Vanille s’est toujours distingué parmi c’est collègues : bruyant, grand, expressif …. Et ça, ça plait, comme ça déplait. Insupportable pour certains, terriblement amical pour d’autres, il reste néanmoins toujours fidèle à lui-même, qu’on le supporte, ou pas. Désormais, il est connu comme ce cuistot souriant et bavard, toujours à raconter une anecdote à ses clients. Il n’a jamais eu de mal à se lier aux autres, même s’il semble s’attacher trop vite, trop fort. Tout est toujours « trop », avec Vanille.

Pipelette, il est capable de parler des heures durant, sans s’en rendre compte – parfois, ses proches on envie qu’il ait un petit bouton on/off, ne serait-ce pour profiter de quelques instants de calme.

Avide de découvertes, Il y a toujours cette curiosité, qui le dévore. Oui, il tente parfois de résister, mais l’aventure est si attirante, à ces yeux :  la nouveauté, les aventures, … ça l’a toujours fait vibrer. Quitte à prendre des dangers, quitte à transgresser des règles… et oui, il a déjà eu des soucis après être entré dans des zones contrôlées, pendant la crise des Paradoxes, par exemple. Heureusement, malgré son sens de l’orientation quasi inexistant, il n’a jamais eu trop de soucis.

Son souhait serait d’explorer d’autres régions, de sortir d’Ahovu – il y pense, parfois, ne pouvant s’empêcher d’imaginer la vie de l’autre côté de la mer. Son cerveau imaginatif le pousse à rêver, de jour comme de nuit – à s’imaginer des choses, pas forcément rationnelles, mais nouvelles, le sortant de son quotidien.

Il n’a jamais été une lumière – loin de là. La matière grise, ce n’est pas son point fort. C’est un homme tête-en-l’air, simple, souvent dans son monde, la tête dans les étoiles. Comme un enfant, il peut être naïf, trop crédule, ne voyant pas forcément le mal. Mais lorsqu’il se rend compte qu’on l’a roulé… dans un premier temps, il se sent stupide, avant qu’une autre émotion ne s’empare de lui.  

En lui, il cache une certaine colère : une certaine rage, l’habitant, le hantant presque. Explosif, colérique… il se met toujours trop en colère : trop fort, trop vite. Il s’est déjà battu plusieurs fois, il a déjà fini en garde-à-vue, pourtant, cette rage subsiste toujours. Peut-être qu’au fond de lui, quelque chose cloche – pourtant, il peine à mettre le doigt sur ce souci, cette irrégularité. Il est à la merci de ses émotions, comme s’il n’avait aucun contrôle sur ces dernières.

Derrière toute sa joie, l’homme cache encore une grande vulnérabilité :  il s’en veut, se prenant coupable du drame qui a ravagé sa famille. L’impression de ne pas être normal, d’être une erreur. Même si largement accepté de nos jours, son homosexualité lui ai encore douloureuse.

Ça, et le reste – il a une opinion de lui assez mauvaise, après des années à être vu comme insuffisant, pas assez. Malgré quelques temps de thérapie, ses failles peuvent encore être visibles, parfois.


Pour évacuer tout ça, il pratique beaucoup de sports. Ce qui explique ses muscles bien dessinés. Il adore se dépenser, passant la plupart de son temps libre dehors. Sans surprise, il peine à faire des activités calmes, tant il a l’impression d’être monté sur ressort.

Il aime beaucoup la course, la boxe, puis le basket, aussi ! Néanmoins, il a tendance à souvent changer d’activité du moment, à essayer de nouvelles choses, sans forcément pratiquer la même discipline sur le long terme.

Sans surprise, c’est une vraie boule d’énergie : il a toujours été cet enfant turbulent, incapable de se concentrer et toujours à la ramasse à l’école. Ses notes n’ont jamais été bonne, et dès la maternelle, on mentionner déjà qu’il n’avait aucune capacité à tenir en place.
Cette habitude-là, il ne l’a pas non plus perdu. Maintenant, il est cet adulte survolté, actif, que les autres n’arrivent pas toujours à suivre.

L’homme n’aime pas vraiment passer du temps à l’intérieur. La nature, les Pokémons, les terres sauvages … ces choses sont très précieuses, à ses yeux. La plupart de son temps libre, il le passe dehors : s’occuper de ses Pokémons, de ceux de sa famille, se promener, jardiner, parfois … Rester enfermé, cloué à un bureau est pour lui l’équivalent de l’enfer. Un peu claustrophobe, dans le fond ? Peut-être, mais sa liberté, il y tient.

Les seuls moments où il aime être à l’intérieur, c’est lorsqu’il cuisine : étant un vrai estomac sur pattes, il a appris à se contenter soi-même, jusqu’à en faire son métier. Oui, il mange beaucoup … et pas forcément bien. C’est à se demander comment il n’a pas de diabète, tant le sucre est sa principale source de nutriment. Sa spécialité ? La pâtisserie, évidemment. Généreux, ce n’est d’ailleurs pas rare qu’il en fasse profiter ses proches.

Après tout, il aime gâter les autres, cuisiner pour eux, s’en occuper. Les objets matériels n’ont pas vraiment de valeur pour lui, il en est de même pour l’argent. Il a toujours vécu de façon assez modeste, préférant les expériences aux possessions. Démonstratif, affectueux, il a la mauvaise habitude de ne pas forcément respecter les espaces personnels des autres …

Il s’attache trop vite, trop fort – surtout avec les hommes qu’il ne rencontre que le temps d’une nuit. Ça peut faire peur, oui : la façon dont son cœur bat trop vite, dont il se sent proche, dont il pénètre dans l’espace personnel des autres. Il a l’impression de mal fonctionner, à ce niveau – mais est-ce vraiment une mauvaise chose, d’avoir tant d’amour à donner ?

Néanmoins, il y a bien une personne qu’il ne tolère pas : la championne actuelle d’Agapé. Il sait qu’elle ne lui as jamais vraiment rien fait, mais pourtant, même s’il se déteste pour ça, il ne peux s’en empêcher. Voir la rousse réveille en lui de mauvaise chose, remue le couteau dans la plaie de ses traumatismes : et peut-être que ça le rend un peu désagréable lorsqu’il se trouve face à elle …

Bien que plus rarement, il chante et joue de la batterie, ce qui est loin d'être étonnant qu'on on a un père musicien. Il a même tendance à aisément fredonner des chansons, sans même s'en rendre compte ...
Pour finir, il apprécie beaucoup les combats Pokémons – même si son équipe est loin d’être la plus forte. Relique de l’époque où il combattait pour l’arène d’Agapé, son affection pour les affrontements ne l’a jamais vraiment quitté, même si ce n’est plus sa priorité désormais.

Pour ce qui est de la croissance, Vanille a été gâté : s’approchant du mètre 93, l’homme est plus grand que la plupart des gens qu’il rencontre, même si ça veut dire se taper de temps en temps des encadrements de portes … Ses épaules sont larges, et son corps, bien entretenu. Sa pratique sportive se voit à ses muscles bien dessinés. En bref, il est quelque peu … intimidant, à première vue. Même si on se rend bien compte qu’il est tout sauf désagréable, penchant plus vers le gros nounours que la brute.

Sa chevelure est un de ses signes distinctif – en même temps, il n’y porte pas vraiment attention, la laissant faire sa vie. Il prend rarement la peine de les couper, laissant ses longues mèches pèche – sa couleur naturelle, soit dit en passant – tomber devant son visage. Chaotique et désordonnée, sa coupe n’a pas vraiment de sens ; certaines mèches s’arrêtes aux oreilles, d’autres à la nuque.  Bref, c’est assez clair qu’il est à la fois le coiffeur, et le client…

Son visage est très expressif, la plupart du temps souriant : si de base, sa peau est assez pâle, à force de passer sa vie dehors, son épiderme a pris quelques teintes.
Ses grands yeux écarlates sont un peu tombants, toujours éclairés d’une lueur joyeuse. Son nez, en trompette, et ses lèvres, fines. A ses oreilles, on peut remarquer quelques piercings, qu’il s’est sans doute fait lui-même, sur un coup de tête, comme pour… beaucoup de choses.
Ses quelques tatouages abstrait sur les doigts, par exemple. Même si avec les coupures et le temps, ils commencent très sérieusement à ne plus ressembler à grand-chose …

Au travail, il prend tout de même la peine de les attacher en chignon, ne serait-ce pour éviter d’ajouter des ingrédients en plus dans les plats qu’il prépare.

Ses tenues sont toujours dans des teintes blanche ou beige – ce qui est très dangereux pour quelqu’un ne sachant pas se tenir. Le détachant est sans doute une part importante de son budget.
Priorisant le confort au style, ses vêtements sont en général larges – style qui est donc, très logiquement plutôt casual et simple. Il lui arrive de mettre chemise ou autre vêtements contraignant, mais seulement si l’occasion l’y oblige. Sinon, un t-shirt et un pantalon bancal, ça suffit, non ?
Pour les chaussures, il a son habituelle paires de baskets blanches qui, dans les faits, est un peu plus grise ou brune de terre.

Ses gestes et sa démarche sont toujours rapides, aussi survolté que son caractère. Il est cependant maladroit et gauche, ce qui provoque assez souvent de la casse, notamment en cuisine …

TW : Suicide, pensées noires, agressions et violences physiques

Premier enfant de sa fratrie, Vanille était attendu comme étant une petite fille – sans doute la raison pour laquelle il s’est retrouvé avec un prénom féminin, bien que ça ne l’ait jamais trop dérangé.
En apparence, le couple Gentilly était heureux – un musicien, et une secrétaire, vivant une petite idylle. Tout du foyer parfait :  petite maison, enfance, travail stable ... Pourtant, un poison était déjà présent dans la famille, insidieux, tuant cette harmonie à petit feux, cette petite comédie de famille parfaite.

Clara Gentilly avait toujours voulu le meilleur pour ses enfants. Venant d’une famille pauvre du Village Glouglou, elle voulait qu’ils réussissent – sans savoir que dans le fond, elle regrettait sa propre vie, son propre statut social. Elle n’avait jamais eu l’occasion de faire de longues études, de mettre sa psyché et sa matière grise aux services de grandes choses, d’être autre chose qu’une simple secrétaire, d’avoir de l’importance.
Mille regrets la tiraient en arrière, l’empêchant de voir autre chose que ses propres rêves s’accomplir. Et son mari dans tout ça, ne sachant que faire, ne comptait pas se mettre au travers du contrôle de sa femme.

Vanille, lui, c’était l’ainé – toute cette pression, ces regrets d’adulte reposaient sur ses épaules de l’enfant qui, déjà dans les premières années de sa vie, n’était pas à la hauteur de toute ces attentes.
Jeune, à travers le regard de sa mère, il discernait déjà, sous cette inquiétude et cet amour, une certaine déception. Pas assez bon, pas assez intelligent – il était souvent comparé à une enfant, habitant non loin de chez lui. Une certaine Cornélia. Déjà, il ne comprenait pas ce qu’il lui manquait, à lui – son manque de confiance se creusait, peu à peu. Il n’était jamais assez bon. Il n’arrivait pas à tenir en place, à l’école. Malgré les cours particuliers, payé par les maigres économies du couple, il restait …
Une déception.

A ses onze ans, le foyer s’agrandit – ses deux petites sœurs, Fraise et Amande. Deux jumelles. Malheureusement, Amande, handicapée de naissance, n’as jamais pu marcher comme les autres enfants, forcée très jeune d’utiliser un fauteuil roulant. Sans surprise, les aménagements, la gestion et l’acceptation de l’handicap ne rendait pas la vie facile pour la famille … La pression ne s’était pas améliorée pour l’ainé – parfois mis en second plan, bien qu’il n’en veule pas à ses cadettes. Après tout, il a toujours été un grand frère parfait, pour elles.

A l’adolescence, il s’intéressa au combat Pokémon, adoptant Gaufre à ses quinze ans, comme cadeau d’obtention de son diplôme du secondaire – et ça, ce n’était pas gagné. Et peu de temps après, il essuyait déjà ses premières défaites, face à la rousse.

Pour ses études supérieures, ses parents gâchèrent toute leurs économies pour l’envoyer dans une des meilleures écoles de Kalahari, quitte à ce qu'il soit obligé de faire les trajets tout les jours. Est-ce qu’il allait enfin être tranquille ? Esquiver toute cette comparaison ?
Le premier jour d’études supérieurs, il se sentait enfin détendu, prêt à reprendre un nouveau départ, loin de toutes ces angoisses, cette pression.
Le premier jour d’étude, son regard croisa celui de la rousse, et il savait qu’il était foutu.
Avec les années, lui, pourtant plein d’affection et d’intérêt pour les autres, avait fini par la détester. Dirigeant toute ses blessures d’enfances vers cette jeune femme, comme si c’était elle qui avait tout détruit.

L’école avait néanmoins apporté d’autre chose – une autre rencontre. Une jeune femme de sa promotion, au doux sourire, au caractère d’or. Il sentait une attirance vers elle – c’était ça, l’amour, non ? Peut-être que dans le fond, une pression le poussait à se conformer, lui qui n’avait eu que de courtes relations, lui, voulant satisfaire ses parents, bien rentrer dans les cases pour être « comme les autres. »
Tout allait peut-être trop vite, mais après à peine quelques mois de relation, Vanille lui avait déjà promis qu’il allait l’épouser. Après tout, il l’avait déjà présenté à ses parents, et enfin, il fut heureux de voir de la fierté dans leurs regards.

Quelque chose n’allait pas. Il avait toujours une incertitude au fond de lui, mais … c’était normal, non ? En se forçant un peu, tout allait probablement se régler.


Durant sa vingtième année, Vanille eu sa première courte relations avec un homme, et tout se brisa d’un coup. Sa promise, il l’avait toujours profondément aimé – mais d’un amour fraternel, amical. Il s’était rendu compte qu’il n’avait jamais été attiré par les femmes, et maintenant, c’était incapable pour lui de mentir. Par la même occasion, il avait bien fini par comprendre que cette chère école, ce n’était pas son destin – il n’avait jamais été bon, ses notes avaient toujours été mauvaises. Pourquoi continuer ?  C’était le moment de forger son propre destin, non ?
Sa rupture s’était effectuée sans soucis. Elle avait compris, accepté : il avait perdu sa femme, mais gagner une puissante amie.

Et puis, il avait vu sa mère pleurer – il avait vite compris qu’il n’était pas normal. Après tout, il avait toujours voulu avoir une famille, lui aussi. Il avait toujours rêvé de paternité. Mais … tout était plus compliqué, à présent.
« Je suis désolé … de ne pas être comme vous voulez. » Il était parti. Où ? Aucune idée.
Mais pendant quelques jours, il eut besoin de disparaitre. De s’effacer, dans l’espoir de ne plus jamais réapparaitre.
Peut-être bien qu’il avait tout détruit. Que quelque chose clochait en lui.

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Vanille avait pris quelques temps avant de savoir quoi faire de sa vie – ce qui lui permit de s’investir un peu dans le Groupe Victini, de façon pacifiste. Normal pour quelqu’un étant habitué aux Pokémons.
Enfin, il eut une idée : la cuisine, ce n’était pas mal, non ? Il avait toujours pris plaisir à cuisiner pour son foyer, après tout. C’était un nouveau départ pour lui. Peut-être enfin quelque chose où il ne serait pas un poids, ou il serait bon.

Néanmoins, au milieu de ses études, le Poison détruit enfin pour de bon l’équilibre de son petit foyer.
Aucune idée de ce qui avait poussée Clara Gentilly à arrêter là, à tout quitter. Serait-ce la dépression qui l’avait saisie, depuis bon nombre d’années maintenant ? Serait-ce le début de dette que le foyer accumulait ? L’handicap de sa fille, la poussant à s’épuiser à la tâche ?
Ce printemps-là, son histoire s’était finie – et habillé de noir, Vanille avait dit aurevoir à sa mère, se demandais bien si c’était lui, qui avait provoqué tout ça.

Une fois son diplôme obtenu, Vanille avait vite commencé à travailler, donnant tout pour sa famille, pour assister ses sœurs. Pour étouffer les pensées noires qui l’assaillait.
Une période d’instabilité, de longues semaines de travail. Et quand enfin, la journée se finissait, il donnait tout pour s’occuper de ses cadettes. Parce que son père ne gérait pas bien la situation, sans doute accablé de bien plus de chagrin.

Un jour, son manque d’équilibre l’avait mené jusqu’en garde à vue, marquant son casier judiciaire. Un membre de l’organisation avait insulté Amande – sa sœur n’était pas inutile, ce n’était pas un poids pour sa famille ! Vanille avait été aveuglé par la rage – jusqu’à défigurer l’homme.
De retour chez lui, il n’avait pu croiser le regard de son père. Pourtant, ce dernier s’était approché de lui, pour le prendre dans ses bras.
« Je suis désolé, Vanille. Je vais me reprendre. Tu n’as pas à tout porter comme ça. » Le jeune homme s’était écroulé en larme, sans trop savoir pourquoi.

Après quelques années, la situation s’était stabilisée –Vanille avait écopé d’une amende, et c’était tout. Le père de la famille avait eu la chance de monter en popularité … et donc en paie.

Enfin, Vanille pouvait un peu se concentrer sur son futur : au fond de lui, il savait déjà ce qu’il voulait faire. Un rêve avait déjà germé en lui. Il avait certes envie de tenter de devenir champion de son district, sans que ce ne soit son souhait principal. Mais en cuisine, il se sentait utile, à sa place, dans son élément.  

Son propre restaurant. Il avait commencé à mettre tranquillement de côté, même si ça voulait dire faire de longues semaines encore quelques années.
Sans surprise, n’ayant pas eu le temps de vraiment entrainé son équipe, il avait échoué pour récupérer l’arène d’Agapé – encore battu par Cornélia, ce qui l’énervait profondément. Néanmoins, il se raccrocha à son souhait premier.

Quelques mois après, en cette belle année 2322, la Pomme d’Amour ouvrit enfin, dans les quartiers commerciaux de Fontaine d’Or.

Vanille retourna l’enseigne accrochée à la porte, pour ouvrir son restaurant, pour la première fois ; ne pouvant s’empêcher de penser à ces dernières années. Ces sœurs étaient au lycée, désormais, c’était un peu plus simple.
Puis, il se surpris même à retourner du côté des Victinis - tout ça pour voir que sa rivale de toujours avait aussi de l’influence là-bas. Est-ce que c’était si grave que ça, finalement ?
Pas forcément. Il se sentait déjà un peu plus léger. Prêt à affronter l’avenir, quel qu’il soit.

Espèce: Pâtachiot
Sexe: Femelle
Talent: Tempo Perso
Nature: Fidèle
Téracristal: Fée
Niveau: 5

Descriptions: Gaufre est un petit Pokémon affectueux, toujours collée à son dresseur. Semblant avoir déteint sur Vanille, elle est toujours très collante et démonstrative, n’ayant aucun souci pour aller vers les autres, que ce soit pour réclamer de la nourriture ou des caresses … Le type fée se trouve être un Pokémon des plus fidèle, prête à tout pour son dresseur.
L’ayant vu dans les pires moments de sa vie, elle est toujours à l’aguet des changements d’humeur de son dresseur, et tente toujours de le calmer ou de le rassurer lorsque le besoin se fait ressentir.