répond que d’un hochement de tête : le moment n’est pas vraiment à la discussion. L’inspecteur sait qu’il peut facilement gérer la situation … enfin, ça aurait été le cas, sans les enfants dans les parages. Il craint bien trop de faire une victime de plus, d’étaler encore du sang entre les murs de ce foutu orphelinat.

Quant à toi, Ren, heureusement, la petite fille dont tu t’occupais précédemment s’est laissé confiner dans la cuisine, sans causer de soucis – et heureusement, elle ne ressort pas lorsqu’elle entend le début des hostilités. D’un hochement de tête, elle accepte tes ordres ; une gratitude profonde luit dans ses yeux embrumés. Surya n’est pas spécialement plus loquace à la suite de tes informations, mais au moins, il semble un peu plus rassuré pour les enfants.
Mais revenons-en à l’affrontement.

Les deux Pokémons ont l’air bien plus déterminés que leur dresseuse. Et votre attention est attirée par l’enfant alité qui, venant de se réveiller, lance un regard perdu autour de lui.
Lou suit votre propre regard – et tombe sur cette petite silhouette. Si fébrile. Fragile. « Si … vous approchez … » Son arme se pointe sur l’enfant.

Ensuite, c’est le policier qui agit. D’une main, il libère un Pokémon : son Nigirigon bleuté, Pokémon caractéristiques et connu des médias – l’infirmière semble se mordre la lèvre. Le champion murmure à la créature quelques indications, si bien que personne d’autre ne peux clairement les entendre.

Néanmoins, sans que Lou donne son avis, le Mushana s’en prend déjà à Lyra. Sans doute qu’avec son arme pointée sur l’infirmière, c’est celle qui à l’air la plus dangereuse, actuellement. Probablement.

Une attaque Rafale Psy est émise, mais aisément éviter par la militaire. Puis, c’est ce moment que le poisson chromatique choisis pour agir ; une attaque Ocroupi attire votre attention, et surtout, imbibe vos vêtements d’eau. Les deux Pokémons Psy sont un peu repoussés.

Mais Surya ne regarde même pas si l’attaque a touchée ; le champion a filé, pour se retrouver devant le lit. Il sort sa propre arme, la pointant contre Lou, faisant barrage de son corps, pour ne pas laisser un innocent perdre la vie. Après tout, c’est pour ce genre de chose qu’il a rejoint l’Organisation. Il est enfin temps de faire le bien.

Deux bruits agressent vos tympans. Deux coups de feu. La main de l’infirmière tremble. « Vous … N’approchez plus ! » Elle est morte de peur, mais tente de se contenir. Pourtant, le Rouge fait son apparition dans la pièce.
Surya n’a pas eu le temps de réagir. Une trainée vermeille commence à colorer sa manche, au niveau de l’épaule. Il serre les dents à s’en décrocher la mâchoire, mais son regard se porte sur l’enfant. Tout tremblant, le garçon fraichement réveillé est blessé, au bras. De grosses larmes se forment dans ses yeux, pourtant, le choc l’empêche de parler. Sa bouche s’ouvre et se referme, sans émettre le moindre son.
Impuissant, le champion ne tente rien de plus – il lance un regard vers Onigiri, son Nigirigon, qui n’ose même plus bouger, tant l’inquiétude le ronge. Sa main se contente de serrer l’enfant, de lui apporter une présence réconfortante.

L’infirmière bouge, pointe son arme sur Ren, et Lyra, en alternance. « N’approchez pas, ou vous … n’avez plus de chef ! » Son Neitram se déplace, pour se mettre devant vous. Il est encore en pleine forme pour se battre. Le Pokémon prépare une attaque Tonnerre, dévastatrice vu toute l’eau qui vous recouvre …

Et dans tout ça, il reste toujours la petite fille, qui a reculée de quelques pas suite aux coups de feu. L’infirmière semble presque l’avoir oubliée … L’enfant tremble, mais se fait la plus silencieuse possible. Peut-être qu’elle a quelque chose en tête.