J’ai été surprise lorsque Lysandre a demandé à m’accompagner jusqu'à Tokan pour mon travail. C’est vrai que depuis la mort de sa mère, il travail beaucoup et de mon côté aussi en plus des rencontre récurrente avec mon avocate. L’affaire avançait tranquillement. Apparemment, les enquêteurs cherchaient à le faire arrêter pour complot avec la Jaspe et de mon bord, à trouver d’autre potentiel victime qui soit lié de près ou de loin à moi. Comme un témoin par exemple qui avait des soupçons sur ce qu’il me faisait. Bref, ça rallonge encore la date avant le procès. Je suis un peu décourager, mais je garde espoir.

J’avais dit oui, comme mon client se trouvait dans la ville de Sunoh, alors c’était moins dangereux que dans une zone sauvage. J’ai l’habitude, mais peut-être pas Lysandre, je ne voudrais pas le mettre en danger. En plus, c’est dans un climat froid, un climat beaucoup plus difficile à supporté pour quelqu’un qui n’était pas habitué.

Malheureusement arrivé à la gare, on arrive en pleine tempête. La plupart des gens reste l’intérieur en attendant que cela ce calme, mais on dirait que Lysandre était prête à l’affronter. C’est vrai que un kilomètre de la ville ce n’est pas si loin. «Je l’ai avec moi et affronter une tempête en vol ne lui pose pas problème, mais avec nos bagages on risquerais de le surcharger. Je vais sortir Khioné pour nous aider à marcher.»

C’est ce que je fis sans plus tarder, ma Polagriffe se plaçait devant nous pour nous couper du vent.  «Reste bien près de moi, je vais te tenir au chaud.» Que je lui dis en lui tendant ma main. Si j’étais un pokémon mon talent serait probablement corps ardent.

 

En allant vers la ville, je réalise que je marche peut-être un peu trop vite. J’ai l’impression de tiré Lysandre en lui tenant la main. J’oubliais qu’il n’était pas autant habitué que moi à marcher dans la neige et a supporter le froid. Je fais signe à Khioné de ralentir que Lysandre puisse respirer normalement. «Oui, on m’a donné rendez-vous dans un des cafés populaire de la ville qui sert aussi d’auberge, c’est là qu’on va rester lors de notre séjour. Le temps que je trouve qu’est-ce qui ne vas pas avec son pokémon.»

J’espérais arriver à l’heure au rendez-vous, mais a cause de la tempête et de notre rythme pas très rapide a cause de l’accumulation de neige et le chemin envahit par celle-ci, je devais me rendre à l’évidence, j’aurais un retard sur l’heure prévue. Pourvue que mon client soit tolérant.

Plus on avançait et plus ca devenait difficile, je commençais à m’inquiété que Lysandre ait trop froid pour continuer à avancer malgré son manteau et ma présence. Peut-être qu’on aurait du rester à la gare avec les autres et attendre que la tempête passe. J’aurais pu contacter mon client lui dire que je n’allais pas être à notre point de rendez-vous. Cependant, c’était trop tard, faire demi-tour était tout aussi dangereux. Et Lysandre veut se dépêcher justement parce qu’il à froid. Je dois penser à autre chose. «J’ai une idée!» Je sors Nessy, Lokhlass et Zian, Mammochon. «Montons sur le dos a Nessy et Zian, tu vas nous pousser!»

Deux autres pokémons insensibles au froid. La neige est assez épaisse pour que mon Lokhlass glisse dessus pousser par la force de Zian. Ça ira plus vite sans nous épuisé. J’aurais du y penser plus tôt. On va arriver à l’heure finalement! Khioné quant a elle, couru à nos côté, c’est qu’elle aime bien la neige! Je prends plaisir à cette glisse sur neige que j'en ris. J'espère que Lysandre s'amuse presque autant que moi!

 

Alors qu’on glisse sur la neige, sur le dos de mon pokémon poussé par un autre des miens, je m’amuse. Quant à Lysandre, il se cramponne à moi, ce que je trouve encore plus mignon. Heureusement pour lui, on n'a pas long à faire. Mon copain est impatient d’aller se réchauffer qu’il se dépêche d’aller demander la direction à quelqu’un. Je n’ai pas le temps de lui dire que je suis déjà venu à Tôkan, il a déjà demandé à un homme qui semble mendier.

La réponse de l’homme n’est pas celle à quoi s’attendait Lysandre, qui décide de ‘’payer’’ en lui offrant son foulard et sa tuque, mais là non plus, ce n’est pas la réponse escomptée. Je vois le malaise dans le visage à Lysandre. Il veut se montrer généreux, mais il ne s’y prend pas comme il faut. Malheureusement, je n’ai pas le temps de lui dire de laisser faire qu’il est maintenant victime d’un Cadoïzo sauvage.

« Ah merde! » Je ne m’attendais pas à ça, je prends Lysandre par le poignet pour l’inciter à me suivre. « Dépêche-toi ou il va s’enfuir avec ton portefeuille, il faut le rattraper! » On finit par ignorer l’homme mendiant. De toute façon, je doute qu’il en soit réellement un. Les gens d’ici sont habitués au froid et à aux tempêtes.

Au moins, courir un peu va le réchauffer. Par précaution, j’envoie Twillight qui est aussi un type vol et glace, il pourra facilement rattraper notre voleur si on venait à le perdre de vue. Mon client attendra un peu. Le portefeuille à Lysandre reste tout de même plus important.

 

Finalement, en poursuivant le Cadoizo, on se retrouve dans un bâtiment délabré, laissé à l’abandon. À l’intérieur, des adultes et des enfants vivant dans la pauvreté. Je suis probablement aussi mal à l’aise que Lysandre. Je ne peux rien faire pour eux malheureusement. Je ne peux que soigner le pokémon qui les aide dans leur misère avec quelques potions. J’en laisse d’ailleurs quelques-unes de plus pour le futur. Il doit souvent se ramasser avec des blessures à force de voler les visiteurs ou même les autres personnes de la ville. Quant à Lysandre, il laisse quelque billet, ça les aidera un peu, mais sans non plus changer le cours de leur vie.

Une fois sortie, mon copain me fait pars de son malaise. Il s’excuse également de m’avoir mis en retard à mon rendez-vous. Je lui souris tendrement, touche par son grand cœur. « Ne t’en fais pas pour le rendez-vous. Malgré la tempête on est arrivés d’avance. Il croira au pire que c’est elle qui nous a ralentis. Et pour tout ces gens… Je connais le champion de la ville. Je peux essayer de lui en glisser deux mots, mais je ne sais pas s’il pourra faire quelque chose. J’ai seulement gagné son badge, je ne suis pas si proche non plus. » Je ne suis pas certaine que ça rassurera Lysandre, mais c’est tout ce que je peux faire.

Le portefeuille récupérer et le pokémon soigner, on peut se diriger à l’auberge/ café Poltchageist. Là où mon client m’attend. J’avise l’hôtesse qu’un certain Paolo Baneplasse devrait déjà être arrivé. Elle nous dirige effectivement vers un homme semi-âgé, la jeune cinquantaine peut-être.

« Bonjour, vous devez être M. Baneplasse. »

« Oui, c’est exacte! Et vous Madame Anton. Et vous? Un assistant? Bref, je suis heureux que vous ayez fait le déplacement d’aussi loin et malgré la tempête. » Nous nous serrons la main poliment. Le vous il faisait référence à Lysandre.

« Simplement Dahlia s’il vous plait. La tempête ne nous a pas gêner. En quelque sorte mon assistant. Voici, Lysandre.» Je fis un clin d’œil à mon copain, mon assistant d’un jour. « Est-ce ce que je peux savoir pourquoi faire appelle à moi? Il doit y en avoir d’autre qui vivent ici et déjà habitué aux pokémons de la région. »

« Oh, eh bien, j’ai vue votre carte dans la bibliothèque que l’arène. Vous êtes la seule à avoir battu le champion parmi les autres comportementaliste pokémon. Alors je me suis dit que vous feriez l’affaire. »

Il semblerait que laisser mes cartes était une bonne idée. Je suis contente de leur efficacité. Il s’en suit le blabla de mes conditions et tarifs, en cas d’échec ou de succès. Le contrat remplis, l’homme le signa. Il quitta ensuite pour repartir chez lui, nous laissant moi et Lysandre. « Je ne m’attendais pas à ce qu’il me demande de m’occuper d’un Cadoizo voleur… dire qu’on l’a rencontré juste avant. » Je soupirais légèrement. « Commandons à manger et allons nous reposer. Une nuit de repose me permettra d’y réfléchir. » Souriais-je doucement à Lysandre en posant ma main sur la sienne.

 

Je sais bien que c’est injuste, pourtant ce pokémon ne fait qu’aider les gens dans le besoin, même s’il ne fait pas la bonne chose, il aussi nuit aux autres. Enfin, je propose plutôt de manger et d’aller nous coucher pour réfléchir à tête reposé. Ça nous fait tout de même un petit souper en tête à tête et je m’occupe de réchauffer Lysandre avant d’aller dormir, question de lui changer les idées et les miennes. Je le garde au chaud en restant blotti contre lui durant cette nuit froide.

Le lendemain matin, je laisse Lysandre dormir et j’ouvre mon ordinateur sur le bureau de la chambre et j’entame quelques recherches. Déjà pour essayer d’aider ces pauvres gens. Ça éviterait au Cadoïzo de voler les autres si ces gens n’ont plus besoins qu’il ne le fasse. Je suis si concentré que je ne remarque pas l’heure. Mon estomac gronde de faim et Lysandre est levée.

« Oh! Désolée! J’étais concentrée, j’ai peut-être une idée, mais je ne sais pas si c’est réalisable. Tu as bien dormis? »

Je lui expliquais qu’en réalité, il existait déjà un programme pour les personnes vivant dans la rue, malheureusement, il n’était pas très connu. Du coup, ces pauvres gens ne savaient probablement même pas qu’ils pouvaient être aidés. Et inversement, ces gens se cachaient, alors impossible de leur venir en aide.

«En les informant, ce pokémon ne serait plus obligé de voler. Le plus difficile sera de les retrouver. Ils ont déjà du changer de place quand on est arrivé à l’improviste ‘’chez eux’’. Pour ça, il faut retrouver le Cadoïzo. »

 

Lysandre m’écoute raconter ce que j’ai trouvé pour aider les gens qui vivent dehors au froid avec presque rien. Il faut maintenant trouver un moyen d’appâter le Cadoizo. Mon copain me propose donc d’aller manger, on réfléchira mieux avec le ventre plein. Il a raison, je rougis légèrement, gêner qu’il ait entendu mon ventre grogner aussi fort. Nous nous préparons alors avant de descendre prendre notre petit déjeuner. Lysandre prend le petit déjeuner traditionnel et moi, je me commande un bon smooties ainsi qu’une gaufre chocolat blanc et noisette à la bais Framby.  

En attendant nos plats, je regarde le visage sérieux de mon copain qui réfléchit a comment l’attiré. Je l’écoute proposer ce qui lui vient à l’esprit. Mettre des billets à vue pour l’appâter, comme il ne cherchera pas à voler deux fois la même personne. Cependant, Lysandre redoute que ce soit quelqu’un d’autre qui tombe dessus. Je suis aussi d’avis que c’est la bonne solution, mais le bon appât. C’est lorsque nos assiettes arrivent qu’il a une illumination. Je souris tendrement. «La nourriture est très souvent le meilleur moyen d’attiré des pokémons, sauf s’il est malade ou trop craintif. Ce qui n’est pas le cas pour lui, enfin, de ce que j’en ai vu. Je crois aussi que de l’avoir soigné lui enlèvera un peu de méfiance envers nous.»

J’avais déjà ma petite idée pour attiré le pokémon à la base, mais voir Lysandre aussi sérieux dans son rôle d’assistant à vouloir m’aider, que j’avais décidé de ne pas lui couper l’herbe sous le pied. J’aime être en sa présence et ça rend mon travail encore plus agréable. «J’irais acheter de la nourriture pokémon et on retourne pour voir dans le lieu où on l’a poursuivie. Mais avant, prenons le temps de manger.»

Je voulais profiter de ce petit tête à tête au restaurant et lorsque nous terminons, nous passons au magasin et nous nous rendons à l’endroit où était les personnes défavorisé la première fois. Comme je le pensais, ils avaient changé d’endroit. «Posons, la nourriture ici et attendons de voir s’il reviendra.» Il y a de forte chance que oui.

Je sors alors deux grandes couvertures, j’en pose une au sol dans ce qui ressemblait à un garde-robe.  L’espace étroit et presque clos nous permettra de garder un œil sur la nourriture laissé sans que le pokémon ne se sente menacer. J’invite ensuite Lysandre à s’asseoir dessus et je viens le rejoindre, me coller contre lui. La deuxième couverture, servira à nous garder au chaud  tout comme nos deux corps ensemble. «Maintenant, il faut attendre.»

 

Une fois installé, mon copain espère qu’il se montre vite. Il n’a pas envie de passer la journée à attendre et surtout à mourir de froid. Heureusement pour lui, j’avais prévu des couvertures. Enfin surtout pour lui et mon corps aussi qui dégage beaucoup de chaleur, je ne suis pas frileuse. « Ça fait partie des aléas du comportementalisme pokémon. C’est pour ça que je ne peux jamais dire combien de temps me prendra un travail. Il y a bien des choses méconnues de mon métier. »

Il faudra qu’il prenne son mal en patience, sinon, il peut toujours rentrer et m’attendre à l’auberge, il a le choix. Je ne vais pas l’obliger à rester s’il n’est pas bien. Après avoir attendu un peu, un pokémon viens manger la nourriture qu’on a laissée. Puis, il repart. « Attendons encore. Le bouche à oreille entre pokémon fera remonter l’information jusqu’à Cadoizo, j’en suis presque certaine. » Presque, il pourrait aussi y avoir un guerre de territoire entre pokémon pour celui qui veut garder la ressource pour lui. Enfin, on verra bien.

Après plusieurs heures, plusieurs pokémons sont passé, beaucoup, sauf celui qu’on attend. « Si tu as trop froid tu peux rentrer te réchauffe à l’auberge. Je vais rester attendre encore un peu. Je t’appellerai si j’ai du nouveau. »

 

Lysandre ne prend pas beaucoup de temps pour accepter ma proposition de retourner se réchauffer à l’auberge. Il me vole un baiser avant de se relever. Je ne peux pas lui en vouloir, il a l’habitude d’un travail qui bouge plus et qui ne nécessite pas t’attendre autant. Il prend tout de même la peine de prendre une bonne poignée de nourriture avant de la mettre dans ses poches. Avec un peu de chance, il croisera le Cadoïzo. « Je te le souhaite! À tout a l’heure. »

Je le regarde s’éloigner et quand il est hors de vue, je soupir. Ce n’est pas contre lui, mais plus contre moi-même. J’ai eu envi de lui dire que je l’aime avant qu’il parte, mais les mots ce sont bloqués dans ma gorge. Et maintenant, seule avec moi-même, j’ai tout le temps de plonger dans mes pensées. Peut-être que je devrais consulter finalement comme ma mère me l’a conseillé. J’aimerais pouvoir lui dire ce que je ressens avec des mots aussi et pas seulement des gestes. Lui dire que lui aussi me rends complètement folle de lui. Je n’ai qu’une envie maintenant, crier à se Cadoïzo de se pointer que je puisse finir mon travail et retrouver mon copain.

Puis, comme si ciel m’avait entendu, un bruit de nourriture qui se fait manger me sort de mes pensées. Le voila! « Cadoïzo… » Que je murmure doucement pour ne pas l’effrayer. Il se fige et il me regarde. « Tu peux continuer de manger. » Je sors une potion de mon sac et je lui montre. « Tu t’es encore battu. Pour ces pauvres gens. » Il semble me reconnaître et se laisse soigner. « J’ai fais des recherches. Il y a un programme pour les gens que tu aide en volant aux autres. Tu t’attire beaucoup d’ennuis, mais si tu veux bien le conduire à eux, ton calvaire et le tiens pourrait bientôt se terminer. » Je ne suis pas certaine qu’il me comprenne, mais je crois qu’il me fait un minimum confiance avec la nourriture et comme c’est la deuxième fois que je le soigne. Je me sens un peu ignorer, mais je le laisse manger.

En attendant, j’écris à Lysandre pour lui dire que je suis avec le Cadoïzo, pas de réponse. Je me dis qu’il a du sauter sous l’eau chaude pour se réchauffer, il me répondra plus tard. De toute façon, normalement, je suis seule pour travailler. Il faut que j’attende patiemment. Puis quand il termine finalement, il me fait signe de le suivre. On dirait qu’il m’avait bien compris finalement.

Pas besoins d’aller très loin en réalité. Les gens ne ce sont pas déplacées par manque de force et de ressources. Il était simplement dans un autre bâtiment abandonné à coté. « Merci, tu peux rester avec eux encore un peu. Je vais aller donner leur position aux autorités compétentes. Je t’assure qu’ils seront bien traité. »

Je salue les gens qui le regardent tous craintif. Je crois quand même qu’eux aussi ont compris qu’on allait les aider. Je leur laisse le reste de nourriture Pokémon pour les pokémons et les couvertures que j’avais amené au départ. Ça les gardera au chaud encore un peu, le temps qu’on s’occupe d’eux.

Je pars ensuite et je retourne à l’auberge. Cependant, je suis surprise de voir que Lysandre ne s’y trouve pas. C’est vrai qu’il avait prit de la mourir pokémon, il doit être dans les rues à essayer d’en attirer. Moi qui voulais qu’il m’accompagne pour aller aviser les autorités. Ce se fera sans lui.

Une fois dehors, je sors Twilight et lui demande de retrouvé Lysandre et de le faire me rejoindre au poste de police. Derrière mon pokémon, il semblerait que le Cadoïzo le suit. Je n’avais pas remarqué qu’il m’avait suivi!

 

En arrivant au poste de police au départ, on me regardait drôlement comme je ne venais pas de la région. Cependant, lorsque je mentionnais les gens en difficulté, ils furent moins méfiants. La police avait l’air plutôt content de mes nouvelles. «Est-ce vrai? On savait qu’il y avait des gens en difficulté, mais ils se cachent comme s’ils avaient peur.»

«Je vous assure que oui. J’ai pu leur parler et ils semblaient vouloir coopérer.»

«Super dans ce cas, je vais prendre votre déposition et tout ce que vous savez. Nous allons envoyer de l’aide immédiatement.»

Je remplis les papiers remplissant les lignes d’encre en donnant toute les informations que j’ai recueillie. Après quoi on m’envoie attendre à l’accueille. Le Cadoïzo me suit toujours tout en regardant constamment vers l’extérieur. Je ne sais pas exactement pourquoi il fait ça jusqu'à ce que mon Noarfang d’Ahovu revienne avec Lysandre. Le pokémon pingouin se jette sur lui le faisant tomber à la renverse. Je place alors une main devant ma bouche, riant légèrement. Je me retenais pour ne pas rire aux éclats. «Je crois qu’il t’apprécie beaucoup.» Dis-je à Lysandre en l’aidant à se relever maintenant que le pokémon glace/vol était occupé avec un encens glace qu’il avait volé à Lysandre.

«Oui, apparemment, ils était déjà au courant, mais les gens fuis. En espérant cette fois-ci qu’ils n’aient pas décider de changer d’idée et de fuir encore. Donc maintenant, ce Cadoïzo devrait arrêter de voler. Ce qui fait que mon travail est fait. Je me sens juste un peu triste pour lui, il va se retrouver seul. Tu ne veux pas le prendre avec toi? Il a l’air de bien t’aimer et ça me rassurerais définitivement qu’il ne recommence plus a voler les autres.» Il ne me restait plus maintenant qu’a retourner auprès de mon client pour lui annoncer la bonne nouvelle. Ensuite on pourra rentrer et quitter les terres gelées que Lysandre a tant de mal a supporté.