En l’absence de réponses vocales lorsqu’on s’adresse à Anthea, on pourrait penser qu’elle est timide ou froide. Seulement, elle ne parle tout simplement pas. Et à défaut de penser qu’elle est sourde, elle entend très bien. Anthea est juste muette, elle est née comme ça.
 
Cependant, elle connait le langage des signes. Elle préfère écouter les sons que lui offre la nature plutôt que les autres sauf quand elle n’a pas le choix. De plus avec ses amis à écaille, à fourrure, à plume, etc, la parole n’a pas besoin d’être, le langage corporel et un regard suffisent pour se comprendre. Il n’y a pourtant pas de télépathie, même si ses pensées ont une voix qu’elle garde bien pour elle. Ce qui la rend assez mystérieuse!

En apprenant à la connaître un peu, on réalise que malgré son silence, elle a un fort caractère et un mental d’acier. Ses idées sont bien encrées et elle ne se laisse pas abattre ou influencer facilement.

Anthea est proche de la nature, très douce avec les pokémons et y voue un très grand respect comme tout le reste des habitants de Kilauea. Elle ne tolère absolument pas que l’on s’en prend ou se moquent de la végétation ou aux êtres qui y vivent sans raison. Elle vit en harmonie avec les pokémons sauvages et elle ne va chasser que pour se nourrir tout en s’excusant et remerciant l’âme à qui elle a privé de corps sur cette terre, leur accordant le repos. Par son affinité avec la nature, elle comprend mieux les pokémons que la grande majorité des dresseurs, voir même des autres habitants de Kilauea. C’est un don naturel qu’elle a sans avoir eue le besoin de faire de grandes études.

Grace à cette même affinité, elle a développé une forte combativité, son talent en combat pokémon lui est venue naturellement grâce à sa compréhension d’eux. Et pour mieux défendre ceux qui sont plus vulnérables, forte et agile, elle se joint parfois au combat dans les terres sauvage, que ce soit à coup de bâton long, lance ou avec ses poings. Elle trouve plus respectueux de combattre avec ses pokémons que de les laisser se blesser ou se sacrifier.
 
Esprit libre, elle n’enferme pas ses pokémons dans ces trucs appelés pokéball parce qu’a leur place, elle détesterait y être. Personne ne peut la retenir si elle décide de partir en voyage explorer d’autre terre sauvage, curieuse, elle aime bien découvrir de nouveau horizon et des pokémons différent de l’endroit où elle a grandit.
 
Humainement, elle reste proche du village qui l’a élevée et vue grandir. Elle obéit aux lois qui la régit, comme eux, Anthea est récalcitrante a la séparation des pokémons. Débrouillarde et ingénieuse, elle n’a aucun mal à survivre en terre hostile et a appris à différencier différentes herbes et champignons comestibles et toxiques. On peut aisément dire qu’elle a été à l’école de la vie étant donné le niveau d’éducation du district.

Utilisant ses connaissances elle use aussi de piège autre que pour chassez. Ils sont également destinés à piéger les braconniers ou toute autres personnes qu’elle trouve détestable. Fourbe et maligne envers l’humain, elle use de poison sur ses pièges ou sur ses lames rétractables artisanales soigneusement cacher dans ses bottes. Si jamais elle a jugé également que cette personne ne respecte pas un minimum le monde dans lequel elle vit, elle n’hésite pas à se salir les mains pour protéger ses petit protéger et ses convictions. Sur les terres sauvages tout peut arriver et plus personne pour dire ce qui est arrivé…
 
Principalement élevée hors des villes, elle craint les grandes villes et les métropoles. Elle y est extrêmement inconfortable. Le mal du transport urbain n’aidant absolument pas non plus à sa cause. La seule technologie qu’elle tolère est son holomontre pour écrire au gens ou garder contact avec ceux qu’elle a réussi à apprécier, ceux partageant ses idéaux, c’est beaucoup moins encombrant qu’un cayon et du papier à trainer avec soi. Par contre, elle oublie très souvent de le recharger.
 
Plutôt indépendante, elle préfère profiter des moments d’intimité fugace et éphémère que de s’attacher, avec une grande préférence pour les femmes.

COntrairement à la majorité des habitants du village de Kilauea, elle a plutôt des cheveux blond/doré, coupé court juste sous le menton. Ses cheveux on l’air légèrement hirsute, mais en y passant nos doigts, ils sont étonnamment très doux.

Ses pupilles tendent vers le bleu ciel et vert turquoise avec une pointe de noirceur lorsqu’on prend le temps de bien observer.

Elle est grande avec une silhouette fine, mesurant 168 cm, si elle a une affinité spirituelle avec la nature, celle-ci à été peu généreuse niveau poitrine. Leurs croissances se sont arrêtées à la taille B! Elle est aussi reconnaissable grâce à ses oreilles un peu plus pointu que la moyenne.

Sa peau est très pale, même si son temps passer à l’extérieur lui on donner un petit teint. Elle a beau essayer de bronzer, sa pigmentation ne change pas. Comme ses cheveux, elle est aussi très douce. Ses paumes de mains sont l’exception, prouvant un entraiment rigoureux au bâton et des heures et des heures se promener dans la nature, grimper au arbre ou encore gravir des parois rocheuses.

\\!!// TW: Pensée suicidaire//!\\

0. Bidonville

Un bébé comme plusieurs sont nées dans les Bidonvilles d’Oma-Oma. La vie y est très difficile et les ressources manquent ou alors certain sont dans l’incapacité d’aller chercher de l’aide. C’est le cas ici d’une jeune femme qui utilise son corps pour s’en sortir. Dès la naissance, elle délaisse involontairement son bébé pour aller travailler, entre deux clients, elle donne à boire, change la couche quand elle y pense et puis c’est tout. Il est très difficile pour elle de comprendre les besoins de son enfant qui est née muet.

Si négligé, c’est à se demander comment il a pu survivre seul. Probablement parce qu’il est entouré de pokémon qui se sont pris d’affection pour! C’était comme s’il avait un don pour les attirer malgré le jeune age. C’est parfois un Goupilou, à un autre moment un Miaouss d’Alola ou encore un Zorua qui vient réchauffer, réconforté, apaiser le bébé lorsqu’il en a de besoins. Muet ou pas, ça je fait pas de différence.

Lorsque la mère est absente, les pokémons se réunissent autour du bébé et quand la mère est présente, les pokémons s’enfuient. C’est la constatation du bébé qui commence à ramper. La présence de sa mère le rend extrêmement anxieux, méfiant, craintif, il a l’impression de ne pas être en sécurité avec elle autour alors qu’elle est son seul modèle humain et qu’elle la nourrit un minimum.

Les jours ce suivent et s’enchaine. Elle n’a pas la patience, de plus en plus elle se sent dépassée à l’idée d’élever son enfant, elle est elle-même malade, enivré de plusieurs substances chimique, malade dans la tête. Incapable de s’en sortir.

La mère se sent impuissante. Elle sent qu’elle ne mérite pas son enfant. Pourtant, elle l’aimait, à la naissance, elle avait fait faire un médaillon doré à son nom et sa doudou de lin soyeux, celle qu’elle avait choisi avant la naissance. Si seulement elle etait née sans handicap, si seulement, le baby blues n’était pas arrivé avec elle… si seulement elle avait eu la force d’aller chercher de l’aide… si seulement… si seulement elle n’existait pas… Aller savoir ce qui lui est passé par la tête, en voyant le volcan au loin.

1. Le bambin miraculé

À mi-chemin du haut du Volcan Ki-Brûl, souvent emprunté par les locaux, on commence à voir les coulées de lave. Des coulées inoffensives qui suivent les mêmes chemins tracés depuis de nombreuses années. La plupart des pokémons sauvages aussi emprunte souvent ce chemin, du moins ceux qui n’apprécient pas nécessairement de poser la patte dans la lave brûlante. Il n’est alors pas rare que randonneurs chevronnés, les touristes ou que même les locaux croisent la route des pokémons vivant dans les environs.

C’est au détour de celui-ci on y retrouve un bambin aux cheveux dorés laisser à l’abandon. Personne ne sait comment il est arrivé à cet endroit. Seule la nature sait! Le petit dormait paisiblement enveloppé d’un doudou de lin soyeux et était mystérieusement entouré des pokémons sauvages qui ne semblaient pas savoir quoi en faire.

Après quelques bâillements et étirements des bras et des jambes, ses yeux bleu/turquoises s’ouvrirent comme s’il sortait d’une bonne sieste. Le bambin se redressa et tenta de ce mettre sur ses deux pieds, la couverture qui le recouvrait tomba le laissant nu comme un ver, il y dévoila une peau très pâle et laissa par la même occasion savoir qu’il s’agissait d’une fille. Faute d’équilibre, elle retomba aussitôt sur les fesses. C’est qu’elle est en âge de ramper et marcher à quatre pattes. Aucun pleur, aucun son, mais son visage semblait rire.

De l’inquiétude pouvait se lire dans les yeux des deux/ trois pokémons qui l’avaient découvert. Ils se laissaient toucher par les caresses maladroites et un peu rude de l’enfant, avec leur aide, elle arrivait à tenir debout, ils comprenaient déjà qu’elle ne leur voulait pas de mal. La bambine souriait toujours en les regardant. Comme elle semblait aller bien, il allait la laisser un peu a contre cœur. Ils lui dirent au revoir. Ils savaient bien qu’ils ne pourraient élevée un humain.

Cependant, ils se ravisèrent et l’empêchèrent de toucher aux flots de lave qui coulaient tranquillement. La couleur rouge vif semblait avoir attiré son attention. Ils remarquèrent aussi ses bras et ses jambes désormais écorché à se trainer sur le sol rocheux. La panique les gagnait tranquillement et l’idée qu’il lui arrive malheur affolait les pokémons.

Très vite, les trois pokémons l’entouraient et tranquillement, mais sûrement, ils tentaient de lui faire descendre le chemin menant jusqu’à un village familier, Kilauea. La petite suivait en se tenant debout en s’accrochant à l’un d’eux. Devant, le premier ouvrait la marche et le dernier derrière fermait la marche avec la couverture de lin dans la gueule, dans laquelle se tenait un médaillon doré en forme de cœur avec un nom gravé dessus.

Arrivée au pied du Volcan, la bambine se mit à pleurer de fatigue et de faim, mais aucun son n’en sortie. Pour attirer l’attention des villageois, les pokémons se mirent à hurler, grogner, rugir, jusqu’à ce que la petite soient prise en charge.

2. « Il faut un village pour élever un enfant »

Anthea Aelius. C’était le nom inscrit sur le médaillon, les villageois avaient gardé son nom et prénom. Elle eu deux tuteurs attitrés, mais tous participait à son éducation. Cependant, ce ne fut pas si simple. La fillette était tout le temps stresser, anxieuse en présence des adultes ou même des autres enfants. Anthéa ne souriait pas, ni ne riait et elle mangeait peu. Elle se détendait que lorsqu’elle se retrouvait seule avec des pokémons. Son handicap ne l’aidait pas non plus à se faire comprendre. Ce n’était pas de sa faute, ni de la leur.

Cependant, avec beaucoup de patience et de persévérance, la grande majorité du village lui avait appris la langue des signes et l’avaient appris en même temps pour bien communiquer avec elle quand ils comprirent qu’elle ne parlerait sans doute jamais. Pourtant, elle comprenait bien quand les autres parlaient, aucun problème d’audition.

Au fur et à mesure qu’elle grandissait, elle s’améliorait et participait bien aux taches communes et dans son temps libre, Anthéa disparaissait souvent dans la nature, là où elle se sentait le plus en sécurité.  Entre sa cinquième et dixième année de vie, elle avait déjà bien exploré les Forges de Vulcain, l’Étouffoir suffocant, le haut du Volcan Ki-Brûl et aussi les Sources de Puala’a. Malgré la dangerosité de l’endroit, partout où elle passait, elle attirait la sympathie des pokémons environnant, comme si elle avait toujours eu une place parmi eux. Enfin, a l’exception de quelques pokémons plus agressifs et violent qu’elle ne parvenait pas à communiquer avec.

C’est en la voyant si débrouillarde, courageuse et aventureuse que le village approfondirent les rudiments de la chasse, du combat et de la survie plutôt que les tâches domestiques du village. Elle accompagnait désormais les chasseurs qui lui apprirent à pister, chasser, reconnaître les plantes et herbes sauvages, à fabriquer des pièges et aussi ses propres armes.

Ses horizons se sont encore plus élargies, en plus du Volcan Ki-Brûl et ses environs, elle se promenant maintenant, régulièrement, entre la Jungle Trompeuse, l’Ancien Sanctuaire et l’Arbre Millénaire. Vers ses 15 étés, Anthéa est parfaitement autonome dans la nature et sait se débrouiller seule sans aides des adultes. D’ailleurs, elle s’en sort beaucoup mieux que la grande majorité de ceux-ci.

3. Rage naissante

À l’aube de sa vingtième été, chasseuse indépendante, Anthéa part souvent seule, du moins, seule humaine. Elle est souvent accompagnée des pokémons qui veulent bien la suivre. La nature est souvent pleine de surprise, alors ses journées ne sont jamais véritablement pareilles. Cependant, elle ne s’attendait pas à un tel chamboulement lorsqu’elle mit les pieds dans la jungle trompeuse.

Déjà, cette forêt tropicale hostile lui semblait l’être encore plus que d’habitude. L’atmosphère était différente, plus lourde, plus silencieuse, mais aussi agitée. Quelque chose perturbait son aura habituelle. Elle se demandait bien quoi? Elle s’y aventurait donc plus prudemment, plus lentement, plus silencieusement. Jusqu’a y entendre un cri insoutenable de détresse et de douleur.

Anthéa se précipita, se faufilant agilement dans la faune sauvage. Jusqu’à voir un spectacle qui l’enragea au plus profond de son être. Un Tropius, très mal en point, retenu au sol avec une multitude de corde cloué au sol et attaché à certain tronc d’arbre. On aurait aussi dit qu’il lui avait arraché une aile et brulé l’autre. Le visage d’Anthéa n’affichait que de la colère, ces hommes, qui sont-ils? Clairement, elle ne les reconnaissait pas. Ce fut sa première rencontre avec d’autres hommes venant d’ailleurs.

Malheureusement, elle n’était pas préparée, ni très sage à ce moment-là. La rage l’aveugla et elle s’attaqua aux deux hommes armés. Le premier homme n’eu aucune difficulté à paré son attaque. Ils se demandaient bien d’où elle sortait tout d’un coup. Enfin, il n’allait pas la laisser gêner leur travail. Ils en viennent donc aux mains. La jeune femme s’en sort plutôt bien au début, elle est rapide et agile, mais elle n’a pas la même expérience, ni même l’endurance d’un homme. Le premier coup porté au ventre lui coupa le souffle et la rendit vulnérable aux autres coups donné ensuite. Envahit pas la douleur, ses muscles ne voulait plus bouger, son corps refusait de l’écouté, elle sentait sa conscience partir.

Ayant réglé son compte à la femme blonde sortie de nulle part, ils finirent leur business. Pour eux, elle avait compris la leçon. Les pokémons sauvages auraient pu l’aider, mais malgré tout l’appréciation qu’ils ont pour Anthéa, ils laissent les humains se battre entre eux. Puis, ils avaient tout aussi peur de finir dans le même état que le Tropius. On ne peut pas les blâmer.

La forêt était en peine, en deuil ce jour là. Un ami, leur avait été enlevé de force et de façon cruelle. Aucun mot n’avait besoin d’être dit, tous se comprenait et tout comme Anthéa, chacun se sentait impuissant.

C’est un Gouroutan, plus sage que les autres pokémons qui l’avait trouvée et remise sur pied avec différent mélange d’herbe pour ses muscles endolorie et ses bleues un peu partout sur son corps, suffisamment pour qu’elle retourne chez elle se reposer d’avantage. Puis de retour à Kilauea, elle chercha à savoir qui était ces hommes et ces armes. C’est la cheffe du village qui lui expliqua dans toute sa sagesse: Des braconniers, qui capturent et revendent des pokémons au seul nom de la richesse et de la gloire. Une gloire sans aucun sens moral et aucun respect pour les êtres vivants.

Le sang d’Anthéa bouillait. Jamais elle n’aurait cru une telle chose possible. C’est à partir de ce moment qu’elle mit tout en œuvre pour protéger du mieux possible la nature. Les pièges n’étaient plus destinés qu’à la chasse, mais aussi aux hommes qui choisiraient de revenir enlever ses précieux amis justes sous ses yeux. Si elle ne pouvait pas les battre par la force, elle le ferait par la ruse. Elle s’autoproclama rangers pour protéger la nature qu’elle aime tant et qui lui rend bien.

4. Civilisations avancés

Cette rencontre avec les braconniers n’avait pas fait que naître de la rage, mais aussi une certaine curiosité. Pour mieux se défendre contre eux, elle devait apprendre à les connaître. Elle ne s’était jamais intéresser aux autres villes ou aux personnes qui venait de temps en temps en touriste à Kiaulea. C’est pourquoi, elle prit un peu plus part aux relations sociales qu’entretient le village avec Mahina. Elle voulait mieux apprendre à connaitre les gens venant de l’extérieur du village.

Elle y découvrit la ville, sa zone commerciale comme les bidonvilles. Mais aussi les relations d’entraide qui existait dans ce dernier. C’est ici, qu’elle apprit l’existence du groupe Victini. Un groupe qui souhaite une plus grande cohésion avec la nature. Anthéa s’est tout de suite senti interpeller et a rejoint le groupe sans en savoir plus. Il ne lui en fallait pas plus. La personne qui l’avait amené en ville pour l’accompagner en faisait partie. Sa rencontre avec les braconniers, lui avait convaincu de lui parler plus du groupe. Le mot militarisation associée à l’organisation Trismegis lui suffisait à faire le lien entre eux, ainsi que les armes et les pièges technologique utiliser pour capturer les pokémons, et ce, même si l’organisation n’est pas un groupe de braconniers. Militarisation est égale à un danger pour la nature pour elle.

Anthéa se mêla donc un peu plus avec les gens d’Oma-Oma pour continuer d’en apprendre d’avantage. C’est là qu’elle chercha un peu plus à savoir comment utiliser une holomontre, allant même jusqu'à s’en procurer une. Ou encore qu’elle apprit qu’elle n’avait aucune tolérance pour les transports en commun urbain.

5. Voyage

Anthéa avait découvert un peu plus que le lieu qui l’avait vue grandir. L’appelle de la nature, l’appelle à la découverte. Elle y répondit présente.

À son vingt et unième été, elle partie en voyage avec une interprète de son village. Elle était très proche de celle-ci et elle lui permit de se sentir plus à l’aise lorsqu’elle entra dans les grandes villes. Son interprète, quoique venant de Kilauea aussi, elle cherchait à vivre plus parmi la communauté de technologie avancé. Tout deux étaient complémentaires. Anthéa s’assurait de la survie en zone naturelle et l’autre assurait la survie d’Anthéa en zone urbaine.

Dans les villes, Anthéa testa les bars, les boites de nuit. Elle détesta la gueule de bois, et la musique trop forte. Cependant, elle découvrit, un peu trop alcoolisé, le plaisir de la chaire avec sa compagne de voyage. C’est la seule chose qui ne lui a pas déplus. Après tout, c’était aussi fréquent chez les pokémons, c’était naturel, alors pourquoi s’en faire.

Dans la nature, elle découvrit des nouveaux lieux, cascades, lacs, de nouveaux types de forêt, la savane, le désert, la toundra, les montagnes. La chaleur intense comme le froid intense. C’était un voyage très enrichissant et riche en émotions.

Elles se promenèrent de district en district durant les 10 étés suivants. C’est là que leur chemin se séparait. Son interprète s’était complètement intégrée à la vie urbaine et Anthéa préférait revenir à la source, la nature.

6. Douce vengeance ou coïncidence?

Et un autre été plus tard, un duo lui demanda de leur servir de guide. Elle reconnue l’un des hommes et tout de suite, elle savait, c’était l’un des braconniers, ou plutôt, elle avait appris à mieux les reconnaître. Ils en avaient après les pokémons chromatiques, rares et puissants ou encore pour en revendre vide de vie au marché noir pour les matériaux obtenus de leur carcasse. Il se vendait à bon prix… Il était hors de question de les laisser faires.

Apparemment qu’ils voulaient les étudier les pokémons dans leurs habitats, se faisant passer pour des chercheurs. Il leur fallait quelqu’un qui connaît l’endroit comme sa poche. Sans parler des pièges qu’Anthéa posait contre d’éventuels braconniers en plus des dangers naturels.

L’air de rien, elle les escorta sans rien dire. Plusieurs années c’était écoulé. Était-ce vraiment eux? Si oui, sont-ils encore aussi dangereux? Ce sont-ils repentis? Mais bon, son travail n’était pas infaillible non plus. Le Karma s’occupera peut-être d’eux. Alors si le duo de braconniers tombaient dans un pièges ou s’ils rencontraient un des rares pokémons sauvages que même Anthéa ne pouvaient calmer, communiquer avec, elle n’en ferait rien. Dans les terres sauvages, c’est la loi du plus fort qui prime. Peut-être même qu’elle était du genre à les guider vers le danger? Puis, il y a aussi les autres pokémons sauvages, moins dangereux, mais pas inoffensifs non plus. Eux aussi, leurs rancœurs envers leurs congénères cruellement enlever pouvait peser lourd dans leurs mémoires.

Dans la nature tout peut arriver, même en y étant bien prépares. Elle ne pardonne pas à l’erreur. Prenez garde à ne pas la froisser, à vous montrer courtois et respectueux. La limite entre le bien et le mal est très mince quand on parle de la nature avec Anthéa.

Le reste de son histoire continuera à vos côté!!

Espèce: Tarsal
Sexe: Mâle
Talent: Synchro
Nature: Doux
Téracristal: Psy
Niveau: 10

Descriptions:Ses tuteurs ont remarqué qu’elle avait une affinité plus forte que la normal avec les pokémons et donc, dans le but de réussir à se rapprocher d’Anthéa et d’améliorer leur communication entre eux, ils lui offrirent un Tarsal.

Tout comme sa dresseuse, il a un petit quelque chose de différent des autres Tarsal, mais contrairement à un mutisme qui ne parait pas tout de suite, sa différence paraît immédiatement. Sa couleur est unique, sa corne est blanche et son « chapeau » à la couleur que sa corne aurait normalement.

Ce petit est doux comme tout, docile et s’est attaché très vite à la jeune fille blonde. Il fait un excellent travail quant à analyser ses émotions et la rassurer. Il aida beaucoup le temps qu’Anthéa est appris à lire a écrite et à signer correctement.

Il fait aussi un excellent travail de sentinelle pour avisée des dangers avant qu’ils n’arrivent quand Anthéa s’aventure dans les zones sauvages.